• Mon texte 238. Tous les sujets.

     

     Atelier 238.

     

    Fil, complice, aveu, erreur, crier, suivre,

    seule, avec, son, plusieurs, sans, rien,

    gaie, gloire, glousse, gène, gant,

    désinvolture, armure, allure, leurre, rassure.

    ...............

     

    Le calendrier

     

     

    Sur le calendrier, tout était prêt.

    Seule avec son stylo, rien n'était laissé au hasard.

    Plusieurs croix barraient certains jours.

     

    Sans gloire, sans gène, sans prendre de gant, elle leur dirait

    de sa voix la plus gaie ! Elle dirait tout ! Elle se permettrait

    même de glousser quelques rires sournois. 

    Juste pour sa satisfaction personnelle.

     

    Son calendrier ! Ah qu'elle l'aimait !

    Il avait fier allure avec ses jolies croix.

    Quelle désinvolture au fil des croix complices !

    Aucun erreur possible !

    Le plan à suivre était incomparable.

    Aucun leurre possible !

     

    Elle avait pour armure tout un plan qui rassure !

    L'aveu, elle allait leur crier !

    Le jour, l'heure ! Le calendrier serait le juge et le bourreau !

     

    Son mari intrigué par les croix lui tint ce langage ;

    _ Dis moi chérie, pourquoi toutes ces croix certains jours au calendrier ?

    Malicieuse, elle répondit;

    _Ce sont les jours où je dois prouver que je ne suis pas un robot !

    Par exemple, je dois passer des captchas dans la vraie vie !

    Je dois identifier tous les passages piétons à la machine à café

    avant d'avoir droit à mon expresso.

    Son mari suggère ;

    _ Tu peux pas te télécharger un anti captcha ?

     

    Dites ! Vous savez si ça existe ça ???

     

    Mon texte no 238

    Mon atelier 226

     


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  •  Mon atelier 199.  Pour le 25 octobre

     Atelier 237 + 

     

    Victoire, simple, plusieurs, seul, aventure, surprise.

    Egarer, bois, ciel, pluie, chercher, arriver.

    ose, prose, pause, osmose, cause.

    fer, fendre, femme, feindre, feuille

    nuitlampadaire.

     

    ...........

     

    Une étrange nuit

     

     

    Dans la nuit sombre, le lampadaire éclaire son chemin solitaire à travers le bois. Les gouttes de pluie caressent doucement le sol, accompagnant ses pas perdus dans l'obscurité. Plusieurs émotions se mêlent en elle alors qu'elle cherche désespérément une issue à cette aventure nocturne.

     

    Seule, elle s''aventure dans les méandres de la forêt, cherchant à fendre le voile de mystère qui enveloppe chaque arbre, chaque feuille. Elle ose avancer malgré ses peurs, espérant trouver une victoire dans cette quête incertaine.

    Elle ne doit pas s'égarer.

     

    À chaque pause, elle ressent l'osmose entre le calme de la nuit et le tumulte de ses pensées. Une femme mystérieuse semble feindre l'indifférence dans l'ombre, c'est à peine si elle regarde, cela ajoutant une touche

    de mystère à cette nuit déjà chargée de secrets.

     

    Le ciel étoilé offre quelques lueurs dans l'obscurité, mais c'est le faible éclat du lampadaire qui guide ses pas avec plus de certitude. Elle se perd dans ses pensées, dans sa propre prose intérieure, cherchant à comprendre si la cause de cette errance nocturne va la mener là où il le faut.

     

    Finalement, après des heures d'errance, elle arrive au bout de ce chemin sinueux. La nuit a été une véritable aventure, pleine de surprises et de défis à surmonter. Elle contemple le paysage sombre autour d'elle, sentant une étrange satisfaction l'envahir. Dans cette nuit obscure, elle a trouvé une victoire simple mais précieuse : celle d'avoir osé affronter ses peurs et d'être arrivé au terme de cette épreuve nocturne.

    Elle n'a pas eu à croiser le fer cette nuit.

    Mais que cherchait elle donc dans la nuit ?

    Mais qui était donc cette marcheuse de nuit solitaire?

    Où allait elle donc ?

    Mon texte no 237

     

    Mon atelier 226

     


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  •  Mon atelier 199.  Pour le 25 octobre

     Sujet 1. Monsieur, madame, rire, vivant, jour, suivant.

    Sujet 2. Facile, mémoire, perdre, énergie, refuge, abus.

    Sujet 3. Teste avec des mots se terminant par "" age""

    Sujet 4. Texte avec des mots commençant par "" E ""

    Sujet 5. Texte avec le thème "" chaleur ""

    ...............

     

    Monsieur et Madame

     

     Dans la chaleur écrasante d'un été sans fin,

    Un élan d'effort dans l'air suffocant s'éteint.

    L'enfance, dans son innocence, cherche son chemin,

    Mais l'errance et la précarité sont son quotidien.

     

    Dans l'évidence cruelle d'un destin trop lourd,

    Les voyages se font rares, le courage s'égare toujours.

    Madame et monsieur, dans leur lutte sans merci,

    Trouvent refuge dans des rêves à moitié endormis.

     

    La rage gronde face aux abus et à l'injustice,

    Le soulagement est rare, la peine souvent trop intense.

    Mais dans ce monde implacable, où l'énergie se perd,

    Ils gardent en mémoire chaque épreuve, chaque désert.

     

    Perdre est facile dans cette réalité sans pitié,

    Le rire se fait rare, l'espoir souvent émietté.

    Pourtant, vivants dans l'ombre d'un jour à l'autre,

    Ils avancent avec résilience malgré les fautes.

     

    Dans ce voyage sans fin vers un avenir incertain,

    Ils puisent leur force dans le quotidien trop humain.

    Et malgré les épreuves, malgré les tempêtes,

    Ils restent debout, témoins d'une vie concrète.

     

    mon texte no 236

     

    Mon atelier 226

     


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  •  Mon atelier 199.  Pour le 25 octobre

     Sujet 1.

    Lisières, rivières, jardin, soupirer, aller, sortir

    Sujet 2.

    Carnet, souvent, surgir, imiter, naïf(naïve) clairement.

    Sujet 3.

    Texte avec des mots qui finissent par " ette, aite, etes"

    Sujet 4.

    Texte avec des mots commençants par " D "

    Sujet 5. Texte qui commence par 

    "Un jour j'ai" et qui finit par "je ne l'ai jamais su"

    mon texte no 23

     

    .........................

     

    Quoi de neuf ?

     

    Un jour j'ai dit, en ouvrant le journal de la région.

