• Avec les sujets 1 et 2 de l'atelier 215

    ...............

     Pierre assis face à la lucarne, la tête dans les mains, sentit une grande fleme l'envahir tout entier, il se sentait en manque d'air, presque en dehors de lui. Non ce ne pouvait être vrai. Il avait mal vu. C'était une mauvaise blague.

    Il était venu là pour savoir s'il pouvait aider Tony, lui dire ensuite qu'il serait là en cas de besoin, comme seul un ami fait, sans rien demander. Il n'avait écouter que son coeur, il aimait Tony comme un frère.

    Il redescendit aussi vite qu'il le put pour aller avertir les gendarmes de sa découverte. Tout chamboulé il expliqua. Plusieurs gendarmes le suivirent jusqu'à la maison abandonnée. Le cadenas fût vite retiré et tous restèrent pétrifiés parce qu'ils virent. Pierre aussi vit clairement ce qu'il avait seulement entrevu. Un gendarme demanda à tous de reculer, passa quelques coups de téléphone referma la porte et un gendarme resta là en surveillance tandis que tous redescendirent au village.

    Mais Pierre avait vu !

    Sur le mur sept photos, sept mèches de cheveux. Il y avait là les photos des sept disparues de la région, sauf une qui n'était pas une disparue mais tuée par un chauffard, la fille des Tissier. Il y avait avec Cathy, Ninon, Lucie, Manon, Sophie, Justine, et Carla. Sous chaque photo, une mèche de cheveux. Les photos étaient un peu jaunies par le temps.

    Pierre laissa éclater sa douleur, le corps secoué de sanglots.

    Il pleura très longtemps. 

    Mais où était Lucie ? Sa photo était là.. Pourquoi ???

    A suivre


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  • Avec les sujets 3 et 4 de l'atelier 214

    ..............

    Pierre, au travail dans son atelier venait lui aussi de voir l'épicier repartant du village en passant devant son atelier comme toujours. Il n'avait pas comme chaque fois été prendre quelques courses au camion, car il était allé en ville renouveler sa quincaillerie et en avait profité pour faire le plein de la semaine. Roland lui fit un grand signe d'aurevoir auquel Pierre répondit naturellement.

    Se délassant un instant après sa matinée de travail, son regard se porta sur la colline, il  vit Tony descendre de la colline, mais lui le vit sans outil. Il se demanda ce que pouvait bien faire la haut le Tony. Arrivé en bas vallon, Tony passa devant chez Pierre qui en profita pour lui demander ce qu'il se passait la haut !

    " Oh rien dit Tony, c'est juste que le maire veut restaurer la maison abandonnée de la colline, alors je suis allé y faire quelques bricoles""

    Pierre était intrigué de la réponse confuse, de Tony en ce qui concernait la vieille maison car il n'en savait rien et le maire ne lui en avait pas parlé alors il décida d'aller y jeter un oeil, voir si il pouvait aider Tony.

    Arrivé en haut de la colline, la douleur sourde en lui se réveilla, c'est là que l'on avait déterré les corps. La mine défaite à ce souvenir encore récent, les pensées en désordre, il décida de chasser ces délires de sa tête. Les conflits avec lui même lui pesaient trop et devaient cesser. Il le savait.

    Peu importe qu'il s'en défende, tout se mélangeait, rien ne concordait de ses suppositions au sujet de la disparition de sa Lucie.

    La vieille maison n'était pas si délabrée que ça. Pierre s'étonna de voir un gros cadenas à la porte puisque la maison avait toujours été ouverte aux quatre vents mais il est vrai que depuis des années il n'était pas venu ici. La maison était à peu près deux kilomètres plus haut de là où l'on avait repérés les corps.

    Il essaya de regarder par les fenêtres mais elles étaient bouchées par des cartons de l'intérieur. Il contourna la maison et vit une lucarne ouverte. Il passa la tête et ce qu'il vit lui fit faire un bond en arrière..

    Oui il avait bien vu. Là sur le mur étaient accrochées des photos bien alignées...

    A suivre

     


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  • Laissez libre à votre imagination en utilisant 

    les phrases, mots, expressions et thèmes proposés, sans les modifier.

    Chez Nanou ici

    Atelier chez Nanou. no 25

    un clik sur le logo pour participer

    et voir les propositions.

      ............

     Promesses dans le vent.

     

    Dans le temps, courtisée par un moussaillon, elle avait succombé

    dans une ambiance champêtre, au beau marin de passage.

    Allongés sur le sable de la plage, ils s'étaient fait des promesses,

    jamais tenues évidemment, tout en contemplant le ciel de Bretagne.

    Elle n'avait jamais voulu forcer le destin, n'avait essayer de le revoir.

    Elle gardait de ces instants un apaisement extraordinaire quand elle regardait

    son fils Yann, né de ses amours avec son beau moussaillon.

    Le temps avait fait son œuvre mais elle gardait à son trousseau de clés,

    le scoubidou qu'il lui avait fabriqué, comme pour lui dire, ne m'oublie pas.

    Yann savait son histoire bien que dans son enfance, piquée au vif par ses questions

    elle avait du lui révéler les circonstances de sa naissance.

    Elle était depuis, toujours restée sobre sur le sujet.

    Le moussaillon n'était jamais revenu, il n'avait jamais su que son

    passage sur cette île avait laissé une partie de lui qui avait grandie et

    était devenu un homme à qui elle avait inculqué de belles valeurs.

    Si elle lisait les magasines à scandales, elle saurait que son moussaillon

    était à présent un homme d'affaires comme on dit et que son nom

    était connu de tous et que les bateaux étaient désormais à lui !

    Mais de cela Elise s'en moque bien.

    Son fils, son métier, son île suffisent à son bonheur.

    Atelier chez Nanou. no 63

     


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  • Atelier Janedeau de Avril

     Avec les mots

    vallée, fermer, chercher, demander, vagues

    espérance, ciel,, beau, vœux, vent

    ...........

     

    Est-ce la Sagesse ?

     

    Il fut un temps où je me trouvais dans une impasse,

    dans une vallée pleine de vents mauvais

    si terribles que le passé prit possession de mon présent,

    si fort que des impacts font maintenant 

    bien des vagues de dégâts et que de petits

    tracas sont là, irrémédiablement dans mon ciel.

    Des actes d'avant sont encore des états d'aujourd'hui 

    et sur la piste de ma vie, ils ressurgissent implacablement.

    Je pactise donc avec moi-même, je me noie dans l'espérance,

    je tamise mes beaux mots et j'apprends à dire merci

    pour ne pas dire merde et je ne demande rien en vœu.

    C'est fou comme on se bonifie avec le temps

    quand on sait qu'on a plus de vie derrière que devant et

    que l'on se dit ; Ne cherches plus rien, ferme ta bouche.

    Ils comprendront plus tard, trop tard,

    comme je me le suis dis aussi un jour...

    Atelier Janedeau de Avril

     


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  •  Liste 55 :

     Avec les mots;

    fantastique, école, retour, affiche, semaine,

    jusqu'ici, complément, se dépêcher, tomber, effréné.

