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Sujet 1. Monsieur, madame, rire, vivant, jour, suivant.
Sujet 2. Facile, mémoire, perdre, énergie, refuge, abus.
Sujet 3. Teste avec des mots se terminant par "" age""
Sujet 4. Texte avec des mots commençant par "" E ""
Sujet 5. Texte avec le thème "" chaleur ""
...............
Monsieur et Madame
Dans la chaleur écrasante d'un été sans fin,
Un élan d'effort dans l'air suffocant s'éteint.
L'enfance, dans son innocence, cherche son chemin,
Mais l'errance et la précarité sont son quotidien.
Dans l'évidence cruelle d'un destin trop lourd,
Les voyages se font rares, le courage s'égare toujours.
Madame et monsieur, dans leur lutte sans merci,
Trouvent refuge dans des rêves à moitié endormis.
La rage gronde face aux abus et à l'injustice,
Le soulagement est rare, la peine souvent trop intense.
Mais dans ce monde implacable, où l'énergie se perd,
Ils gardent en mémoire chaque épreuve, chaque désert.
Perdre est facile dans cette réalité sans pitié,
Le rire se fait rare, l'espoir souvent émietté.
Pourtant, vivants dans l'ombre d'un jour à l'autre,
Ils avancent avec résilience malgré les fautes.
Dans ce voyage sans fin vers un avenir incertain,
Ils puisent leur force dans le quotidien trop humain.
Et malgré les épreuves, malgré les tempêtes,
Ils restent debout, témoins d'une vie concrète.
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L'atelier image no 25 chez An'Maï
++++++++
Sculpté sur le sable d'ocre, un cœur rouge sang
semble battre au rythme d'un souffle de vent.
Les cicatrices sont encore visibles.
Sa vie n'a pas été paisible.
Il a été brisé tant de fois
qu'il en porte ses croix.
Sur le sable d'ocre, il a surgi de la mer,
où était ce d'une rivière ?
Nul ne saura ce malheur,
car ce cœur là se meurt
de n'avoir point été aimé,
mais seulement sculpté.
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Laissez libre à votre imagination en utilisant
les phrases, mots, expressions et thèmes proposés.
Chez Nanou ici
Chez Nanou no 88
- Phrases : enrubanné dans son drap - sans aucune gêne -
parfaitement heureux - devenir un foudre de guerre -
se retirer tout bonnement - fidèle à sa légendaire réputation -
la porte d’accès.
- Mots ou expressions : entre la poire et le fromage -
battre la semelle - retirer – firmament – silhouette.
- et/ou Thème : Misère.
...............
La misère
Sans aucune gène, l'air parfaitement heureux,
fidèle à sa légendaire réputation,
il se retira tout bonnement par la porte d'accès.
Elle, enrubannée dans son drap de soie,
venait de lui dire ses quatre vérités sans ménagement,
fallait choisir, c'était elle ou elle !
Il se prenait pour un roi au firmament de son règne !
Assez avait elle dit ! Je n'en peux plus !
Je la hais, je ne veux plus la voir !
Sa silhouette venait à peine de disparaître qu'elle revint,
plus combattante encore pour devenir
un foudre de guerre. Il ne capitulera pas disait il !
Elle ne s'en laissera pas conter, c'est certain !
Elle se leva, laissant le drap et apparue vêtue seulement de sa peau.
Elle n'allait pas, entre la poire et le fromage, lui laisser croire à sa victoire.
Elle allait lui faire battre la semelle et bien plus qu'il ne pourrait le penser !
Depuis des années il lui mettait la misère ! Depuis des années elle disait amen à tout !
Finie la misère. Elle en avait ras la casquette de sa misère !
Elle se dirigea vers elle, la saisie
et la jeta par le balcon du cinquième étage...
Finie la misère ! Finie !
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Liste no 78 An' Mai
Odyssée, s'interdire, recommencer, auréolé, menace,
inimaginable, paradis, insolite, véhicule, audacieux
A quand la Paix ?
Dans le tumulte des âges, la guerre s'est élevée comme une Odyssée, un périple insensé où l'humanité s'est égarée dans les méandres de sa propre nature. Devant la menace perpétuelle qu'elle représente, il semble insolite que nous nous interdisions encore de tirer les leçons du passé.
Nous sommes auréolés de progrès, mais la guerre reste une tache indélébile dans notre histoire, un paradis perdu que nous ne parvenons pas à retrouver. Pourtant, dans cet univers où l'inimaginable semble devenir réalité, nous avons le véhicule de notre propre destin entre nos mains.
Il est audacieux de croire en un avenir dénué de conflits, mais n'est-ce pas là le défi ultime qui nous attend ? Recommencer, non pas dans la répétition stérile des erreurs passées, mais dans la création d'un nouveau chemin, où la paix soit le phare qui guide nos pas.