    " Quoi de neuf aujourd'hui ? "

    1) La nouvelle du printemps qui arrive avec son cortège de fleurissement,

    et ses jardins qui poussent leur chansonnette, les oiseaux

    qui commencent leur amourette et refont leur nid.

    2) Les lisières qui bordent les rivières retrouvent leurs visiteurs habituels

    dans les doux matins de cette belle saison.

    3) On voit sortir les tenues plus légères qui laissent deviner

    les peaux encore bien pâles de l'hiver.

    4) On voit, assis sur les bancs du quartier ceux qui se prennent

    pour des prophètes des temps anciens et font la causette

    sur les prédictions de chacun, certaines notées sur des carnets,

    clairement tenus à jour pour le futur.

    5) On voit aussi surgir dans les bois quelques asperges sauvages

    qui veulent imiter les vraies. Elles sont naïves mais bien bonnes.

    6) On voit souvent le regard des jeunes hommes aller à la conquête

    de leur désir au passage des jeunes filles en fleur.

    Elles sont si parfaites dans leur jeunesse rayonnante...

    Désormais, ce sont elles qui mènent la danse et ne se laissent

    plus conter fleurette sans le désirer.

    7) Et avec tout cela, l'hiver se meurt, et soupire son déplaisir

    de ne plus exister pendant quelques mois.

    Il n'est plus le maître des lieux.

    Je serais bien embêtée si je devoir choisir entre mes deux

    saisons préférées, printemps ou automne,

    je ne l'ai jamais su.

    Mon atelier 226

     


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  •  Mon atelier 199.  Pour le 25 octobre

     Avec tous les sujets 234

     Dans l'élan de l'écriture, sur les blogs,

    Le silence se brise, oubliant les brouillards,

    Clair est le chemin, petit en apparence,

    Mais dans cet espace, le temps prend substance.

     

    Dans la brume des mots, une farandole s'anime,

    L'infini des idées étreint nos rimes,

    La peur de faillir, de ne pas trouver,

    Se calme doucement, dans la fantaisie déployée.

     

    Facile n'est point l'art, mais l'envie nous guide,

    À travers les fagots de mots, sans faillir,

    Dans chaque brin d'histoire, une fine lueur,

    Qui illumine nos cœurs, avec ardeur.

     

    Les branches des pensées, telles des bras,

    S'étendent dans l'espace, où tout se mêle là,

    Et la brise légère, les copines de nos mots,

    Cheminant ensemble, dans cet étrange flot.

     

    Dans ce brasier d'émotions, où la mine s'exprime,

    Les ateliers d'écriture, en toute intime,

    Nous embarquent dans une danse sans fin,

    Où chaque mot, chaque geste, est un lien.

     

    Mon atelier 226


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  •  Mon atelier 199.  Pour le 25 octobre

     Avec tous les sujets 233 

     

    Mélancolie, attente, couleur, surprendre, craindre, voir

    Malice, fugace, musique, aube, charmant, fort.

    Entente, enjouée, envie, éden, émois

    bourgeonne, chiffonne, donne, trône, neurones, bougonne.

    Vivacité, vivre, vivace, virtuelle, virage.

     ..........

     

    Le moulin du printemps

     

    Le moulin tourne, tourne au rythme fugace des couleurs du temps.

    Il bougonne entre ses ailes et donne l'air du vent.

    Il trône comme le roi soleil qui donne dans le faste,

    et que rien ne chiffonne dans ses neurones du plaisir.

    Le vent parfois va le surprendre par sa vivacité.

    Le printemps enjoué de malice joue sa musique dès l'aube.

    C'est l'entente des émois dans le jardin d'éden.

    L'envie de tout bourgeonne dans les cœurs ,charmant

    les instants de vivre sans mélancolie,

    en attente de toutes les surprises.

    Le tableau n'est plus virtuel, il est arrivé le printemps . 

    Les fleurs vivaces s'offrent au joli mois de mars.

    Les tournesols font des virages vers le soleil,

    il ne vont plus craindre d'avoir froid, il faut les voir

    se dresser fiers, forts et si beaux.

      

    Mon atelier 226

     

     


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  •  

    Le sujet no 4

    ................

     

    De Burlesque à  Féerique

     

    Dans un monde farfelu, plein de burlesque,

    Où chaque cri fait écho, où chaque risque

    Est pris avec un sourire, sans panique,

    Voici un poème, une ode comique.

     

    Dans la campagne, sous un ciel magique,

    Un canard bruyant, un peu élastique,

    Se dandine avec grâce, pas tragique,

    Tel un maestro dansant la musique.

     

    Sur la scène, un hérisson fantastique,

    Fait des pirouettes, c'est fantastique,

    Avec des pas de danse hypnotique,

    Qui le rendent vraiment charismatique.

     

    Les étoiles dans le ciel, en plastique,

    Brillent comme des joyaux, fantastique,

    Elles scintillent, rendant tout magique,

    Même le moindre caillou, quel panache!

     

    Dans ce monde loufoque, rien ne se détraque,

    Chaque détail est là, presque plastique,

    Chaque instant est une farce, sympathique,

    À laquelle on s'accroche, sans panique.

     

    Alors rions, dansons, soyons dynamiques,

    Dans ce monde où tout est comique,

    Car c'est dans le rire que l'on pique

    La magie de la vie, unique et féerique.

     

    Atelier 232 (clind'oeil à Annick)

     


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  •  Mon atelier 199.  Pour le 25 octobre

     Avec tous les sujets

     

     Atelier 232 chez moi

    mon texte no 233

     

    Au secours !

     

     

    Une femme hurlait à la fenêtre

    et son visage blanc de peur n'avait rien de féerique, 

    l'air plutôt furieux en fait.

    Mais pourquoi hurlait elle les yeux clos parfois comme en prière.

    De sa bouche, des mots sans suite déferlaient.

    Quels obstacles, quelles embûches rencontrait elle ?

    En même temps pourquoi semblait elle si en colère?

     

    Elle vivait dans un pays romantique, les cartes postales le laissaient

    deviner et les créateurs s'en donnaient à cœur joie de le figer sur toile,

    entre vagues et horizon, comme une douce musique magique pour les yeux.

    S'y promener en bateau sur le bleu de la mer, parfois d'émeraude qui

    jalonnait toute la côte sur plusieurs kilomètres était magnifique.

    Sa chaleur et son soleil si jaune donnaient envie de s'y rendre même si

    le soleil il fallait le payer.

    La femme hurlait toujours, elle faisait des mimiques étranges et se donnait

    des claques sur les joues quand soudain on entendit comme un coup de fusil !