    .....

     

    L'incohérence

     

    -Ah ah ah !! Mais quelle aberration tu as faite là ,

    dit Marie à son amie écrivaine amateure.

    -Tu as dû faire l'école du rire toi car jusqu'ici je n'avais jamais

     entendu ni lue pareille bêtise, ah ah ah tu as fait belle ma semaine toi,

    il faudrait te mettre à l'affiche pour un retour fantastique dans un

    café théâtre où tu lirais ton histoire, tu serais à tomber parterre,

    tu fais trop fort dans le complément d'objet direct ! ah ah ah !

    Et la voilà repartie dans un rire effréné, les yeux pleurant de rire aussi.

    Vous voulez sans doute savoir pourquoi n'est-ce pas ?

    Eh bien figurez vous que lorsque j'écris mes histoires, je la relis tout 

    haut à mon mari qui me signale de suite une erreur !

    Bien sur le lendemain, je raconte ça à Marie et vous avez vu sa réaction !

    J'avais écrit dans mon histoire des disparues ceci

    " Grace au détecteur de chaleur, on retrouva les corps "

    Normal qu'elle a eu un fou et que je me sois dépêché de la suivre non ? 

    Vous riez vous aussi ?

    J'en suis contente si vous avez passé un bon moment.

     

    Liste 55 pour l'atelier de An'maï et compagnie.

     

    Liste 42 pour l'atelier de An'maï et compagnie.

     


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  • Article spécial pour une personne très spéciale.

    Article spécial pour une personne très spéciale.

     


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  •  


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  • L'affaire des disparues. Chapitre 6. Pour Nanou no 62

     

    Pierre ce matin, se rendait chez les gendarmes. Il voulait savoir si quelques indices

    nouveaux auraient pu mettre sur une piste avec la découverte des corps de jeune filles.

    Ils ne pouvaient rien lui dire bien sûr.

    Glissant comme une anguille sur le sujet, le gendarme de service le ragarda quand

    même tristement car il connaissait bien Pierre.. 

    Chaque fois qu'il venait ici, il repartait encore plus meurtri. 

    Personne ne l'informait ! On ne lui disait rien ! Mais de sa sœur, ils ne savaient rien.

    Il aurait tant voulu mettre un point final à sa quête et la retrouver !

    Il voulait la revoir, retrouver son brin de folie, sa voix tonitruante quand

    elle criait dans le vent.

    Il sortit et pour lui dehors il faisait noir comme dans son coeur.

    Avec le temps, rien ne se passait qui puisse lui donner un petit espoir de savoir.

    C'était comme une énigme dangereusement insoluble.

    Même Tony ne savait plus le consoler.

    Tony son ami de toujours que Lucie idolâtrait.

    Comme il pensait à Tony, il fit un détour par la mairie pour voir Tony.

    Il le trouva alors qu'il arrivait d'une patrouille sans doute.

    Ils discutèrent un peu mais Tony n'avait pas le temps, il devait aller

    rendre un service au maire et Pierre voyait bien qu'il ne dissimulait pas

    un sentiment de fierté depuis qu'il avait été promu garde champêtre.

    Il le laissa donc et rentra chez lui.

     

     

    On était mardi. Monique s'occupait des tâches à faire. C'était court un seul jour pour tout faire.

    Parfois elle devait continuer le dimanche, leur jour de repos. 

    On était mardi donc Roland allait au village des disparues ce matin ! Elle y pensait beaucoup.

    Elle se demandait comment il allait réagir, elle espérait qu'il soit compréhensif car depuis

    le dècés de leur fille ainée, il était bourru, coléreux, sauf avec elle et Cathy...

     

    Roland ouvrait son auvent sur la grande place du village. Là où les corps avaitent été découverts.

    Les villageois arrivaient. L'arrivée de Roland était toujours attendue le mardi.

    Il rapportait souvent des commandes de la ville, les journaux aussi, les mensuels.

    Toujours les mêmes venaient mais ce mardi, Tony et Pierre ne sont pas venus. Roland l'a bien remarqué mais n'a rien dit. 

    Il repartit une fois ses livraisons et commandes faites à tout le monde. Les saluant avec un "A mardi prochain ", sans avoir trop parlé.

    En roulant sur le chemin du retour puisque c'était le fin de sa tournée, Roland vit Tony escalader la colline.

    Roland sourit car il pensait que ce sacré Tony depuis qu'il était passé garde champêtre était bien fier.

    Mais il se demanda quand même ce que pouvait bien trafiquer ce Tony en haut de la colline...

    Surtout pourquoi avait il l'air de transporter des outils ?? Enfin bref,

    ce n' était pas ses affaires,

    lui il avait la route à faire pour retrouver Monique.

     


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  • Le mot mystère chez Lilou no 1-13

     Le mot mystère n'est pas un mystère,

    car offert par notre Lilou.

    Aminadversion.

    Les anagrammes avec sont;

    Dimension, raison, environs, demain, insomnie,

    invasion, version, drames, rames, manne.

    ......

    Un mal pour un bien.

     

    L'insomnie était là.

    Il savait qu'il ne fallait pas lutter avec elle,

    elle gagnait toujours à la fin.

    Aussi, il décida d'aller faire un tour dans les environs.

    Après tout, il faisait doux cette nuit.

    La nuit, la dimension du ciel lui paraissait bien plus grande

    que dans sa version du jour.

    Quel calme il ressentait, c'était comme une manne de bienfaits,

    comme une invasion bénéfique de sérénité où les drames

    du jour ont pris leurs rames pour aller voguer sur une autre planète,

    juste le temps de sa nuit sans sommeil.

    Il en oubliait son insomnie, sans raison d'ailleurs, venue en fait comme

    pour lui offrir ces moments de paix total, sans penser à rien.

    Pour l'instant , il est en contemplation son demain attendra..

     

    Le mot mystère chez Lilou  pour le 10 avril 23

     

     

    Le mot mystère chez Lilou  pour le 3 avril 23

     


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  • Avec quelques sujets de mon atelier 213.

    L'affaire des disparues. Chapitre 5

     Sur la gauche de mon blog, une rubrique contient

    tous les chapitres de cette nouvelle.

    ................

     

    Les Tissier venaient de déposer Cathy à l'internat avec mille recommandations comme toujours.

    Cathy commençait même à lever les yeux au ciel, et souffler, mais se contentait de dire "" Oui d'accord ''

    Le camion plein, la tournée commençait.

    Roland déploya l'auvent au premier village où attendaient les habitués.

    Bien sur ils parlaient tous de l'affaire des disparues, chacun y allant de son idée.

    Monique, toujours les yeux tristes disait;

    "Ah les pauvres parents, comme je les comprends. "

    Une fois pris des nouvelles et servis leurs clients, ils repartaient pour le prochain arrêt.

    Ce jour là, Monique dit à son mari :

    " Ces pauvres gens tu te rends compte Roland, eux, ils sont comme nous.