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Le mot mystère n'est pas un mystère.
C'est Adamantin
Mes anagrammes,
Diamant, aimant, amant, minant, matin, nanti.
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Pensées amoureuses
Dans l'aube fraîche d'un matin adamantin,
Un amant pense, le regard aimant mais incertain.
Son esprit minant les doutes, il avance,
Nanti de courage, de rêves en résonance.
Ses yeux, clairs comme l'aurore qui se lève,
Contemplent la nature qui s'éveille et s'élève.
Dans ce paysage où tout semble vibrant,
Il trouve la force, tel un aimant.
À travers champs, il chemine, le cœur léger,
Savourant chaque instant, loin des tourments passés.
Dans ce matin où tout semble infini,
Son amour, tel un joyau, brille, adamantin.
Il a suffit d'un appel , de quelques mots
pour dissiper les doutes et refleurir son amour.
Il a suffit d'un appel de son Isabeau,
pour que leur histoire soit leur toujours.
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Le nod des Mots
Le thème ;
Commencer son texte par " il ou elle '
suivi d'une expression française de votre choix
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Les combattantes de l'ombre.
Elle le sait. C'est là que le bât blesse.
Oser dire, oser en parler. Se dévoiler.
Paroles de répit, prier pour une messe.
La combattante en silence doit lutter.
Dans l'ombre des silences, un combat sans trêve,
se livre jour après jour, la maladie invisible.
Elle emprisonne les corps, les âmes en détresse,
et tisse un voile de douleurs ; l'indescriptible.
Les regards ne voient pas la souffrance profonde,
les sourires masquent ces blessures invisibles,
les douleurs se livrent bataille, très fécondes,
elles s'immiscent dans le corps, si terribles.
C'est une maladie énigmatique, sans visage,
elle se cache parfois pour mieux revenir.
Là où nul ne peut la voir, mais dans son sillage,
elle inflige ses tourments et ne veut pas guérir.
Les mots se font écho de souffrance intérieures,
les cris étouffés se perdent dans le silence,
le corps se courbe, chargé de douleurs,
et l'âme se débat, en quête d'indulgence.
Mais il faut croire en la force de la résilience,
en ces étoiles qui brillent malgré l'obscurité,
dans la compassion et la bienveillance si dense
car on se dit qu'un jour, elle va enfin cesser.
Ensemble, tendons la main à ceux qui résistent,
offrons leur l'écoute et la compassion sincère.
L'entraide qui se dessine n'est jamais triste,
et chaque pas vers la guérison est une lumière.
Que les mots soient remède, que les vers écrits ici,
puissent apaiser les maux des douleurs invisibles.
Que l'espoir nous devienne une douce mélodie,
pour nos âmes en quête d'une vie plus paisible.
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Sujet 1.
Lisières, rivières, jardin, soupirer, aller, sortir
Sujet 2.
Carnet, souvent, surgir, imiter, naïf(naïve) clairement.
Sujet 3.
Texte avec des mots qui finissent par " ette, aite, etes"
Sujet 4.
Texte avec des mots commençants par " D "
Sujet 5. Texte qui commence par
"Un jour j'ai" et qui finit par "je ne l'ai jamais su"
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Quoi de neuf ?
Un jour j'ai dit, en ouvrant le journal de la région.
" Quoi de neuf aujourd'hui ? "
1) La nouvelle du printemps qui arrive avec son cortège de fleurissement,
et ses jardins qui poussent leur chansonnette, les oiseaux
qui commencent leur amourette et refont leur nid.
2) Les lisières qui bordent les rivières retrouvent leurs visiteurs habituels
dans les doux matins de cette belle saison.
3) On voit sortir les tenues plus légères qui laissent deviner
les peaux encore bien pâles de l'hiver.
4) On voit, assis sur les bancs du quartier ceux qui se prennent
pour des prophètes des temps anciens et font la causette
sur les prédictions de chacun, certaines notées sur des carnets,
clairement tenus à jour pour le futur.
5) On voit aussi surgir dans les bois quelques asperges sauvages
qui veulent imiter les vraies. Elles sont naïves mais bien bonnes.
6) On voit souvent le regard des jeunes hommes aller à la conquête
de leur désir au passage des jeunes filles en fleur.
Elles sont si parfaites dans leur jeunesse rayonnante...
Désormais, ce sont elles qui mènent la danse et ne se laissent
plus conter fleurette sans le désirer.
7) Et avec tout cela, l'hiver se meurt, et soupire son déplaisir
de ne plus exister pendant quelques mois.
Il n'est plus le maître des lieux.
Je serais bien embêtée si je devoir choisir entre mes deux
saisons préférées, printemps ou automne,
je ne l'ai jamais su.
10 commentaires -
Atelier du 7 avril avec les mots de Janedeau.
Soleil, errances, chercher, frapper,
tête, roulis, jour, nuit, monde.