    Son teint vira au gris. Elle hurla de plus belle.

     

    Les passant s'arrêtèrent et un homme s'approcha.

    " Hé Madame vous avez besoin d'aide ? "

    " Pour sur que j'ai besoin d'aide, v'la ti pas que ma tortue est tombé

    dans les cabinets et que mon couillon

    de mari a tiré la chasse d'eau !"

    Et là il vient d'exploser le cabinet ! 

    On a de l'eau partout et où est passé Sophie ?

    --"Mais que faisait donc votre tortue dans les toilettes ?"

    --"Ben dis donc faut bien laver sa ptite carapace de temps en temps, là elle m'a échappé et plouf dans le wc à côté !

    "Ma ptite dame , hélas je ne peux rien pour vous,

    il faut appeler les pompiers"

     

    L'histoire ne dit pas si Sophie la tortue

    fut retrouvée mais ce qui est sur,

    c'est qu'il ont sans doute des toilettes toutes neuves. !

     

    Mon atelier 226

     


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  •  Mon atelier 199.  Pour le 25 octobre

     Avec tous les sujets

    .......

     

    La sortie

     

    Voilà, on rentre à la maison !

    Au bout de quelques jours, de longues heures à penser,

    on se sent l'âme légère comme une plume quand arrive la sortie.

    Certes l'instant est grave, mais ce moment passé,

    avec en mains toutes les recommandations,

    on va entrer dans un nouveau présent où il faudra

    être brave parfois.

    Sans être terre à terre, je sais que mon futur se teinte

    d'incertain mais j'espère pas terne et qu'au terme, telle

    une femme guérie, j'en sortirai plus forte, sans basculer

    dans une déprime haute en détresse comme il fut le cas.

    L'été, l'automne 2023 furent difficiles mais plus encore l'hiver.

    Il fut recouvert de blanc glacé et blême alors que

    ma peau était en feu et pas tendre.

    L'espoir d'un positif après un séjour hospitalier m'habite

    et j'espère qu'il va longtemps squatter en moi

     

    Quelques semaines de patience ne sont rien à

    côté de 8 mois de souffrance..

    La suite de l'histoire, on verra ...

     

     

    Mon atelier 226

     


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  •  

    Mon atelier 199.  Pour le 25 octobre

    Sujet 1 

    Plaisir, craindre, séduction, confidence, avant, selon.

     

    Sujet 2

    Malice, vertiges, sourire, jouvence, mérite, orgueil.

     ............

     

    Sujet 3 

    Attente, attirance, aimable, amour, azur.

     .......... 

     

     Sujet 4

     Mots, cadeau, beau, peau, oiseau, dos

    Plus ressenti sur l'image.

    mon texte no 230 a faire

    ............

    Il est là le bonheur

     

    Sac à dos rempli, il parcourait toutes les fins

    de semaine quelques kilomètres.

    Il y prenait beaucoup de plaisir, il faisait ses confidences

    aux arbres ou aux oiseaux selon son humeur.

    Toujours plein de malice, c'était une seconde peau chez lui, 

    il avait pour la nature une attirance particulière et les jours

    où le ciel était d'azur le comblait.

    C'était un amour plein d'orgueil pour cette nature,

    c'était comme un cadeau qui avait le mérite de lui donner le sourire.

    Le vent dans les arbres lui offrait une caresse de jouvence

    toute en séduction dans l'attente de la prochaine.

    Il aimait ce vertige des sens où le beau venait à lui

    sans un mot, seulement dans un murmure de feuilles

    avant l'annonce du vent énergisant.

    Sac à dos rempli, il allait, suivi de son fidèle chien,

    dans les montagnes à la rencontre de son bonheur.

     

    Mon atelier 226

     


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  •  

    Mon atelier 199.  Pour le 25 octobre

    Sujet 1 

    Destin, crise, silence, charme, femme.

     

     Sujet 2

    Homme, guère, contretemps, peiner, subir, jamais.

     

    Sujet 3 

    un texte avec au moins 5 mots commençant par " V "

    Vérité, volonté, valeur, virage, vrai.

     

    Sujet 4

    Un texte avec 5 adverbes de votre choix.

    Aussi, longtemps, tellement, autant, beaucoup.

     ............

     

    La femme et l'homme.

     

    L'homme ne s'embarrasse pas de contretemps.

    Le silence est pour lui la réponse à toutes questions,

    surtout si la réponse appelle à la négation.

    Il ne subit pas la crise, jamais. Il se sauve.

    Il prends un virage à cent quatre vingt degré.

     

    La femme charme, toujours pleine de bonne volonté,

    toujours tellement disponible. Elle peine aussi longtemps

    qu'il faut pour assumer ses valeurs, maîtrisant parfois

    un destin qui n'est guère enviable.

     

    Autant toute vérité n'est pas bonne à dire que beaucoup

    de ses paroles sont dans le vrai mais l'homme n'écoute pas.

     

    L'homme et la femme se complètent donc et inversement.

    C'est sans doute ce qui fait la magie des couples...

     

    Sujet 5

    L'homme et la femme. no 229.

     

    Hier, j'avais encore 15 ans, hier j'étais jeune de corps.

    Aujourd'hui j'ai 70 ans, jeune que d'esprit.

    Hier j'avais 15 ans, naïve comme une jeune dinde.

    Aujourd'hui celui qui me la raconte n'est pas encore né !

    Conclusion.

    J'ai 15 ans dans mon imagination,

    70 ans dans mon raisonnement,

    et ce que pense les autres m'indiffère !

    Pas vous ??

     

    Mon atelier 226

     


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  •  

    Mon atelier 199.  Pour le 25 octobre

     Atelier 228 avec les 10 mots imposés.

    5 mots commençants par "T"

    Trouble, triste, toujours, tarir, tromper.

    5 mots commençants par "Re"

    retour, reflet, réveil, repaire, rester.

    Ressenti sur image.

    ............

     

    Ma pensée positive.

     

    Quand le trouble des soupirs tristes,

    lève son voile de tristesse,

    que les pleurs de solitude ne sont plus

    le reflet des doutes mais de l'espoir,

    on peut croire, on peut laisser tarir ses larmes.

     

    On se sent capable de ne plus subir ce qui fait mal.

    C'est le moment du réveil de la vie avec ses repaires positifs

    qui apportent un mieux être.

     

    Le retour à la vie pour rester toujours confiante quand attendre 

    était devenu un supplice.