     Orphelins de leur enfant. mais ce pauvre jeune homme, lui il ne sait pas où est sa sœur, 

    ce doit être dramatique de ne pas savoir."

    "Tu sais ma chérie, chacun porte sa croix et ce qui doit arriver arrive.

    Crois tu que nous on a mérité ce qui nous est arrivé ?

    Les yeux fixés sur la route, Roland reprenait son masque de colère et serrait un peu plus son volant.

    Toujours il avait l'image du visage de sa fille devant les yeux et son sourire joyeux qui finissait en éclats de rire.

     

    Voilà presque deux semaines que les corps avaient été retrouvés.

     

    Finalement le "Capitaine" Ferry avait été remis en liberté.

    Il était rentré chez lui mais les regards soupçonneux l'avaient accompagnés.

    Comment se sortir indemne d'une telle situation ? Suspecté, incarcéré dans une affaire de meurtre.

    Ils n'avaient trouvé aucun élément pouvant l'inculper alors Joseph avait été libéré mais

    il savait bien qu'il serait surveillé, épié, en fait toujours suspecté.

    Toujours il crierait son innocence, il ne ferait que ça. 

    Arrêté parce qu'il connaissait toutes ces jeunes filles.

    Mais comment ne pas les connaître, elles et toutes les filles des villages?

    Il était le lien entre elles et leurs écoles. C'était lui le chauffeur de bus !

    C'était lui qui les conduisait toute la semaine. Joseph pensait sans doute à ce temps là en regagna sa maison.

    Pierre l'avait vu passer de son atelier. La maison du "Capitaine" était à quelques pas de son atelier.

    Joseph ne l'avait pas regardé. Il avait baissé la tête en passant.

    Pierre ne l'avait pas non plus salué comme il aurait fait avant.

    ""Ohé Capitaine ! Tiens bon la barre hein Joseph " aurait il crié à Joseph...Mais pas ce jour là

    Non, il n'avait pas pu car il ne savait pas, il ne savait rien. 

     

    Et si c'était lui ? 

     

    Il se souvient avoir pensé cette phrase et peut être même l'avait-il dite à haute voix.

    Voilà plus de quatre ans que Joseph avait été libéré.

    Puis un beau jour, sans doute avec l'autorisation, il  avait quitté le village. On ne savait rien d'autre.

    Il en avait eu assez de supporter les regards accusateurs alors qu'il se savait innocent.

    On n'avait plus entendu parler de lui et les médias non plus.

      

    L'affaire des disparues. Chapitre 5

     


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  • Voici les 10 questions chez Marla  

    1 - Quelles sont vos meilleures qualités ?

    Difficile d'être objective, le laisse la parole à mes amis

    2 - Quel type de musique vous énergise ?

    Aucune (voir le no 5)

    3- Diriez vous que vous êtes extraverti ou introverti ?

    Extravertie cela j'en suis sure

    4 - Que diriez vous à votre moi de 20 ans ?

    Peu importe, rien ne changera mon passé.

    5- Quel est le 1er concert auquel vous avez assisté ?

    Aucun, j'ai une ouïe hyper développée, les sont forts je ne peux pas.

    6 - Vous êtes plutôt sucré ou salé ?

    Je serai bien sucrée si mon diabète était d'accord.

    7 - Quelle est votre ville préférée ?

    Sainte Geneviève des Bois, en Essonne.

    8 - Quelle est votre forme d'art préférée ?

    Plusieurs, peinture, sculpture, dessins, aquarelle etc.

    9 - Quelle est votre deuxième prénom ?

    Paulette, celui de ma Maman

    10- Quelle est la meilleure chose qui vous soit arrivée hier ?

    Avoir dit ce que je pensais de l'attitude d'une amie à cette amie !

    Le mercredi c'est permis

     

    Un clic sur le logo pour en savoir+

     


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  • Les mots de montpellier chez Maridan . Atelier 14. 

    Les mots de montpellier chez Maridan . Atelier 3/2021

     La ronde des mots, 

    Restaurateur, activités, convoi extravagant, décision; chemise,

    affirmer, bourrique, personnalité, saoule.

    ..........

     

    Un ode à la nature.

     

    C'était un joli mois , dont les tons Ocres bordaient les Orées des bois,

    Ouvertes sur les Ouvrages de la nature qui s'Offraient comme des Oasis

    aux Odeurs d' Orchidées, d' Œillets, de verdure..

    Ces Offrandes étaient des Oboles de vie qu'on Observe et qui n' Ont pas encore

    subit les Outrages Où les Offenses des ignorants de notre belle terre !

    Il me plaît ici de remercier ceux qui Œuvrent dans l'Ombre et Orchestrent

    pour nous ces Opéras d'Oiseaux, tout en Officiant sans Omettre de laisser

    des Onguents magiques qui soignent nos arbres si majestueux, malgré les Orages vécus.

    Ce sont des restaurateurs de l'âme aux activités multiples. Il portent pour nous

    des convois extravagants de beautés et nous les déposent.

    Ils portent des chemises couleurs d'eau et d'air.

    ils affirment leur bienveillance et jettent dans le vent qui nous saoule plein d'ondes positives.

    Ils ont l'Ossature impériale, se dressent vers le ciel en Osant grandir avec Orgueil,

    pour nous Offrir cet Océan de plaisirs. Ils font Obstacle au soleil trop fort Où

    nous nous reposons à l' Occasion d'une balade, Occultant ainsi nos soucis Obscurs !

    Dans la nature, On Oublie les Objets ennuyeux de la vie qui nous Obligent à réfléchir...

    Ces personnalités diverses qu'elle possède, elles nous les donne en cadeau.

    Ceux qui nous Obsèdent et nous Oppressent avec Obstination...Ici l'Ordre règne en sage !

    Cette nature mérite bien cette Ovation de mots qui Obéissent tout simplement à un respect !

    Quelques Onces de vérités pour sa beauté ! Cette Odyssée de joie, de naturel...

    Sans elle, ne serions pas nous pas les Orphelins d'un bien être Original dans l'Opacité

    d'une vie incertaine ? Sans elle, ne serions nous pas nous tourner en bourriques

    ignorées ou vaincues par le loup ?

    La nature, on peut bien lui rendre hommage mais le mieux pour la remercier

    ne serait ce pas la bonne décision d'en prendre soin ?

    Chez Maridan .

    Source image ici

     

    Chez Maridan . Atelier 14/2022 La ronde des mots.


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  • Défi 280 chez les croqueurs de mots

     

    Cette fois çi, à la barre Annick, 

    qui nous propose 10 Mots et ou +

    Un texte rigolo avec des mots en "ouille"

    lumière, avant-jour, dare-dare, déjà-vu, hivernage,

    lambiner, plus-que-parfait, rythmer, synchrone, tic-tac

    J'ai mêlé les 2 sujets

    ........

    Le scribouillard

     

    Le gars dégingandé qui d'une jambe branchouille,

    est à des années-lumière de sa vie, son avant-jour,

    c'est encore trop tard pour son cerveau.

    Le synchrone, c'est pas pour lui, c'est trop.