..........
Qui perd gagne !
Le jour on se souvient des errances de la nuit.
Elles ont empêché le sommeil de venir à nous.
La nuit, le soleil sur le monde de chez nous
s'est couché, on cherche enfin le calme.
Mais dans la tête c'est le roulis des pensées.
Il me faut décider du combat à mener entre jour et nuit !
Celui qui frappera le plus fort obtiendra mes faveurs.
C'est le jeu !
7 commentaires -
Après la fin du monde, une petite fille nommée Lila,
juchée sur un tabouret en bois, décida de peindre un arc-en-ciel.
Dans ce nouveau monde, son œuvre devint un symbole d'espoir,
rappelant à tous qu'après la fin, il y avait toujours
la possibilité d'un nouveau départ.
...................
..................................
Liste 77
Glaçant, lendemain, immersion, souligner, sensible,
enjeux, meilleur, maladresse, réinventer, rendez-vous
................
Le chaos.
Dans l'ombre d'un lendemain glaçant,
L'immersion dans l'obscurité s'accentue lentement,
Les enjeux se soulignent dans chaque regard,
Une sensible peur cachée, un mystère égaré.
Un rendez-vous clandestin, l'heure de la peur,
Où chaque pas semble lourd de malheur,
Une maladresse furtive, un soupçon d'effroi,
Dans cette danse macabre, où se perd la foi.
On réinvente les secrets dans l'ombre du mensonge,
Chaque silence résonne comme un glas funèbre, un songe,
Dans ce jeu de dupes, où nul n'est le meilleur,
Se dessine le tableau d'un malheur sans lueur.
Glaçante est la nuit, où les âmes se perdent,
Sous le poids des choix, des destins qui s'interfèrent,
Et dans ce ballet noir, où les cœurs se dévoilent,
Se révèle la noirceur des âmes qui s'empoilent.
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Laissez libre à votre imagination en utilisant
les phrases, mots, expressions et thèmes proposés.
Chez Nanou ici
Je n'ai pas traité le thème Insomnie.
..................
La maison de famille
La maison qui jouxtait un énorme châtaignier qui avait grandi
avec les générations qui s'étaient succédées, avait les persiennes closes.
Chose peu habituelle un samedi matin, à cette heure là.
Même pas une lumière nacrée ne filtrait par quelques interstices.
Le jardinet d'ordinaire toujours bien tenu ressemblait à un pagaille folle.
Un robe en laine jaune comme une blonde défraîchie
pendait encore sur la corde à linge.
La carriole de décoration était renversée alors qu'il faisait
beau temps et pas le moindre vent.
Quelques pains au pavot rassis trainaient dans un coupelle.
C'était impossible cette vision.
C'était comme une rivière qui vient de se tarir.
Même virtuellement, cette vision lui était impensable.
C'était comme si la vie avait quitté la maison et le jardin.
Il aurait voulu que l'obscurité l'enveloppe pour au moins penser
qu'il rêvait et allait se réveiller.
Ses yeux scrutaient la maison tandis que ses pensées allaient
et venaient semant doutes et détresse à la fois.
Pourtant ses parents savaient qu'il arrivait aujourd'hui.
Cela faisait trois ans qu'il n'était pas venu, ils devaient l'attendre !
Son cerveau s'emmêlait les phrases et ce n'était pas une mince
affaire que de retrouver sa lucidité !
Où étaient ses parents ?
Pendant qu'il commençait à douter de ce qu'il voyait, quelques maisons
plus loin, dans la rue, un couple âgé s'époumonait à l'appeler
du plus fort qu'ils pouvaient.
Benjamin s'était trompé de maison.
Arrivé à la grille de leur maison,
Sa Maman, tristement lui dit :
" Tu vois Ben, si tu venais nous voir plus souvent... "
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Le mot mystère n'est pas un mystère.
Lilou mot mystère pour le 1 avril
..........
a a e e n i i u l r j x t
Juxtalinéaire
définition : Traduction où le texte original
et la version, mis en regard, se correspondent ligne par ligne.
Mes anagrammes.
Ralentie, lenteur, Julien, jeunet
traine, Laure, ruine, taire, antre, neutre, nature.
..........
Rupture
Dans l'antre silencieux de l'absence, la lenteur s'installe,
Ralentie, l'horloge du cœur bat un rythme lourd et pâle,
Julien et Laure, séparés, ressentent l'absence entière,
Leur amour jeunet est prisonnier d'une cruelle barrière.
Julien traine sa peine dans la nature, en quête de répit,
Laure, de son côté, erre, son âme dans la ruine du départ infini,
Aucun mot ne saurait taire la douleur de leur séparation,
Dans ce neutre indescriptible, se perd leur passion.