     

    Rien ne vient tromper l'harmonie de ma décision, à savoir;

    "Accepter ce que l'on ne peut changer" et ces mots m'ont été soufflé

    par mon petit ange doré qui les a murmuré une nuit à mon oreille.

     

    Mon atelier 226

     


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  •  Sur la gauche, pour ceux qui participent

    à mon atelier, nouveau petit sondage compte tenu

    que je vais beaucoup mieux depuis quelques jours.

    Egalement le même sondage

    en menu de gauche sur le blog atelier

    Mon atelier 199.  Pour le 25 octobre

     

    Mon atelier 227

     

    Mon atelier 226

     


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  •  

    Mon atelier 199.  Pour le 25 octobre

    Sujet 1

     

    Direct, info, propos, nouvelle, erreur, filtrer.

    ..............

    La nouvelle n'est pas une erreur des infos.

    Elle a filtré en direct sur les télévisions !

    L'horreur encore une fois a frappé.

    .............

     

     Sujet 2

    Bafouille, fripouille, arsouille, nouille,  chatouille, brouille.

    .............

     

    Le scribouillard

     

    Le gars dégingandé qui d'une jambe branchouille,

    a des années-lumière de sa vie, son avant jour,

    c'est encore trop tard pour son cerveau.

    Le synchrone, c'est pas pour lui, c'est trop.

     

    Quelle ironie le gentil scribouille

    vient d'être été édité pour ses bafouilles,

    écrites sans lambiner,

    lui qui ne parle pas , ses mots il les crachouille.

    au plus que parfait inversé.

     

    Notre simplet du village qui irrite et cafouille

    contre toute attente en librairie vadrouille.

    Livre rythmé comme un tic-tac d'horloge.

    Il est content de remplir ses fouilles.

     

    Le mec qui à toujours un sourire en bouille !

    Dare-dare, il s'en va, s'en vient, portant

    un air de déjà- vu pendant l'hivernage.

    Il a la notice  du rire même s'il glandouille.

     

    Il est gentil comme tout cet arsouille !

    On y croit au succès de notre fripouille.

    Il a un petit défaut le petit, il bredouille,

    dès qu'on lui tient la jactance, quel andouille.

     

    Le voilà tout penaud devant les miss brindilles.

    Tout rouge, le regard fuyant, il bafouille !

    Y'a celle du bois qui l'a alpagué, pour les papouilles,

    Sous la porte cochère, il lui a gratté sa cramouille.

    Il avait pas la notice le benêt de la patouille.

     

    Dans les ronces et les orties, il a mis sa bidouille.

    Il s'en retourne au bercail, comme un pédezouille !

    On sait qu'il a crier sa douleur après la vadrouille.

    C'était pas du coton la partie de jambouilles.

    Le pauvre, s'aperçut bientôt qu'il avait la chtouille.

     

    Il dut de ce pas aller consulter. Quelle merdouille !

    Le pauvre , son vermicelle est en filet de quenouille

    pommade et comprimés de rigueur pour les gratouilles.

    L'écrivain du village avait vu la tireuse de cartouilles,

    sur la table, les cartes avaient livré les bisbrouilles.

     

    Ecrire tu pourras, folâtrer cul nu sera une couille.

    Le benêt point ne l' a cru, de gratouilles  il se trifouille.

    L'onirocritie est une science quand même pas andouille.

    Le voila certes, bon écrivain, mais aussi en quenouille !

    Un chose est sure, avec les mots jamais ne rouillent.

     

    ...............

     

    Sujet 3

     

    un texte avec au moins 5 mots commençant par " R "

     Sujet 4

     Un texte avec 5 mots avec le son  " ime  ""  

    ..........

     

    Reste toi même malgré l'ultime regard des gens.

    Ne remets pas en question tes valeurs, estime toi.

    Les railleurs, les râleurs, ras le bol d'être victimes.

    Tu es riche de ton libre arbitre, c'est toi qui prime !

    Ecoute la petite voie intime qui te parle.

    Ecoute ta raison c'est elle qui te sublime.

     

    ...........

     

    Mon atelier 226

    Sujet 5.

    ...........

     

    Ma rivière

     

    Ma rivière au bout de la Lande à une vertu apaisante.

     Même plusieurs vertus, devrais- je dire. 

    Elle m'attrape avec son clapotis 

    et ses décorations attirantes qui lancent de petits éclairs nacrés

     sur sa surface claire, qui viennent asticoter la berge doucement.

     Ma rivière, elle vient me consoler de mes tracas, 

    elle m'apaise quand elle me lance des appels au calme.

    Elle me drape de ses sons uniques et propices à la méditation. 

    Sa clarté m'illumine et m'enveloppe de sérénité. 

    Elle à ce quelque chose de spécial qui fait sa force 

    et me la transmet si positivement.

    Ma rivière, là où, sous l'arbre centenaire, je pense, j'écris, 

    à cela de magique qu'elle sait me faire un récital de bienfaits. 

    Ses plaintes sont des murmures de bonheur 

    qu'elle offre avec des paroles qui me transportent au paradis ! 

    Ma rivière, si tu es sage, je te la ferais connaître.

     

    Mon atelier 226

     

     


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  • Drame à Londres

     

    Dans les rues venteuses de Londres, Elise, une femme d'une beauté éclatante, 

    déambulait en ce sombre après-midi d'automne. 

    La brise, agitait doucement ses cheveux bruns,

     tandis qu'elle se laissait guider par les sentiers tortueux de la ville. 

    Soudain, un jeune garçon s'approcha d'elle, la démarche souple, un journal à la main. 

    Son visage était empreint d'une innocence enfantine, 

    qui contrastait avec la nouvelle dramatique qu'il  annoncait en criant !

    ""Achetez mon journal""

    "Un éditeur connu assassiné dans notre ville" !

     

    Elise, fébrile, prit et lui paya le journal, parcourut les lignes avec anxiété. 

    Son regard oscillait entre espoir et appréhension. 

    Et puis, la nouvelle tomba telle une pierre, faisant chuter son coeur : 

    John, son grand amour, avait été assassiné. 

    Les mots se bousculèrent devant ses yeux, 

    dansant devant elle comme une maudite danse macabre. 

    Le meurtrier était un romancier, un écrivain frustré 

    dont John avait refusé d'éditer le dernier manuscrit.

     

    La détresse s'empara d'Elise, lui coupant le souffle. 

    Elle s'appuya contre un mur de pierre froide pour reprendre son équilibre. 

    Les larmes nacrées de douleur jaillirent de ses yeux et coulèrent sur ses joues, 

    laissant couler des nuances de tristesse sur son visage. 