     

    Quelle ironie le gentil scribouille

    vient d'être été édité pour ses bafouilles,

    écrites sans lambiner,

    lui qui ne parle pas , ses mots il les crachouille

    au plus que parfait inversé.

     

    Notre simplet du village qui irrite et cafouille

    contre toute attente en librairie vadrouille.

    Livre rythmé comme un tic-tac d'horloge.

    Il est content de remplir ses fouilles.

     

    Le mec qui à toujours un sourire en bouille !

    Dare-dare, il s'en va, s'en vient, portant

    un air de déjà- vu pendant l'hivernage.

    Il a la notice  du rire même s'il glandouille.

     

    Il est gentil comme tout cet arsouille !

    On y croit au succès de notre fripouille.

    Il a un petit défaut le petit, il bredouille

    dès qu'on lui tient la jactance, quel andouille.

     

    Le voilà tout penaud devant les miss brindilles.

    Tout rouge, le regard fuyant, il bafouille !

    Y'a celle du bois qui l'a alpagué, pour les papouilles,

    Sous la porte cochère, il lui a gratté sa cramouille.

    Il avait pas la notice le benêt de la patouille.

     

    Dans les ronces et les orties, il a mis sa bidouille.

    Il s'en retourne au bercail, comme un pédezouille !

    On sait qu'il a crier sa douleur après la vadrouille.

    C'était pas du coton la partie de jambouilles.

    Le pauvre, s'aperçut bientôt qu'il avait la chtouille.

     

    Il dut de ce pas aller consulter. Quelle merdouille !

    Le pauvre , son vermicelle est en filet de quenouille

    pommade et comprimés de rigueur pour les gratouilles.

    L'écrivain du village avait vu la tireuse de cartouilles,

    sur la table, les cartes avaient livré les bisbrouilles.

     

    Ecrire tu pourras, folâtrer cul nu sera une couille.

    Le benêt point ne l' a crue, de gratouilles  il se trifouille.

    L'onirocritie est une science quand même pas andouille.

    Le voila certes, bon écrivain, mais aussi en quenouille !

    Un chose est sure, avec lui, les mots, jamais ne rouillent.

     

    Défi 280 chez les croqueurs de mots

     


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  • Le mot mystère chez Lilou no 1-13

     Le mot mystère est un mystère.

    Les anagrammes avec aaeiottpgcs sont

    Actes, crise, grise, pacte, rages, tigre,

    cargo, triste, espoir, parigots, partage.

    ........

    La crise

     

    La crise est là.

    Les parigots font grise mine et les régions ont en partage leurs rages.

    Les actes des uns et des autres se veulent porteurs d'espoir

    mais je pense sans aucun pacte à venir.

    La foule rugit comme un tigre qui voyage dans le cargo des incompris,

    triste sous ses éclats de colère.

    Revendiquer, manifester est un droit certes, mais

    ravager, brûler, détruire jusqu'à blesser et tuer est -il la solution ?

     

    Le mot mystère chez Lilou  pour le 3 avril 23

    Le mot mystère chez Lilou  pour le 3 avril 23

     

     


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  • Chapitre 4. Chapitre 3  Chapitre 2  Chapitre 1

    L'affaire des disparues. Chapitre 4

    .............

    Avec les mots de la liste 54 chez An'Maï.

    Perspicace, sommeil, bienveillant, manipulation, consacrer,

    s'évader, équipe, charme, construire, diablement.

    ..............

    Monique, les yeux mouillés de larmes, de ce deuil, jamais remise, en avait perdu le sommeil.

    Roland, toujours bienveillant avec elle, mais diablement protecteur, consacrait sa vie

    à veiller sur elles et à leur travail dans lequel ils formaient une bonne équipe.

    Ils aimaient tous les deux le charme de chaque village où ils allaient vendre

    leur marchandise et s'étaient attachés à leurs habitués.

    Il leur avait fallu se construire une autre vie après la perte de enfant.

    Une autre vie sans elle.

    Cinq ans qu'ils survivaient sans elle, cinq ans qu'il avaient fait de Cathy, 

    la prunelle de leur yeux après que ce chauffard eut tué leur fille ainée.

    Cinq années que cet assassin vivait tranquille, sans jamais avoir été appréhendé.

    D'ailleurs Roland disait toujours qu'ils avaient bien vite laissé l'enquête de côté.

    Plusieurs fois il était allé chez les gendarmes, puis un jour on lui fit comprendre

    qu'il ne fallait pas revenir, que si quelque de nouveau se produisait, on l'appellerait.

    Aucun appel n'était venu et Roland ruminait sa colère et son désespoir.

    Demain, une nouvelle semaine. Demain ils déposeraient Cathy à l'internat

    puis ils feraient leur tournée, ensemble certes, mais la mort dans l'âme.

    Cinq années qu'ils vivaient ainsi, sauf les mardi ou c'étaient les jours que Monique consacrait aux taches de la maison, aux papiers ou autre chose pour la gestion de la maison.

     

    Pierre, resté seul après le départ de Tony lui aussi regardait les infos.

    L'affaire des disparues, après la découverte des six corps allaient être relancée.

    Cinq ans de son absence, cinq ans à ne penser qu'à elle sans jamais oser s'évader.

    Sans jamais osé partir, de peur qu'il ne soit pas là à son retour.

    Il était soulagé d'avoir l'atelier attenant à leur maison.

    Il pouvait travailler et surveiller.

    Il en avait du travail car il était le seul menuisier de la vallée..

    Perspicace, il avait suggéré des tas d'idées pour chercher Lucie. Toutes s'étaient

    avérées négatives, Les gendarmes avait cessé de chercher, il le savait bien.

    Il se pensait victime d'une manipulation terrible ou d'une malédiction tant il ne trouvait rien.

    On ne savait qu'une chose de ce soir là, elle avait voulu partir seule.

    Elle n'avait rien dit à ses amis de spécial. juste ces mots ;

    " A demain je rentre "

    Elle n'avait même pas un kilomètre à faire alors personne ne s'est inquiété.

     Il restait le seul des sept familles à ne pas savoir...

    Six savaient ce que la famille de Ninon savait.

    Valait il mieux ne pas savoir ou savoir et vivre ce que vivait les familles maintenant ??

     


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  • Laissez libre à votre imagination en utilisant 

    les phrases, mots, expressions et thèmes proposés, sans les modifier.

    Chez Nanou ici

    Atelier chez Nanou. no 25

    un clik sur le logo pour participer

    et voir les propositions.

      ............

     Parfum tenace

     

    Je vais vous faire une confidence, je déteste l'odeur du vin.

    Comble de malchance, pour lui et pour moi, un voisin a renversé

    il y à trois jours une bonbonne de vin bon marché dans le hall d'entrée.

    L'odeur était nauséabonde et s'est incrustée dans le tapis .

    Je suis sure que lorsque le tapis sera sec, il va nous renvoyer

    des poussières de vin sec. Beurk....

    Enfin bref, je vous raconte ;

    Un grand fracas dans l'escalier mardi, de but en blanc, nous a fait tous

    nous lever d'un bond pour voir ce qui se passait.