Les jours passent, mais l'absence demeure, impitoyable,
Leurs souvenirs, comme des ombres, hantent chaque tableau,
Dans cette lenteur des jours, l'absence reste implacable,
Et seul le murmure de la nature console leur chagrin nouveau.
8 commentaires -
Mon mois émois chez Martine,
https://martinemartincosquer.over-blog.com/
............
Le mois de Mars
Février a été semé de rendez-vous médicaux.
Pour nous deux.
Voilà Mars qui est là et pour ne rien changer
on a encore des rv pour le contrôle technique ;
Radios, kiné pour Domy(genou) prise de sang,
nouveau traitement pour moi car le premier a été
source d'ennuis en tous genres ! J'ai eu tous les effets indésirables
avec un plus, le psoriasis s'est vu remplacé et mis à la porte par
Monsieur Eczéma qui a décidé d'envahir mon corps comme si il
lui appartenait ! Re visite dermato et re traitement nouveau !
Toujours en poussée eczéma à ce jour 18 Mars,
depuis la piqûre injectée de Stellara...
Avec déjà quelques effets néfastes ;
Essoufflements, ennuis digestifs, chevilles gonflées.
Démangeaisons et c'est cela le pire mais
il faut patienter jusque la 2eme injection du 10 avril.
Je revois la dermato le 19 avril.
Nous voilà le lundi 25 Mars.
Le 20 nous sommes allée au resto pour les 25 ans,
nos noces d'argent.
La semaine a été tranquille avec un rv prévu
à 14 h à l'hôpital et finalement eu lieu a 15 h45.
Contrôle du laser pour mon oeil gauche.
Tout va bien c'est déjà une bonne chose.
Dernière semaine de Mars, je vais résumer
en un seul mot ! Pluvieuse !
Nous voici le 31, il pleut encore.
Les effets du changement d'heure chez moi
sont terribles ! Réveillée a 3H rendormie a 5 H
Je suis endolorie avec cette pluie
Bon dimanche Pascal .
A bientôt en Avril !
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Atelier de ce 18 mars avec les mots de Janedeau.
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Garder, perdre, vague, mot, été,
bourdonnement, chuchoter, monde, pavé, mémoire.
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Apocalypse.
Le bourdonnement s'amplifiait jusqu'à devenir obsédant,
stressant, insupportable.
Il était comme incrusté dans sa mémoire.
C'était comme une vague qui ne finit pas de claquer sur les rochers.
Son monde, à cet instant, perdait pied.
Finit tout ce qui avait été avant ce supplice.
Des heures que ce bruit résonnait dans ses oreilles.
Lui martelait la tête ! Comme un pavé qui lui crevait les tempes.
Elle ne pouvait même plus se chuchoter en pensées les mots
de ses ressentis, les mots de courage et d'espoir.
Puis soudain tout s'arrêta !
Sans qu'elle s'en rendit compte tant elle se bouchait les oreilles
avec ses mains qu'elle gardait appuyées fortement dessus.
Le bruit avait cessé : Enfin ! Doucement elle retirait ses mains.
Le silence. Mais un silence assourdissant d'inquiètude.
Que se passait il donc !?
Elle sortit de la cave où elle rangeait, ouvrit la porte et
resta figée sur place. Rien dehors ! Rien que du vide.
Plus de vie. Plus de nature. plus de vent. plus de bruit. Rien.
Son cauchemar prit fin.
Son chat, couché sur sa poitrine, de tout son long,
ronronnait comme jamais !
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Atelier 6/2024 chez Maridan.
La ronde des mots
Présenter, royaume, partager, hamac, pieds,
prairies, étrangeté, renverser, exclamation, sanglant.
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Transportation.
Le château de ce royaume semble baigner dans une étrangeté énigmatique.
Les fenêtres opaques reflètent comme de la brume le long des corridors.
Le hall déjà est envahi de brouillard qui dissimule le décor.
""Mais où ai-je mis les pieds ??""
Je m'aperçois au son de ma voix
que j'ai exprimé cette exclamation tout haut.
Des draps blancs poussiéreux recouvrent les meubles,
les rideaux épais et lourds n'ont plus de forme.
Ai-je traversé un espace temps parallèle ?
Un hamac est dressé au milieu d'une grande salle
où sans doute les repas se partageaient.
Un drap le recouvre mais quelqu'un est dedans c'est sur.
La peur me gagne. Mon cœur bat plus vite.
Mes yeux vont et viennent partout
cherchant une porte de sortie !
Comment ai-je pu arriver ici alors qu'il y a deux secondes,
j'étais dans la prairie
verdoyante de ce premier jour de printemps.
Pourtant je ne dors pas, je ne rêve pas. Je ne cauchemarde pas .
Je me touche, je me pince, je sens mon corps. .
J'entends même comme un balancement..
Quelque chose grince...
Ca vient de plus haut.
Je lève la tête. Au-dessus de moi,
attaché à un barreau de la rambarde de l'étage,
pendu par le cou, se balance, un corps tout sanglant.