    Elle pensa à tous les moments partagés avec John, 

    à leur rencontre dans ce salon du livre où leurs regards s'étaient croisés

     pour la première fois. Ils étaient tombés amoureux, 

    deux âmes s'unissant dans une confiance totale après un aveu mutuel de leurs sentiments.

     

    Elise se remémora les instants où elle avait découvert sa vocation d'écrivaine.

     John avait été son soutien le plus précieux, l'éditeur avait cru en elle 

    et avait publié ses recueils avec une fierté inébranlable.

     Ils formaient un couple uni par la passion des mots, 

    une parfaite symbiose entre écrivain et éditeur.

     

    Mais maintenant, John était parti, emporté par la cruauté d'un homme jaloux et vindicatif. 

    Elise ressentait un vide immense dans son cœur, une absence qui ne pouvait pas être comblée. 

    Elle maudissait le destin, se demandant pourquoi la chance l'avait abandonnée si cruellement. 

    Comment pouvait-elle continuer sans lui, sans sa présence réconfortante à ses côtés ?

     

    Les jours qui suivirent furent une transe douloureuse pour Elise. 

    Elle errait dans les rues de Londres sans but précis, comme une âme perdue. 

    Chaque pas était une torture, chaque lieu rappelait un souvenir, 

    chaque rencontre lui arrachait un adieu silencieux. 

    La ville elle-même semblait être en deuil, ses rues grises 

    et ses bâtiments sombres reflétant la tristesse de son cœur meurtri.

     

    Elise se raccrochait à la vaillance qui restait en elle, avec courage,

    révélant la force de continuer malgré la douleur insurmontable. 

    Elle savait que John n'aurait pas voulu la voir sombrer dans le désespoir. 

    Alors elle marchait, pas après pas, cherchant une lueur d'espoir dans l'obscurité de sa peine.

     

    Dans chaque ruelle qu'elle traversait, Elise sentait l'outrance de souffrance,

     les immeubles se dressaient comme des potences rappelant le crime qui lui avait volé sa moitié. 

    Mais elle refusait d'abandonner, résolue à honorer la mémoire de John en continuant

     à écrire, en faisant vivre leur amour à travers les mots.

     

    Ainsi, Elise affrontait la nulle existence de son deuil, avec le courage qui lui restait, 

    une plume tremblante entre ses doigts. Les pages blanches de son cahier se transformaient 

    en un éloge vibrant à l'amour perdu, un hommage à celui qui avait été son inspiration, 

    son confident et son âme sœur. Car même si John n'était plus là, leur histoire continuerait

     de briller dans les cœurs de ceux qui les avaient connus, 

    dans les mots intemporels qu'Elise écrirait pour lui, pour l'éternité.

     


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  • "J'ai pris tous les sujets"

    .......

     

    Sur le petit pont de bois

     

    Dans un paisible village niché au cœur des montagnes,

    un vieux pont de bois reliait les deux rives d'une rivière tumultueuse. 

    Ce pont, utilisé par tous les temps,

    était le refuge des âmes égarées en quête de réconfort. 

    Son histoire renfermait de nombreux secrets,

    des lettres d'amour perdues,  des batailles  et des victoires aussi.

    des destins brisés et des devoirs inachevés sans gloire.

    Pourtant, une lettre destinée à changer le cours des choses

    s'était égarée dans les méandres du temps. 

    Cette missive écrite, avec amour et empreinte d'espoir,

    attendait patiemment d'être découverte par à qui elle était destinée.

    C'est ainsi qu'un jour, un jeune homme ,

    porté par le devoir d'honneur et la force de ses convictions, 

    s'engagea dans une bataille pour la justice et la vérité.

    Son esprit était en plein essor, animé par une volonté indomptable.

    Alors qu'il traversait le vieux pont de bois,

    une bataille intense faisant rage autour de lui. 

    Des cris résonnaient dans l'air,

    mêlés aux bruits des armes et des explosions. 

    Se retrouvant pris au cœur de l'instant,

    cherchant un éclair de clarté parmi le chaos.

    Soudain, son regard fut attiré par une lueur

    mystérieuse émise d'une fissure dans le pont. 

    Intrigué, il s'approcha et découvrit un petit

    compartiment secret dissimulé sous une planche. 

    Il l'ouvrit avec précaution et y découvrit la lettre.

    Les mots gracieusement calligraphiés sur le papier,

    les promesses d'amour et d'espoir qui s'en échappaient, 

    le touchèrent profondément.

    Il comprit alors que cette lettre, cachée depuis si longtemps,

    contenait la clé de son destin.

    Empli de détermination, il reprit son chemin,

    brandissant la lettre comme un symbole d'espoir. 

    Il se battit avec une force nouvelle,

    animé par la conviction que la vérité triompherait.

    La bataille fit rage, et bien des vies furent perdues ce jour-là. 

    Mais grâce à sa force et à son honneur

    inébranlable, la justice prévalut finalement.

    Le pont de bois, témoin silencieux de cette tragédie,

    demeura un lieu de refuge pour les âmes en peine. 

    Et la lettre, qui avait été cachée pendant si longtemps,

    resta gravée dans l'histoire, rappelant l'importance

    des mots et des secrets qu'ils renfermaient.

    L'instant d'un clair moment,

    la destinée d'un homme fut changée à jamais. 

     


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  • J'ai pris les mots et l'image

    pour rendre hommage au vieux Monsieur (Christian)

    qui nous a quitté dans notre résidence,

    depuis plus de 40 ans que j'habite là, Je le voyais

    tous les jours, par tous les temps.

    .........

     

    Mon Texte pour mon atelier 220

     

    Futile, passager, retour, raison, pensée, oublier

    Sembler, prendre, gémir, cris, bois, surpris.

     

    ..................

     

    Sur le banc solitaire, si souvent occupé, 

    le vieux monsieur s'en est allé, à jamais, 

    Il nourrissait les oiseaux du bois verdoyant

    avec quelques graines et du pain blanc.

     

    "Futile", pensait- il, en les regardant picorer.

    Comme un passager qui se sait éphémère, 

    il le prenait avec raison, à chaque pensée

    Il laisse derrière lui des souvenirs mon pépère.

     

    Mais le temps, sans un cri, l'a ramené au retour

    Emportant avec lui ses murmures, ses discours, 

    Les oiseaux surpris gémissent, semblent le réclamer, 

    Mais les pas du vieux monsieur se sont oubliés.

     

    Le petit banc du parc, témoin de leur complicité, 

    S'étonne désormais de son absence prolongée.