    Arrives au hall, tous nous avons eu un fou rire.

    Voir cet homme habillé en smoking, bien coiffé de gel et

    aspergé de pinard puant c'était comme un gag !

    On a du ouvrir en grand la porte du hall pendant qu'il montait chercher

    de quoi nettoyer. Surtout nous avons aéré car l'odeur était tenace.

    Je m'aperçois que je n'ai pas utilisé plus petits et plus dociles,

    j'espère que Nanou ne m'en voudra pas,

    je reprendrais du poil de la bête une prochaine fois..

     Atelier chez Nanou. no 44


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  • Mois émois chez Martine

    Mon mois émois chez Martine,

    https://martinemartincosquer.over-blog.com/

    .........

    Mars 23

    Semaine du 1er au 5 mars

    Plus de voiture depuis la semaine passée

    Embrayage à refaire.

    On change pas les habitudes ! 

    Radios du genou+echo pour mon Domy qui souffre beaucoup.

    Grosse poussée d'arthrose évolutive !

    Ophtalmo et opticien pour lui aussi.

    La vue de près a beaucoup baissé (occlusion rétinienne)

    Donc nouvelles lunettes de près et de loin.

    Samedi embrayage refait.

    .........

    Semaine du 6 au 12 Mars.

    Rendez vous chez endocrino le 7 mars.

    toiletteuse pour Kaly le 8 mars

    Anniversaire de la sœur ( en retraite depuis Février) à Domy le 8 aussi.

    A prendre nouveaux rv médicaux.

    On a fêté les 42 ans de mon dernier Michel ce 12 mars..

    .............

    Semaine du 13 au 19 Mars

     Rien à signaler de spécial, sauf des prises de RV

    encore pour des examens mais cette fois bien ciblés.

    .............

    Semaine du 20 au 26 mars.

    Le 20 c'était nos 24 ans de mariage. Jour du printemps .

    Pour la 1ere fois mon mari a oublié ! Il sera puni !

    Sinon rien à signaler.

    Beaucoup écrit et surtout commencer une nouvelle policière.

    ..............

    Semaine du 27 au 31

    Rien a signaler sinon que nos amis ont fêté leur 56 ans de mariage ce 30.

    Ce 31 rendez vous chez la dentiste,

    Domy et moi devons faire des travaux d'embellissement dentaires.

    Mois émois chez Martine .Mars. 23

     

     


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  • Les défis de la plume chez Evy no 354

     

    Défi no 354 chez Evy avec les mots

    Mots, écrire, émouvoir, posé, encrier,

    composer, guider, protéger, vibrer.

    ..........

    Ecrire j'assume car ;

    Ecrire, c'est posé quelques mots sur des maux.

    Ecrire, c'est composé ce qui fait vibrer.

    Ecrire, c'est guidé de l'encrier au papier, la plume pour parler.

    Ecrire c'est donner des mots pour protéger et réconforter.

    Ecrire, c'est s'émouvoir encore et toujours des mots des autres.

    Ecrire c'est partager un peu de moi avec vous ...

    Les défis de la plume chez Evy no 354

     

     


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  • Le mot mystère chez Lilou no 1-13

     Le mot mystère n'est pas un mystère.

     Voici le mot

    Troussepinette

    ...........

    Mes anagrammes

    Pirouettes, ensuite, peines, peintes, pointe,

    reines, répit, toutes, noires, utopies.

    .............

    La clé du possible

     

    Avec quelques belles pirouettes,

    elle avait laissé ses peines.

    Ensuite, elle les avaient peintes

    avec les couleurs de l'oubli.

    De la pointe de son pinceau

    toutes les noires furent effacées.

    Elle les avait coloré d'Amour

    pour en faire des reines d'utopies.

    Depuis, elle danse sans répit.

    Avec quelques belles pirouettes,

    tout est possible selon le poète. 

    Le mot mystère chez Lilou  

     


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  • Avec les mots de chez Arlette ici 

    .............

    L'affaire des disparues

     

    Chapitre 3 , Chapitre 2  Chapitre 1 

     ...............

     

    Pierre, assis dans le fauteuil du père avait le regard figé vers la fenêtre.

     Il se souvenait de la belle époque où Lucie, pieds nus, marchait sur l'herbe fraîchement tondue. 

    Il se souvenait de la bonne odeur du bonheur, de la présence de la joie aux couleurs d'amour.

     Lucie qui adorait voir fleurir les fleurs du jardin, quoi de plus normal que cette vie ?

     Il entend toujours son rire et à ce souvenir, esquisse un sourire qui veut paraître gai, mais dans cœur, il est triste. 

    Depuis sa disparition, il était devenu un autre Pierre. On le voyait souvent marcher dans la vallée, scrutant des recoins, 

    Il aurait tant voulu trouver quelques chose, n'importe quoi qui le mette sur la piste de sa sœur. 

    Il ne savait plus quoi faire et parfois devenait incohérent dans ses recherches. 

    Où était donc sa petite sœur ? 

    Il ne pensait qu'à cela, c'est pourquoi, il n'était pas avec les autres dans la grande salle de la mairie.

     Les familles étaient réunies la bas. C'est aujourd'hui qu'elles allaient savoir. Pierre restait devant la fenêtre. 

    Immobile, seuls quelques clignements de ses yeux prouvaient qu'il était vivant.. 

    Vivant oui mais si mort à l'intérieur. Il ne savait pas depuis combien de temps il était là quand soudain, on frappa à sa porte. 

    Son cœur s'emballa, le sang battit à ses tempes tandis qu'il ouvrait... 

    Tony était là. Tony le garde champêtre, Tony son ami aussi. Tony, il sait tout sur tout. Tony l'avait soutenu. Mené les recherches. Placarder les affiches. 

    Tony avait toujours été là. Il se regardèrent intensément, sans parler puis Tony dit ; Voilà c'est fait mon Pierre , tous les corps ont été identifiés... 

    Pierre le visage blême resta là devant Tony, sans bouger, le souffle court. 

    C'était comme si il ne pouvait plus respirer. 

    Il prit une grande inspiration et dit; "Lucie est la bas ? " Tony prit Pierre dans ses bras le serrant fort et lui dit; 

    " Non Pierre elle n'y est pas " Pierre pleura, sanglota, se laissa tomber sur une chaise pendant que Tony s'asseyait

     sur une autre pour lui expliquer les conclusions de ce qui leur avait été annoncé.

     Toutes les jeunes filles étaient les disparues de la région et du village mais pas Lucie.

     " Pierre n'arrêtait pas de répéter; " Mais ou est ma sœur ? Mais où est ma Lucie alors ??" 

     

    Dans un village, à quelques centaines de kilomètres de là où les corps venaient d'être retrouvés, 

    un couple d'épiciers ambulants regardait les nouvelles au JT . 

    Les tissier, Monique et Roland, la jeune soixantaine, avaient eux aussi perdu une fille.

     Mais pas disparue comme celles çi non ! Leur fille chérie avait été écrasée par un chauffard ivre et il ne leur restait plus que Cathy. 