Comme présenté en décoration
pour effrayer les adeptes de la peur dans les fêtes foraines.
Le sang coule en flaques écarlates, à même pas cinq pas derrière moi.
C'est bien réel, Le sang est frais et ce n'est pas une boucherie où
l'on va faire le boudin, c'est un château
sorti tout droit du conte de Dracula.
C'est une femme. Son visage est exsangue,
presque comme translucide.
Je commence à avoir vraiment peur...
Je regarde alentour. Rien !
Rien que des riens plein de questions et de peurs..
"" Maman !! Alors tu viens manger ou quoi ?
Ca fait déjà dix minutes que je t'appelle ! ""
Je pose mon livre et je laisse échapper un,
"" Zut !!! Oui oui j'arrive...""
6 commentaires -
Cette fois ci le thème c'est des mots imposés donc je participe
Nid des Mots chez Abc
Avec les mots.
Euphorbe, encre, emmerde, entier, envie, espion.
L'euphorbe noire.
Jeune jardinier fraîchement sorti de l'école, diplôme en poche, œuvrait
depuis quelques temps dans la recherche de nouvelles variété à produire.
Il avait trouvé depuis peu peu comment faire muter une euphorbe en noir.
Il n'en existait pas ! Il serait le premier à faire cette découverte !
Euphorique, il en parla à ses amis, sa famille tout heureux !
De quoi donner au monde entier, l'envie de la cultiver aussi.
C'était sans compter sur l'espion du village qui contre bénéfice rapporta l'idée
et la façon de faire cette euphorbe noire.
Bientôt l'on su dans le village que le jeune jardinier
allait déposer sa trouvaille pour en recevoir le brevet.
Le jour dit, se présentant, tout heureux, qu'elle ne fut pas sa surprise
en s'entendant dire que le brevet pour cette invention était déjà déposé !
La mine déconfite, surprise, il rebroussait chemin,
se posant mille questions sur le pourquoi du comment..
Il avait déposé sur le papier blanc, à l'encre de l'espoir
tant de mots d'espérance, qu'il lui avait sembler
insoupçonnable cette déconvenue !
Il osait même penser, une sacrée emmerde !
Le pauvre comprit bien vite que la confiance avait été bien mal placée.
Il avait été trahi.. Mais qu'à cela ne tienne ! Il allait créer une autre fleur,
il allait inventer, découvrir une toute nouvelle fleur !
Et, il se le jura intérieurement, cette fois ci, personne ne le saurait.
9 commentaires -
Avec tous les sujets 234
Dans l'élan de l'écriture, sur les blogs,
Le silence se brise, oubliant les brouillards,
Clair est le chemin, petit en apparence,
Mais dans cet espace, le temps prend substance.
Dans la brume des mots, une farandole s'anime,
L'infini des idées étreint nos rimes,
La peur de faillir, de ne pas trouver,
Se calme doucement, dans la fantaisie déployée.
Facile n'est point l'art, mais l'envie nous guide,
À travers les fagots de mots, sans faillir,
Dans chaque brin d'histoire, une fine lueur,
Qui illumine nos cœurs, avec ardeur.
Les branches des pensées, telles des bras,
S'étendent dans l'espace, où tout se mêle là,
Et la brise légère, les copines de nos mots,
Cheminant ensemble, dans cet étrange flot.
Dans ce brasier d'émotions, où la mine s'exprime,
Les ateliers d'écriture, en toute intime,
Nous embarquent dans une danse sans fin,
Où chaque mot, chaque geste, est un lien.
11 commentaires -
Atelier de ce 18 mars avec les mots de Janedeau.
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Avec ses mots ci-dessous
Page / goût / marches / éclairer / chemin
voûte / abandonner / oublier / tendre / navires
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Absence
Comme un navire à la dérive,
abandonné sur les flots,
son chemin n'est plus qu'esquive.
Les pages de sa vie sont à l'eau.
Oublier le gout de lui,
oublier ses tendres baisers,
sans jamais être assouvie,
elle ne peut pas. Jamais.
Sous la voûte de son absence,
aucune marche ne mène à lui.
Rien pour éclairer sa souffrance.
Et de lui, toujours , elle se languit.
8 commentaires -
Liste 76 chez An'Mai
Régime, déménager, répondre, gratuit, masque, praticable, maintien,
civilisation, immunité, activement
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Liste 76 chez An'Mai
Régime, déménager, répondre, gratuit, masque, praticable,
maintien, civilisation, immunité, activement
Annonce spéciale !
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7 commentaires -
Laissez libre à votre imagination en utilisant
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Chez Nanou ici
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......
tessons de verre - des brides de conversation - chaque fin d’année
- une garde à vue -rentrez vite chez vous - luxe raffiné -
caméras de surveillance. avoir deux de tension –
paisiblement – escalader – humble – mordre.