    Les oiseaux, surpris, cherchent leur repas, 

    Et l'oubli tisse un voile sur ce qui fut là.

     

    Adieu, cher vieux monsieur, ta présence était belle, 

    Tes mots, tes gestes, un trésor qui sera étincelle, 

    Les oiseaux chanteront pour toi dans le vent, 

    Ton amour pour eux restera éternellement.

     

    Mon Texte pour mon atelier 220

     

     


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  • J'ai pris pour sujet l'image.

    Texte pour mon atelier 219.

     

    Ma lutte

     

    Dans les sombres ténèbres de mon âme égarée, 

    la souffrance s'est ancrée, telle une errance effrénée. 

    Mais au fond de moi, une lueur cherche à briller.

     La clarté de ma volonté, prête à tout affronter.

     

    Au cœur des ombres, je lutte contre la tourmente.

    Cherchant la bonté dans chaque instant qui me hante. 

    Je chemine sans relâche, en quête de vérité,

     guidée par la clarté, et l'espoir de ma destinée.

     

    Les ténèbres m'enveloppent, me serrent de leur étreinte, 

    Mais je refuse de me rendre, car je suis une âme sainte. 

    La souffrance peut me frapper, me briser en silence, 

    ma volonté c'est de résister, résolue dans ma vaillance.

     

    Errant dans ce dédale, je cherche un peu de sérénité, 

    Dans les reculs les plus sombres, me guette une clarté.

    Je trouve refuge dans l'amour et la compassion, 

    Car la bonté est ma force et ma plus grande passion.

     

    Dans cette quête d'absolu, je défie les abysses, 

    La lumière est ma compagne, lorsque la nuit se hisse. 

    Et malgré les tourments et les douleurs persistantes, 

    Je reste ancrée dans la clarté, déterminée et vaillante.

     

    Ainsi, je m'avance, pas à pas, dans cette danse.

    Entre les ténèbres et la clarté, une éternelle balance. 

    Mais jamais je ne cède, jamais je ne me rends.

    la lueur d'espoir, fait ma force, éternellement.

     

     


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  •  

    Mon atelier 199.  Pour le 25 octobre

     J'ai pris les sujets 1,2,4.

    ........

    Le messager de la messagère.

     

    Sans faillir sur le chemin, la chère messagère

    est allé chercher son chevalet.

    Le passage est étroit, un peu sombre

    dans le soir qui tombe doucement.

    Elle le porte délicatement.

    Elle a pris du temps pour l'entretenir, le chérir.

    Elle savait la messagère qu'un jour où l'autre, elle devrait peindre

    les mots de sa passion, les poser sur la toile blanche.

    Elle savait que la source de ses dires ne s'était pas encore tarie.

    Elle savait qu'à l'encre de son âme, elle les avait pensé si fort.

    Il était temps à présent que son pinceau les colore pour les faire vivre.

    La messagère n'a jamais failli.

    Elle a juste pris son temps pour que sa passion éclate au grand jour

    et que la force soit de nouveau avec elle.

    Tout est à sa place pour son messager...

    Mon atelier 198.  Pour le 10 octobre

     


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  •  

    Mon atelier 199.  Pour le 25 octobre

     J'ai pris tous les sujets

    ........

     La clé d'un déjà vu.

     

    Une nouvelle chaîne d'explosions violentes de mauvaises nouvelles

    venait d'être mises en évidence.

    Un voile opaque, depuis quelques semaines, planait sur elle

    comme un souffle, annonçant un séisme de pensées

    vers un passé qui fut difficile en son temps.

    Le vécu, encore bien vivant dans sa chair, mettait en émoi de nouveau,

    des questions en fusion, ravivées par le vent qui souffle encore

    ce qui déjà avait été souffert.

    L'oubli était venu, sage et ouvert sur un après positif,

    offert comme un joli cadeau de la vie.

    Les tons verts du printemps avaient la même couleur dans son cœur

    et c'était une valeur qu'elle avait fait sienne.

    Puis, aujourd'hui, sur le billet blanc, des mots tout noirs,

    sonnait le retour du passé.

    La valse des explorations allaient recommencer.

    La danse des questions, parfois ignorées revenait.

    Une seule certitude. La sienne.

    Deux fois elle avait vaincu le monstre.

    Ne dit-on pas "" Jamais deux sans trois ? """

    Le pont, devant elle, imposant et long,

    elle le franchirait.

     

    Mon atelier 209

    Mon atelier 198.  Pour le 10 octobre

     


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  •  

    Mon atelier 199.  Pour le 25 octobre

     J'ai pris tous les sujets

    ........

     La clé des saisons

     

    Au bord de l'étang, là ou se trouve le sentier qui mène à

    l'ancien moulin; je flâne tranquille avec ma chienne.

    J'aime ces matins complices avec elle, et si parfois,

    il fait froid, elle a toujours son manteau de laine pour la protéger.

    J'aime voir les trésors de la nature et j'en respecte ses lois.

    Sous mes pas, les cassures du bois sec craquent leurs blessures de l'hiver.

    Je leur assure qu'ils ne sont point morts en vain,

    qu'ils chauffent ceux qui ont froid.

    Au arbres dégarnis, je les rassure, je leur dis que le renouveau

    verra leur résurrection et que j'en serai l'heureux témoin.

    J'en veux pour preuve la douceur qui revient dans les chemins clairs,

    ceux qui longent l'étang, sur lequel des milliers de diamants miroitent.

    Une partie de la clairière est déboisée par l'hiver qui ne mesure pas

    sa rudesse. Il veut lui aussi faire exister sa saison, tant il veut

    vivre comme toutes les autres.

    Les saisons, sures d'elles, transportent des flacons de senteurs,

    d'arômes, des sensations d'émotions qu'elles nous offrent tout à tour.

    Au bord de l'étang, j'ai entendu le couple parler du temps.

    L'un disait à l'autre " Pourquoi ?, pourquoi les saisons ne sont plus

    ce qu'elles étaient dis moi pourquoi ? ""

    L'autre se prenait la tête dans les mains, marmonnant;

    "Mon dieu qu'avons fait de notre terre ? ""

    Je passais mon chemin me disant qu'elle avait bien raison.

    Mon atelier 209

    Mon atelier 198.  Pour le 10 octobre

     


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  •  

    Mon atelier 199.  Pour le 25 octobre

     J'ai pris tous les sujets

    ........

    La clé des champs

     

    Ce soir, dans un vilain silence, sa frimousse collée à la vitre,

    elle pense de nouveau à cette révélation d'une extrême surprise.