    Sur le bahut, trônaient des photos de chacune d'elles. Il la protegeait plus qu'il ne le devait mais on pouvait les comprendre.

     Roland, soudain, entendit le procureur dire que les six corps retrouvés avaient été identifiés sauf Lucie Dumont, 

    qui elle n'était pas parmi les corps. Il prit Monique dans ses bras, la serra fort et tous deux regardèrent Cathy 

    qui révisait ses devoirs de vacances avant la prochaine rentrée.

     Elle allait faire sa terminale et ils en étaient très fiers.. 

    Roland dit tout bas à Monique. "T'en fait pas ma chérie, celle là, on ne nous la prendra pas "

     

     


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  • L'affaire des disparues. Chapitre 2. Mon atelier 212.

    Avec plusieurs sujets de mon atelier 212.

    Chapitre 2.

    .............

    Pierre pleurait....

    Les larmes coulaient sur ses joues sans qu'il même à les essuyer.

    Il pleurait tant que sa vue se brouillait,

    Sa limite de souffrance atteinte, il sanglota à en crier.

    En bas, près de l'église, à présent six corps reposaient dans des bâches noires fermées.

    Les pelleteuses avaient creusé partout où le détecteur avait repéré quelque chose.

    Pierre fut pris de frissons quand il vit qu'on emportait les corps.

    Le capitaine, menottes aux poignets remonta dans la voiture avec les gendarmes

    sans avoir fait aucun geste pendant le reconstitution.

    En fait il ne savait pas quoi faire. Il n'avait rien en mémoire. Il ne put que répéter son innocence.

    Les voitures mortuaires partaient, emmenant les corps au légiste pour les autopsies sans doute.

    Pierre redescendit de sa colline, un peu calmé,

    il espérait en apprendre plus au village.

    Il questionna mais personne n'en savait plus et les gens savaient à quoi Pierre pensait.

    Tous eurent des regards ou des gestes compatissants.

    Tous, dans la vallée se rappelait de Lucie.

    Lucie, sa lumière de vie, la seule famille qui lui restait après la mort

    de leurs parents dans l'incendie de leur ferme.

    Lucie, disparue à quinze ans. Lucie qui lui avait été confiée.

    Depuis l'âge de ses dix ans il élevait seul Lucie. 

    Il avait vingt cinq ans quand on lui confia la garde de sa petite sœur.

    Une grossesse tardive de leur mère qui pensait ne plus avoir d'enfant.

    Et Lucie les avait comblé de bonheur.

    Pierre avait poursuivi son éducation, la couvant comme son bien le plus précieux.

    Il avait l'audace et la fierté de penser qu'il faisait un bon père-frère.

    Voilà cinq ans que Lucie avait disparue un soir d'été. De la fête du village,

    jamais elle n'était revenue.

    Des recherches avaient été menées, des affichettes posées sur les vitrines et les arbres.

    L'enquête n'avait rien donné de concret.

    Voilà pourquoi Pierre pleurait.

    L'atmosphère était lourde, étrange, angoissante..

    Six familles vivaient le même drame , la même galère que lui.

    Seuls les parents de Ninon avaient pu entamer leur deuil.

    Il n'y avait pas de mots pour décrire leurs souffrances.

    Depuis cinq années, ils allaient de déceptions en espoirs chaque fois

    que l'on retrouvait un corps dans la région.

    Mais lui il voulait penser qu'elle était vivante, qu'elle était quelque part.

    Il demandait souvent pardon à dieu et à tous les saints...

    Il se sentait tellement responsable. Il n'aurait pas dû la laisser seule,

    mais à quinze ans, elle voulait un peu de liberté , être avec ses amis et à la fête locale

    il n'y avait pas vu de danger, tout le monde connaissait Lucie...

    Et si elle était parmi les corps ? Et si elle avait été tuée ?

     

     


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  •  Jeu ici chez Marla

     

    Le mercredi c'est permis(Même si on est jeudi)

     

    1- Qu’est ce qui vous surprend le plus chez les gens ?

     

    Leur hypocrisie

     

    2- Quelle était votre matière préférée au lycée ?

     

    Tout ce qui concernait le Français.

     

    3- Quelle est la pire décision que vous ayez prise ?

    Ne pas être partie plutôt pour ne plus être battue.

     

    4- Qu’est ce qui vous fait rire, quoi qu’il arrive ?

    Je me le demande aussi !

     

    5- Quelle est votre plus grande peur ?

    Perdre mes enfants avant que je ne parte moi même

     

    6- Quel objet avez-vous recherché sans succès ?

    Le Schmilblik et toujours pas trouvé !

     

    7- Voudriez vous un jour déménager ?

    oui

    8- Qu’est ce que vous avez de si spécial ?

    Le fait d'être moi même et je le revendique

    Si ça plait pas , du balai !

     

    9- Quelle est la 1ère chose que vous faites chaque matin ?

    Pipi, pas vous ???

     

    10- Quelle est la meilleure chose qui vous soit arrivée hier ?

    Il n'y en a pas eu qu'une  ! Me réveiller déjà !

     

    Le mercredi c'est permis(Même son on est jeudi)

     


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  • Tag Portrait Reloaded vu chez

    Soène  Pativore  Pomme de pin 

     ..................

    1) Si j’étais un moment de la journée ? 

     Le matin quand j'entends les oiseaux chanter.. 

    2) Si j’étais un mois de l’année ?

     Mai car je suis de ce mois

    3) Si j’étais une saison ?

     L'automne, elle me ressource.

    4) Si j’étais un plat ?

    Beef, frites salade

    5) Si j’étais un petit-déjeuner ? 

     Café au lait, pain et un bon camembert mais

    hélas c'est biscottes vu le diabète ! 

    6) Si j’étais un sport ? 

    Le tennis car j'aime renvoyé la balle certaines fois .

    7) Si j’étais une langue ? 

     Le français, les autres que je parle personne ne les comprends... 

    8) Si j’étais un site web ? 

     Le mien http://atelier-ecriture-de-ghislaine.eklablog.com

    9) Si j’étais un réseau social ? 

    Pfff, j'ai Face de bouc et Twitter mais bof quoi !

    10) Si j’étais un acteur ? 

    Alors ce serait une actrice et ce serait moi car je veux être celle de ma vie !

    11) Si j’étais une série ?

     Haven, il y a quelques années.. J'ai adoré ! 

    12) Si j’étais un instrument ? 

    Mon clavier....De PC.... Ben quoi les touches elles chantent quand j'écris ! 

    13) Si j’étais une matière scolaire ?

     Tout ce qui concerne le français, j'étais 1ere à l'école

    cela m'a permis de m'auto éditer de 3 livres déjà seule !

    14) Si j’étais une couleur ?

    Le vert, le mauve, le blanc , une seule c'est trop peu.

    15) Si j’étais un métier ?

     Chirurgienne c'était mon rêve, je me suis contenté du secrétariat médical !

    16) Si j’étais une odeur ? 