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Soir de Réveillon
La bouche écorchée par des tessons de verre
lui avait laissé à vie des cicatrices.
Il n'avait pas écouté l'ordre donné !
"Rentrez chez vous " avait crié le policier
quand l'homme les jetait sur les passants ,
dans sa crise de démence.
Des bribes de conversation avaient fusé autour de lui.
Chaque fin d'année, il se passait des choses délirantes,
et les caméras de surveillance, étrangement étaient en panne.
Certains se retrouvaient allongés au sol avec deux de tension.
Alcoolisés comme des barriques à vin !
D'autres, paisiblement cuvaient dans les caniveaux.
Quelques uns se retrouvaient en garde à vue.
Ce n'était pas d'un luxe rafiné ce à quoi nous assistions cette année !
Une femme ivre s'apprêtait même à escalader le rèverbère !
Elle ne tarda pas à aller mordre le bitume de toutes ses dents.
Je me demandais au même moment si elle aurait encore à son réveil !
A mon humble avis, les gens ne savent s'amuser sans alcool, pourtant
sans alcool la fête est plus folle non ?
6 commentaires -
Atelier de ce 12 mars avec les mots de Janedeau.
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Joyeux Anniversaire Michel.
Dans le courant de la vie, un homme avance,
Sous la pluie des jours, il va et puis s'élance.
Son visage, témoin des rires et des pleurs,
Porte les marques du temps, malheur ou bonheur.
Il habite son monde, croise mille visages,
Éveillant en chacun des émotions en partage.
Mais ce jour particulier, où les années ont passées.
C'est à son ressenti qu'il pense, à ce qu'il va laisser.
Les fougères du temps ont orné son long chemin,
Chaque instant, chaque souffle, dans son voyage Alpin,
il transporte en son cœur les épreuves, les victoires,
Dans une langueur sereine, sans jugements, sans histoires.
Beauté de l'existence, fragile et éphémère,
il célèbre cet anniversaire, sans artifice, sans chimère.
Dans la simplicité et l'amour il trouve sa richesse,
et salue le présent, avec sagesse et tendresse.
Ainsi va le voyage de cet homme sans pareil,
Dans le flux du temps, il reste son propre éveil.
Que chaque année nouvelle soit une bénédiction,
que son chemin de vie soit toujours semé d'émotions.
A mon Fils que j'aime tant.
11 commentaires -
A la fenêtre
À la fenêtre, dans la clarté douce,
Je vous vois, rayonnant d'une lueur,
Dans cette nuit où l'espoir s'épouse,
Où la tendresse effleure chaque heure.
Il fait noir, mais vos yeux éclairent,
Comme des étoiles dans le ciel,
Dans cet instant où tout se perd,
Où l'amour brille, étincelle.
Je vous vois, et je m'émerveille,
De la beauté qui vous entoure,
Dans cette atmosphère qui réveille,
entre en nous, sans détour.
À la fenêtre, je contemple,
Votre présence qui m'envoûte,
Dans cette scène qui semble,
Un tableau où l'amour écoute.
Il fait noir, mais dans vos bras,
Je trouve la chaleur, la lumière,
Dans ce moment où tout se rassemble,
Où l'on s'étreint sans frontière.
À la fenêtre, dans ce doux émoi,
Je vous vois, et je m'abandonne,
Dans cette tendresse qui efface la nuit,
Où l'on se perd, mais où l'amour rayonne.
10 commentaires -
Avec tous les sujets 233
Mélancolie, attente, couleur, surprendre, craindre, voir
Malice, fugace, musique, aube, charmant, fort.
Entente, enjouée, envie, éden, émois
bourgeonne, chiffonne, donne, trône, neurones, bougonne.
Vivacité, vivre, vivace, virtuelle, virage.
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Le moulin du printemps
Le moulin tourne, tourne au rythme fugace des couleurs du temps.
Il bougonne entre ses ailes et donne l'air du vent.
Il trône comme le roi soleil qui donne dans le faste,
et que rien ne chiffonne dans ses neurones du plaisir.
Le vent parfois va le surprendre par sa vivacité.
Le printemps enjoué de malice joue sa musique dès l'aube.
C'est l'entente des émois dans le jardin d'éden.
L'envie de tout bourgeonne dans les cœurs ,charmant
les instants de vivre sans mélancolie,
en attente de toutes les surprises.
Le tableau n'est plus virtuel, il est arrivé le printemps .
Les fleurs vivaces s'offrent au joli mois de mars.
Les tournesols font des virages vers le soleil,
il ne vont plus craindre d'avoir froid, il faut les voir
se dresser fiers, forts et si beaux.
8 commentaires -
Le mot mystère n'est pas un mystère.
