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Atelier no 15 sujet 2 chez Maridan
La ronde des mots.
Collines, cuisantes, supplier, mieux, regard,
devant, excuser, entendre, ivre, marché.
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L'écho
Dans les hautes vallées, sur les collines,
elle avait crié sa souffrance. Supplier.
Dans son corps, douleurs qui la ruine,
prenaient les devants sans s'excuser.
Dans les hautes vallées, le moral se débine.
Entendez vous l'appel ivre qui vient tutoyer
l'amertume cuisante en elle qui se contamine ?
Voyez vous tous ces regards compassion surjoués ?
Elle avait crié sa souffrance, elle avait marché,
au bord de la falaise, déterminée, jeté sa vermine.
Dans son corps, pas de mieux pour la contaminée.
Alors dans les hautes vallées, pour en finir, elle s'en est allé.
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Commentaires
Coucou Gigi
J'espère que tu vas mieux...
merci pour tous les enfants tués sans égard
tes larmes les bénis.
bisous mon amie
Tes propres douleurs pèsent sur tes écrits ma chère copine. cela donne un poème d'une grande tristesse, à la limite du désespoir ! Que ne puis-je de mes mots soulager tes souffrances. je pense à toi !
Doux bisous
10ClaireMardi 10 Octobre 2023 à 13:25Bonjour, je n'ai pas encore de blog mais je les visite et ce poème m'a interpellé émotionnellement, je tenais à vous le dire.
Merci ma Ghislaine de ton gentil com , ça m a beaucoup touché, je t écrirais de par le biais de ton adresse , ce sera plus facile et comme tu le dit le courriel on n est pas dans l obligation de le lire le jour meme, on le garde et on le lit quand on en a le temps
Et merci de me donner loisir de venir lire ces beaux textes, j adore la lecture et je vais lire tous les textes de mon amie Claudie que j adore comme amie
Bisous pour ta semaine t j ai aimé tes textes meme si comme le dit ma chère Claudie ce n est pas très gai mais il y a des jours comme cela et notre force fait que nous savons tout accepter
Merci pour ta visite en ce samedi
on a du beau temps un petit 25 degrés.
passe un bel après midi
bisous ma belle
Oh quelle tristesse ma Gigi
mais je comprends que la douleur est difficile à supporter
donc ne pas juger mais comprendre.
bisous ma belle
Ce n'est pas très gai aujourd'hui, mais certains jours c'est comme ça.
On a l'impression de ne pas voir le bout des ennuis.
Bon week-end.
Réalité bien triste que je partage avec toi,aujourd'hui. Triste vision de ce mal qui t'habite au bord de ce précipice qui te tend les bras.
Un peu triste aujourd'hui ton texte.
Quand le moral est en berne la souffrance
n'est plus supportable.
Bonne journée.
bises
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Ce poème me glace, ma bichette, car il me replonge à la fin de vie de ma cousine qui deux jours avant la fin de l'année m'avait appelée pour me dire son mal être. Elle était désespérée. Je lui ai demandé de prendre un billet de train, que je viendrais la prendre à la gare. Elle m'a envoyé un message pour me dire qu'elle avait son billet. La veille de son arrivée, son père m'a appelée pour me dire qu'elle s'était jetée dans le vide. Elle avait 29 ans.
Quand le désespoir est trop grand, la mort semble une libération, mais c'est horrible pour ceux qui restent. Gros bisous ma chérie et merci pour ta fidélité.