     Celle des forêts

    17) Si j’étais une fleur ?

     Les violettes

    18) Si j’étais une pointure de chaussure ? 

     39

    19) Si j’étais un vêtement ?

     Un long tee short

    20) Si j’étais un défaut ? 

     Râleuse et j'y peux rien , certaines choses m'agacent trop 

    21) Si j’étais une qualité ?

    Hélas trop franche et trop gentille, les deux me font des ennuis !

    22) Si j’étais une partie du corps ?

    Les jambes mais 2 nouvelles, les miennes sont foutues !

    23) Si j’étais un geste ?

    Un bisou que je pourrais déposé sur les joues de ma Maman.. 

    24) Si j’étais un objet ?

    Un stylo, je fais mes brouillons avec eux !

    25) Si j’étais un pays ?

     Le mien, la France

    26) Si j’étais une île ?

     Je n'en connais aucune et je ne voyage plus.

    27) Si j’étais un lieu ?

     Là où je suis heureuse quand j'y suis.

    28) Si j’étais un art ?

     La peinture.

    29) Si j'étais un bruit ?

     Le bruit de la pluie, j'adore.

    30) Si j'étais un phénomène naturel ?

    Les arc en ciel c'est fabuleusement beau.

     


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  • L'atelier chez Nanou no 60

     au creux des vallées - une goutte de sang - un croûton de pain - 

    ma toute première expérience - dans le labyrinthe -

    un accent italien - doux et fraternel. 

    confidence – maltraiter – brièvement – appréhender – étudier. 

    .............

    La randonnée

     

    Ma toute première expérience de randonnée, je l'ai vécue

    au creux des vallées alpines mais dans un labyrinthe d'incertitudes.

    Une randonnée où les confidences, sur un ton doux et fraternel

    furent écoutées par mon guide.

    Fort et beau avec un accent italien, brièvement il avait parlé de lui.

    Il maltraitait quelques phrases françaises qui m'avaient bien faite rire.

    Il avait étudié la langue au fil de son séjour, parfois il appréhendait

    de chercher les bons mots, c'était charmant comme le sont les italiens.

    Il portait au cou une fine corde à laquelle pendait

    une pierre en forme de goutte de sang.

    Il disait qu'elle lui portait bonheur.

    Les croûtons de pain de ce jour là avec la salade

    furent les meilleurs que j'ai mangé.

    L'histoire ne s'arrêta pas là mais vous n'en saurez pas plus.

    L'atelier chez Nanou no 60

     


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  • Il est passé par ici, par , ,

    et moi je l'ai pris chez Renée ici 

    ..........

    Tag-Love-Hate

    Le Tag ""LoveHate"" qui voyage de blog en blog.

    10 choses qu'on aime, 10 choses qu'on déteste

    ................

    J'aime

    1) la vie et les hommes qui m'ont donné 4 enfants que j'aime.

    2)  écrire , j'ai publié en auto édition 3 recueils déjà.

    3) La nature et toutes ses saisons mais ma préférée est l'automne.

    4) Mes blogs(4) car chacun comporte une passion ou un plaisir.

    5) La franchise car elle permet la confiance.

    6) Aider les autres comme je le peux quand je peux.

    7) M'occuper de mon appartement, un peu maniaque je suis.

    8) Papoter par texto avec les copines pour ne pas les déranger.

    9) Jouer au cartes, Tarot, belote, contrée.

    10) Le verbe aimer conjugué à tous les temps sauf l'imparfait

    ............

    Ce que je n'aime pas.

     

    1) Les mensonges, l'hypocrisie sous toutes ses formes même cachées !

    2) La cruauté, la violence envers autrui, surtout les enfants.

    3) L'injustice, la trahison, les rumeurs, les semeurs de merde.

    4) Faire les courses, voir les prix monter autant.

    5) Conduire longtemps sinon ma neuropathie me fait souffrir.

    6) Coudre et repasser sont pour moi des calvaires !

    7) Que mon mari fasse déborder l'eau quand il cuit qque chose !

    8) Que les médecins nous fassent attendre des plombes !

    9) Les Mrs et Mmes ""je sais tout " Moi à ta place "..

    10) Ne plus pouvoir revenir à mes 10 ans et savoir tout ce que je sais à 70 !

    ...........

    Si cela vous dit... Vous avez le libre choix !

    Le Tag ""LoveHate"" qui voyage de blog en blog.

     


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  •  Liste 53 :

     Redoutable, centenaire, désabusé, évolution, arriver,

    captivant, empêcher, hilarant, capitaine, reconstitution.

    ..........

    L'affaire des disparues.

     

    Assis sous le grand chêne centenaire, Pierre assistait de loin, bien caché,

    à la reconstitution du meurtre dans l'affaire du "Capitaine Ferry "

    On l'avait toujours appelé capitaine car il portait depuis tout gosse

    un casquette de marin que son père avant lui avait porté avant de mourir.

    Joseph Ferry était accusé d'avoir tué la jolie Ninon âgée de seize ans

    que tout le monde connaissait au village depuis sa naissance.

    Il était accusé aussi pour la disparitions de 5 autres jeunes filles.

    De la haut, Pierre voyait tout, il surplombait toute la vallée.

    Il connaissait ce lieu depuis son enfance où il avait fait des bêtises

    hilarantes avec les copains qui l'avaient tous laissé tomber pour aller à la ville.

    Il en était devenu désabusé, sans rien de bien captivant à faire.

    Depuis ses quatorze ans, il était le menuisier de la vallée.

    On ne lui connaissait pas de petites copines; Timide, il les fuyait.

    Son évolution n'avait guère progressée pourtant c'était un redoutable travailleur.

    Cela s'agitait en bas. On parlementait beaucoup.

    Le capitaine Ferry qui avait toujours clamé son innocence, un soir, à bout de forces

    avait avoué, reconnu le meurtre pour être enfin tranquille et dormir.

    Depuis, revenu sur ses aveux, il criait, hurlait son innocence.

    Son avocat ne lui avait pas trouvé un seul alibi pour l'heure du meurtre

    et lui dit qu'il dormait, seul chez lui, comme toujours à cette heure là.

    Des investigations avaient été menées mais de cela Pierre ne savait rien.

    Puis Pierre vit arriver des ambulances, des gens habillés

    tout en blanc avec des grosses mallettes, une pelleteuse.

    La pelleteuse creusait déjà le sol, à quelques centaines de mètres de l'église.

    Mais pourquoi une pelleteuse ? Le corps de Ninon avait été retrouvé.

    Cinq ans que le corps de Ninon avait été retrouvé.

    Alors pourquoi creuser ? Pierre ne put empêcher son cœur de battre plus vite.

    Il avait avoué le capitaine alors quoi ???

    Pourquoi n'en restaient ils pas là tous ces gens là ?

    Soudain l'engin s'arrêta de creuser. On se pencha, on regarda.

    On baissa la tête... Un corps était là, puis un autre à quelques pelletées...

    Pierre avait des sueurs froides..

    Liste 42 pour l'atelier de An'maï et compagnie.