Il nous a été offert par la maîtresse des lieux
Logogriphe
Mes anagrammes
gloire, gigolo, rigolo, poire, réglo,
gogo, savoir, choir, philo, prolo.
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L'imparfait Totor
Totor n'a pas le cerveau intello,
mais surtout il est réglo.
Totor n'est pas un gigolo,
mais il est bien rigolo.
Totor est un gentil prolo,
qui n'a pas fait dans la philo.
Totor est généreux à gogo,
mais pas du tout aristo.
Ne le prenez pas pour une poire,
même s'il n'a pas le savoir,
le Totor se fait une belle gloire,
de ne jamais vous laisser choir.
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Liste no 75 An' Mai
Dantesque, à bon escient, dimension, potentiel,
interdire, ignorer, palpable, épreuve,
montagne, coûte que coûte.
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Le visionnaire.
Son esprit à l'analyse dantesque, dont la dimension
n'avait d'égal que son potentiel intellectuel, le servait
dans les épreuves qu'il ne voulait pas s'interdire.
Il avait déjà gravi des montagnes d'embûches,
bien sur avec des efforts, sans ignorer les répercussions.
Il savait utiliser à bon escient, les atouts à sa disposition.
Coûte que coûte, il la voulait. Son désir d'elle était palpable.
Il ferait tout pour elle, jusqu'à l'épuisement de ses forces.
Enfermé sous terre, allongé dans ce cercueil de bois, il luttait.
Il luttait pour celle à qui il tenait tant ; Sa vie.
Ses poings serrés il poussait de toutes ses forces.
Un filet de clarté. Il n'était pas encore enseveli.
La terre ne le recouvrait pas. Pousser ! Pousser !
La respiration devenait haletante. Pousser encore.
Il allait y arriver. Ne pas s'affoler. Respirer doucement.
Le filet de clarté grandissait. ¨Pousser, pousser !
Le couvercle a bougé. Il s'écarte de tous les côtés.
Le filet devient plus grand, plus lumineux. Pousser !!!
Soudain, il bouge. Le couvercle de bois s'ouvre.
Il peut respirer. Il aspire autant qu'il le peut.
Il se calme, prend l'air dans ses poumons. Souffle !
La lumière jaillit comme une fusée de son socle.
Il est libre. Il respire. Il a réussi. Il est en vie.
Il sort devant la foule médusée aux yeux exorbités.
Il est là, devant le cercueil de bois, il les regarde.
Oudini s'est libéré. Juste à temps pour sa vie !
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Atelier Maridan no 5/24
sujet 1 Ronde des mots et phrases.
""Hommage à mon Amie Adeline""
............
Pluie, soleil, rêve, muraille, orang outang, désespoir,
devenir, genoux, recevoir, glacier.
Se contempler ou regarder le miroir, sur la route des vacances, les voitures roulent lentement,
aimer c'est se surpasser, une chanson s'élève au milieu de la nuit.
......................
Elle contre Elle
Sa vie, depuis le diagnostic, c'est "rires et pleurs", "soleil et pluie".
C'est une chanson qui s'élève dans la nuit pour lui chanter le rêve.
C'est aussi un refrain qui scande le désespoir.
Sa vie à elle, c'est la muraille fantôme. Un jour là, un jour absente.
Sa maladie à elle ! Sa compagne joyeuse parfois, puis soudain démente.
Sa maladie à elle, c'est sur la route des vacances, là où les voitures
roulent lentement qu'elle l'a redoute le plus.
Allait - elle surgir et la laisser dans la mélancolie alors que les autres
s'amusent, chantent, dansent, se reposent.
Sa maladie à elle c'est une valise d'incertitude qu'elle traîne,
parfois à genoux, suppliant la bonne humeur de prendre racine
en elle. Elle est dans ces moments d'euphorie comme l'orang-outang
qui se frappe la poitrine d'avoir fait succomber sa promise !
Sa vie à elle, c'est lutter contre Elle. Ne pas la laisser devenir sa proie.
Ne pas être celle qui va recevoir sa mortelle attaque. Lutter, lutter encore.
Elle s'aimait tant quand la phase joyeuse l'envahissait.
Se contempler ou regarder le miroir, devenait un plaisir intense ces jours là.
La phase de joie durait quelques temps
avant que l' Autre l'attaque, sournoisement.
Sa maladie à elle c'est un été,
c'est un glacier qui lui offre des glaces roses.
Sa maladie à elle c'es le gel qui recouvre les trottoirs et la fait chuter !
Sa vie à elle, des hauts et des bas, l'allégresse et la détresse, tour à tour.
C'est elle contre Elle.
La seule différence avant l'annonce, avant le verdict, c'est que maintenant
elle sait. Elle a mis un nom sur tous ces ressentis, sur ses hauts et ces bas.
Elle, la Bipolarité, son amie toxique contre qui elle doit se battre.
Son espoir, la faire mourir, la détruire à jamais.