    Les yeux hagards, elle l'avait fixé, sans sursaut, sans sourire,

    sans aucune action malgré son air jovial.

    De prime abord, elle avait pensé à un bonne blague, mais

    sur un sujet aussi important, elle n'était pas en accord avec elle même.

    Tel un cador cranant devant des jouvencelles, il lui avait fait le récit

    de cette journée. Réagir lui avait demandé un gros effort.

    " Mais pourquoi, sans savoir ce que j'en penserai,

    as tu fait cela ?" avait elle demandé.

    " Était ce donc si urgent ? "

    " J'ai pensé que tu serais contente, c'est un de tes rêves

    de vivre à la ville "

    " Un rêve !! Oui quand j'avais seize ans ! "

    Il avait sorti d'une trousse plusieurs jeux de clés en lui disant

    quand et comment il avait acheté une maison en ville.

    Mais le pire c'est qu'il voulait vendre leur maison, celle là même

    où ils avaient élevé et vu grandir leurs enfants.

    Non jamais elle n'accepterait ça !

    Comment imaginer ne plus pouvoir regarder ce lac de ma fenêtre ?

    Comment penser ne plus aller écrire, lire sous mon arbre préféré ?

    Assise sur le rebord de cette fenêtre où ce soir, sa décision est prise.

    elle va devoir, pour une fois, dire non.

     

    Mon atelier 208

    Mon atelier 198.  Pour le 10 octobre

     


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    Mon atelier 199.  Pour le 25 octobre

    J'ai pris tous les sujets.

    ..........

    Offre d'emploi

     

    Rosaline se lamente, en a assez de tout et de rien.

    Elle n'est en accord avec aucun profil que lui propose le chef du personnel.

    Elle n'en veut plus de cette routine qui la maintient au bureau.

    Il lui faut une aide sérieuse, précieuse et de confiance.

    Elle veut que les racines soient solides et que le résultat soit décisif.

    Rosaline n'est pas encore décidée, pourtant le besoin est là.

    Ce n'est plus possible de tout gérer seule.

    Elle veut quelqu'un qui soit capable de défendre les valeurs de son entreprise.

    Elle veut être à son aise et avoir plus de liberté.

    Où va t elle donc trouver ce gestionnaire parfait ?

    Elle parcoure de nouveau les candidatures quand Régine lui fait un signe discret,

    et entre dans le bureau de sa sœur.

    Rosaline d'un coup a le visage qui s'éclaire comme un matin de Noel

    à l'ouverture des cadeaux. Mais comment n'y a t-elle pas pensé plutôt ?

    Qui mieux que sa sœur jumelle pour la gestion parfaite,

    elle qui est  comptable a fait des études de droit.

    On cherche parfois bien loin ce que l'on a côté de soi.

    Pendant ce temps le sablier du temps fait son œuvre.

     

    Mon atelier 198.  Pour le 10 octobre

     


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    Mon atelier 199.  Pour le 25 octobre

    J'ai pris les 5 sujets.

    Ironie, attente, succès, défaut, ronce, clarté

    Geste, affection, vacarme, appel, solution, colère.

    Pas, pour, patient, paroles, pendant,

    Route, redoute, écoute, ajoute, joute

    Atelier 205 du 20 décembre 22

    Atelier 205 du 20 décembre 22

      

    A la croisée des chemins

     

    L'homme est à la croisée des chemins.

    Fera t-il un pas vers la gauche ou la droite ?

    Quelle route est la solution du succès qui va répondre à ses attentes?

    Dans sa tête se joue une joute de paroles.

    Un vacarme dont l'ironie lui donne la colère qui ajoute un sentiment frustrant

    à son dilemme pendant que patient, il réfléchit pour prendre la bonne voie.

    Il redoute de faire une erreur. Doit-il être à l'écoute de sa raison ?,

    de son cœur ou s'en remettre au hasard ?

    Aucune clarté ne vient illuminer ses pensées.

    C'est comme un sentier envahi de ronces.

    La solution lui fait défaut.

    Un papillon , soudain se pose sur son épaule.

    Dans un geste d'affection, il essaie de le caresser, mais il s'enfuit.

    Il prend son envol et se pose sur l'arbre qui se trouve sur le chemin de droite,

    là où le soleil inonde le chemin de ses rayons.

    C'est décidé !

    C'est vers la droite qu'il va poursuivre son chemin...

    Le papillon, c'est son guide, c'est un signe....

     

    Mon atelier 206

    Mon atelier 198.  Pour le 10 octobre

     


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    Mon atelier 199.  Pour le 25 octobre

     ..........

     J'ai pris tous les sujets. Ici

    ....

     

    Scène de vie.

     

    Autrefois, pas encore une Madame, presque une jouvencelle encore,

    je n'avais pas à l'esprit que ma vie allait être souvent le chaos

    d'émois bien trop forts et que j'allais en faire un livre où

    toutes les lignes ne pas seraient roses.

     

    Je ne savais pas que l'inconnu qui m'attendait serait fait d'orages

    et que bien des ombrages et des peurs pleuvraient sur ma vie,

    sans aucun regard de compassion des méchants.

     

     

    Et, si quelques mots dans un livre ne m'ont pas apporté l'oubli,

    je n'en suis plus outrée et je pose sur ce passé, sans me priver,

    j'ose même dire avec une humeur moqueuse, un autre regard

    beaucoup moins morose et bien plus en osmose avec mon présent.

     

    Et, si je peux vous le raconter ici, c'est que j'ai pu clore

    le débat qui agitait mes pensées par une exclusion des toxiques.

    Désormais, je navigue sur l'océan de la sérénité avec mon joli

    bateau dont les voiles me protègent des vents contraires.

     

     

    Mon atelier 198.  Pour le 10 octobre

     

     


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    Mon atelier no 174

     

    ..........

     J'ai pris tous les sujets sauf Humour.

    .....

     

    Le randonneur solitaire.

     

    Sur les hauteurs, là où des locataires millénaires ont posé leurs pattes,

    là où d'autres s'y sont reposés, le marcheur volontaire s'aventure en téméraire.

    Sur les rochers, il grimpe pour voir de loin la verdure, sentir son odeur,

    voir les jolis tons de ces oasis qui semblent s'offrir comme une obole

    à tous les êtres qui viennent la contempler.

     

    C'est juste merveilleux comme jamais, le marcheur jubile de plaisir

    en ce jour où même le ciel est avec lui, l'apaisant de son beau bleu azur,

    avec des arômes de jasmin dans l'air.

    Le marcheur admire en contrebas les arbres qui se mirent dans le lac qui borde l'amont.