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  • Les mots de montpellier chez Maridan . Atelier 14. 

    Les mots de montpellier chez Maridan . Atelier 3/2021

     La ronde des mots, sujet 2

    et sujet 3, portrait chinois.

    .............

    Sujet 3

    Ce que j'apprécie le plus chez mes amis ?

    Qu'ils m''aiment telle que je suis.

    Mon principal défaut ?

    Raleuse

    Mon occupation préférée ?

    Ecrire

    Mon rêve de bonheur ?

    La Paix partout

    Quel serait mon plus grand malheur ?

    Je ne veux pas y penser

    Ce que je voudrais être ?

    Ce que je suis à cet instant moi-même

    Le pays où je désirerais vivre ?

    France

    La couleur que je préfère ?

    Les couleurs de la vie

    La fleur que j'aime ?

    La violette

    L'oiseau que je préfère ?

    Impossible d'en choisir un seul

    Mes auteurs favoris  ?

    Maxime Chattam, Arlan Coben etc..

    Mes poètes préférés ?

    Mon fils et Baudelaire et d'autres

    Mes héros dans la fiction ?

    Thierry la Fronde, Robin des bois.

    Ce que je déteste par-dessus tout ?

    L'hypocrisie sous toutes ses formes

    Le don de la nature que je voudrais avoir ?

    Renaître comme les saisons chaque année.

    Comment j'aimerais mourir ?

    En dormant

    ...........

     

    Les infâmes 

     

    Les spéculations intimes viraient à l'obsession et le spectre

    de la diffamation planait lourdement sur Elise.

    Sous l'éclairage blanc du salon,

    son visage montrait une absolue maîtrise.

    Elle allait même s'abstenir de prêter quelques attentions

    aux mots qui défilaient sous ses yeux. Néanmoins, ils avaient été lus.

    Elle allait les effacer de sa mémoire comme on écrase

    une sale moustique têtue qui vous pompe le sang.

    Elle supprima les messages d'infamies, vida le tout 

    dans sa corbeille d'ordures pour un abandon total.

    Elle enleva leurs numéros de son répertoire comme

    pour gommer de sa vie cette parenthèse d'été à laquelle,

    elle dit merci à présent.

    Elise avait eu du chagrin.

    Elise s'était demandé pourquoi.

    Puis dignement, elle avait proposé à son cœur de pardonner...

    Mais, car il y a un mais désormais.

    Il serait inutile de présenter des excuses si l'idée leur en venait.

    Elise, de ces gens, ne veut rien savoir..

     

    Chez Maridan . Atelier 14/2022 La ronde des mots.


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  • Laissez libre à votre imagination en utilisant 

    les phrases, mots, expressions et thèmes proposés, sans les modifier.

    Chez Nanou ici

    Atelier chez Nanou. no 25

    un clik sur le logo pour participer

    et voir les propositions.

      ............

    La clé de l'indifférence.

     

    Il avait renoncé en cours de route à aller prendre ce malin

    plaisir de dire la vérité à cette intrigante et semeuse de problèmes.

    Sur ces entrefaits, il s'en était senti soulagé d'ailleurs, mieux

    valait ne pas donner d'importance ou de crédit a ses mensonges ou inventions.

    Un jour, le ciel au dessus de sa tête lui tomberait dessus .. !!!!

    Donc, dans la grisaille de ce mois de Février, être dans le coin du feu,

    à l'abri d'une tempête de neige, lui avait fait prendre la bonne décision !

    C'était vieux comme le monde qu'ignorer une personne malveillante

    était le mieux à faire car un jour, elle se retrouverait dans

    le panier à salade à force de médire, mentir, inventer et

    colporter de fausses rumeurs,

    C'est ça la minute papillon !

    Il ne faut pas faire fumer son cerveau pour des gens sans importance !

    C'est le vide de leur vie à ces gens qui fait que, pour exister, ils

    sont prêts à s'inventer des vies sur les réseaux et j'en connais !

    Ils ne sont tenaillés que par la recherche de ragots qu'ils

    propagent sur les autres, cela les fait exister les pauvres !

    L'indifférence est la réponse aux agissements de semeurs de M ...e.

     

    Atelier chez Nanou. no 59

     

     Atelier chez Nanou. no 59


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  •  

    Mon atelier 199.  Pour le 25 octobre

     J'ai pris tous les sujets

    ........

     La clé d'un déjà vu.

     

    Une nouvelle chaîne d'explosions violentes de mauvaises nouvelles

    venait d'être mises en évidence.

    Un voile opaque, depuis quelques semaines, planait sur elle

    comme un souffle, annonçant un séisme de pensées

    vers un passé qui fut difficile en son temps.

    Le vécu, encore bien vivant dans sa chair, mettait en émoi de nouveau,

    des questions en fusion, ravivées par le vent qui souffle encore

    ce qui déjà avait été souffert.

    L'oubli était venu, sage et ouvert sur un après positif,

    offert comme un joli cadeau de la vie.

    Les tons verts du printemps avaient la même couleur dans son cœur

    et c'était une valeur qu'elle avait fait sienne.

    Puis, aujourd'hui, sur le billet blanc, des mots tout noirs,

    sonnait le retour du passé.

    La valse des explorations allaient recommencer.

    La danse des questions, parfois ignorées revenait.

    Une seule certitude. La sienne.

    Deux fois elle avait vaincu le monstre.

    Ne dit-on pas "" Jamais deux sans trois ? """

    Le pont, devant elle, imposant et long,

    elle le franchirait.

     

    Mon atelier 209

    Mon atelier 198.  Pour le 10 octobre

     


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  • Le mot mystère chez Lilou no 1-13

     Le mot mystère est un mystère.

     Voici les lettres

    aaiioupnntdcl

    ....

    Mes anagrammes

    Action, ponctua, lançait, capital, connu,

    capitula, couinait, connait, capot, idiot.

    ...........

    Les voisins

     

    L'action s'est passé chez les voisins d'en face.

    Les fenêtres toujours ouvertes au printemps,

    c'est connu que ceux d'en face assistent à des scènes

    cocasses chez Victor et Monique.

    On les connait bien ces deux là.

    Ce jour là, Monique lançait des regards furieux à Victor

    pendant qu'il couinait de rage car il n'avait pas réussi à 

    ouvrir le capot de sa voiture pour vérifier l'huile.

    Il ponctua sa rage de mots grossiers !

    C'est que le Victor, il en avait du capital grossier à dire.

    Monique capitula, ne l'écouta plus et mis le son plus fort à la télé.

    Elle le connaissait son Victor, il devenait idiot quand ça

    n'allait pas comme il voulait.

    Les voisins d'en face riaient de les entendre car 

    Victor et Monique étaient un peu l'attraction du village.

    Fallait les voir partir en courses tous les deux, lui sur la moto,

    elle sur le sidecar à lui rouspéter tout et rien !

    Ils ne sont plus là tous les deux mais chacun se souvient d'eux.

    Le mot mystère chez Lilou  pour le 6mars 23

     

     

    Le mot mystère chez Lilou

     


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