Une pensée fugace. Est ce possible ?
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Sur le fil du temps qui passe j'écris.
J'écris sur la vie, sur ma vie.
J'écris pour ne pas hurler.
J'écris pour ne pas pleurer.
Ecrire, c'est composé ce qui fait vibrer.
Guider la plume pour la laisser parler.
Ecrire c'est réconforter, c'est aussi apaiser.
C'est s'émouvoir toujours des mots des autres.
Ecrire c'est partager un peu de moi avec vous .
J'écris le temps qui passe de fil en fil.
J'écris sans compter le temps qui passe.
Le temps s'enfuit au fil de mes mots.
L'évasion par les mots c'est ma sérénité.
J'écris à la terre, à la mer, à la vie.
J'écris aux saisons, je m'enfuis.
La plume glisse, pose mes mots,
pour soulager un peu mes maux.
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Un clic sur le logo si cela vous dit
.............
Aujourd’hui je me sens :
Pleine de douleurs, suite aux effets indésirables de mon traitement pour le psoriasis. Les effets indésirables surpassent l'efficacité.
Le matin, la première personne à qui je parle une fois sortie de la maison.
Le premier voisin que je rencontre.
J’ai été super contente :
De recevoir mes amis pour le café cette semaine. Je les adore.
Ça m’a franchement énervée de :
De regarder les infos et leurs horreurs
Je suis grognonne :
De voir l'inflation "flationner " encore plus.
Nan, mais franchement, tu trouves ça normal de/que :
Nous devions subir d'être les vaches à lait.
C’était exquis de :
Passer une journée sans me gratter.
Ca me rend extatique :
Pfff où sont les extases d'antan ?
Je dis « respect » à :
A ceux qui le méritent dans l'ombre où ils sont.
Je ne résiste pas à :
ouvrir ma bouche pour dire des vérités et c'est mal perçu !
J’vais t’dire une bonne chose :
J'fais c'que j'veux quand j'veux !
Dans ma bagnole je n’ai besoin de personne et j’écoute à fond :
Pas de musique, pas de radio ! Concentration, la route est peuplée de fous du volant.
La pensée hautement philosophique de la semaine :
Je ne philosophe plus , j'argumente !
Je me taperais bien :
Ohh mais fichtre vous êtes indiscret !
J’ai été raisonnable :
Depuis mes 50 ans ! On boit plus, on fume plus et le reste ben ça vous regarde pas na !
Ce mois pour la première fois j’ai :
Je n'ai rien vu ou fait pour la première fois ce mois çi !
C’est bien la dernière fois que je :
Hou !!! Ne présumons de rien !
L’émission de tv, de radio, ou l’article de presse qui m’a le plus frappée ce mois c’est :
Leurs conneries et leurs horreurs . BFM
Plutôt que d’être assise à mon bureau, là, tout de suite j’aimerais mieux :
Etre avec mes 4 enfants autour d'un repas que je n'aurais pas fait !! Un resto par exemple tiens !
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Mon mois émois chez Martine,
https://martinemartincosquer.over-blog.com/
.........
Le mois à mal commencé comme janvier avait mal fini
cela n'a pas beaucoup changé les choses.
Ma fille Séverine, 1 an après l'accident de son mari
en a eu un aussi le 9 janvier.
Hôpital, plâtre , fauteuil roulant, douleurs etc.
Radios, Irm, Scanner etc
Je vous passe les détails
Des rv pour mon Domy et moi jusqu'au 29.
Le suivi pour mon traitement psoriasis toutes les semaines.
Entre temps tartinage de pommade et de crèmes tous les matins.
Le soir hydratation avant le dodo, je peux vous dire que ça occupe !
Plâtre enlevé mardi 13 pour ma Séverine.
Visite ce jour 17 chez le chirurgien qui a décidé de ne pas opérer
pour le moment, il veut avant que la jambe retrouve sa tonicité !
Alors 20 séances de kiné et sans doute encore après !
De rv médicaux en Rv médicaux tout le mois
Laser dans l'oeil gauche pour moi le 19.
Contrôle le 28.
Domy piqûre dans son oeil gauche aussi pour son
occlusion rétinienne. On a réussi à cumuler 3 Rv au même endroit
à la même heure ! Chacun son service !
Le top ! Un voyage au lieu de 3 .
Le 29, encore dermato pour moi à 18 h.
Heureusement c'est en bas de chez moi où nous avons
un pôle santé qui a ouvert en septembre 23.
Je ne met plus de tartinage ça sert à rien sauf
à rendre mon corps tout moite et pas de bénéfice.
Je me gratte toujours pareil.
Je pense que ce traitement à plus d'effets secondaires
pénibles que de réelle amélioration.
Va falloir en essayer un autre :
Affaire à suivre !
Je vous dirais ça en Mars pour le
mois émois de chez notre Martine.
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