    Il aime observer cette nature, la voir se dresser de fierté au printemps pour se montrer.

    La nature va œuvrer chaque saison, là est son travail ...

    Il se sent obligé, attiré, guettant l'ombre des saisons car chacune à son charme.

     

    Bientôt il sera l'heure de redescendre. Au vestiaire, après les avoir nettoyés,

    il laissera ses habits de randonneurs, ses chaussures de marche, son sac à dos,

    Mais il gardera dans ses yeux toutes ces vues merveilleuses qui vont luire

    dans ses regards jusqu'à la prochaine escapade de randonnée...

     

    Mon atelier 198.  Pour le 10 octobre

     

     


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    Mon atelier no 174

     Atelier du 197 

    ..........

     

    Message vocal.

     

    J'ai entendu grandir sa haine au fil de ses mots irrationnels.

    J'ai senti monter mon angoisse à chaque seconde.

    J'ai senti blanchir mon visage, la peur de l'angoisse.

    de la douleur irréelle qui venait nourrir mon cœur.

    J'ai entendu se déchaîner sa colère dans l'afflux 

    des paroles haineuses. La scène de mots défile

     dans ma mémoire. l'émotion intense, pas belle, 

    m'envahit comme un étau que serre ma sœur.

    J'ai entendu sa haine de fiel, j'ai subi sa colère.

    La vérité dite mérite elle ce malheur ?

    Il faudrait en faire débat devant l'éternel.

    Mais je n'en ferai plus. je rends les armes, Telle la vaincue.

     c'est la fois de trop. Mon cœur saigne de ses mots ignobles.,

    mes yeux pleurent de cette injuste et intolérante blessure.

    Le noir et le blanc s'affrontent en elle, comme une moisissure,

    qui lentement pourrie, nourrie de sa fausseté.

    De blanc, elle se pare pour mieux cacher le noir de son cœur.

     A ce jour , j'ai fermé cette page de ma vie,

    la cicatrice doucement se fera en se refermant,

    laissant sa trace pour m'aider à ne plus revenir en arrière,

    comme je l'ai fait trop souvent en donnant une autre chance.

    Mon pardon , je lui donne mais pour me libérer de ma douleur.

    Ainsi qu'à celle qui l'a accompagné pour me mettre à terre !

    Pas de chance, je vous dis merci de m'avoir rendue encore plus forte,

    puisque je sais que vous lisez, bien cachées derrière votre écran,

    sous de multiples identités telles des personnes malades.

    Mon texte pour l'atelier 197

     


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  •  

    Mon atelier no 174

     Atelier du 195 

     

    Envoyer, lendemain, visite, supposer,

    plaire, commencer, suite, autre.

     Présent, parler, dire, voir,

    attention, sérieux, course, arrivée

     

    un texte avec au moins 5 mots commençant par G

     

    ............

     

    Atelier du 196

     

    Pas fait les 5 mots commençant par H.

     

    Salade, comme, placer, quelques,

    écriture, courbatures, certain, faire.

    Espérer, lecteur, plaisir, délicate,

    penser, moindre, soupir, détresse

    Un texte avec au moins 5 mots qui finissent

    par le son oir et/ou/ le son our.

     

    ...................

    Confidences de malade

     

    C'est une salade de symptômes dans mon corps.

    Quelques graines de douleurs à la toux qui me gène

    et ce n'est pas de rire que j'ai mal aux côtes.

    Ce n'est pas un plaisir ces courbatures à certains mouvements

    qu'il me faut bien faire pour mon hygiène de vie !

    Je gémis comme une gamine délicate.

    Les soirs c'est pire chers lecteurs et lectrices.

    Le souffle court parfois, j'espère vite à un mieux

    et je veux croire au soupir de soulagement qui viendra voir

    des jours meilleurs certainement.

    Le miroir du couloir me fait crier au secours

    dans la cour de mon cerveau endolori.

    Mais il reste sourd à mes suppliques.

    Le glaive de la grippe court au dessus de ma tête

    qui est déjà en détresse de penser correctement.

    Alors que mes humeurs me gagnent, je vous laisse voir

    que j'ai tout de même réunis mes deux ateliers d'écriture,

    qui à l'heure de la parution du 196 ne sera plus que mauvais souvenir.

    Que mes lendemains seront pour ainsi dire plus joyeux, plus présents.

    Que j'aurais pu aller en visite chez nos amis,

    faire mes courses, parler aux voisins, envoyer mes courriers en attente,

    répondre avec sérieux et attention à mes commentaires.

    Tout cela je le suppose à l'arrivée du 196.

    Je veux penser à du positif.

    Mon atelier 195+ le 196.

     


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  •  

    Mon atelier no 174

    J'ai pris tous les sujets

    .......

    Situation, couverture, recherche, affaire,

    intuition, suivant, sujet , jardin.

    doute, maison, voix, expliquer, vouloir,

    sortir, appeler, attente.

    Force, Facile, Farce, Folie, Fierté.

    ...........

     

    """A l'aide"""

     

    Au jardin, la situation n'est pas facile.

    La terre recherche l'eau. L'affaire est sérieuse.

    Nul besoin d'avoir une intuition

    pour savoir que cela va durer.

    Le sujet est de notoriété publique.

    Nul doute que la couverture médiatique

    l'explique avec force dans toutes les maisons.

    Les voix s'élèvent. Elles veulent sortir de cette folie.

    Elles veulent appeler à l'aide.

    L'attente de la pluie devient une couverture pour la survie.

    Ce n'est pas une farce. Tout va mal. Notre planète souffre.

    Nous souffrons, nous aussi malgré notre fierté.

    Quelle seront les programmes suivants après toutes ces catastrophes ?

    Le crier , suffira t -il ?

    Atelier 194.A l'aide pour la planète.

     

     


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  • Rêve, route, demain, espoir,

    atteindre, montrer, mérite, enlacer

     ou 

    sourire, succès, scène, lumière,

    exil, famille, loin, retour.

     

    ..............

     

    Tous les espoirs sont permis lorsque sur la route de tes rêves,

    ton demain vient enlacer d'une lumière étincelante

    ton avenir pour te montrer le mérite de ton succès.

     

    La scène n'est pas bien loin,

    tu as atteint le but final

    et l'exil de ta famille

    verra son retour.

     

    Le chemin était semé de sourires

    et dans les yeux brillent cette flamme

    qui jamais ne s'est éteinte.

    malgré que le parcours fut difficile.

    La passion, la force du vouloir,

    la bienveillance t'a mené à la réussite.

     

     

     


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