Atelier du 7 avril avec les mots de Janedeau.

Soleil, errances, chercher, frapper,

tête, roulis, jour, nuit, monde.

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Qui perd gagne !

Le jour on se souvient des errances de la nuit.

Elles ont empêché le sommeil de venir à nous.

La nuit, le soleil sur le monde de chez nous

s'est couché, on cherche enfin le calme.

Mais dans la tête c'est le roulis des pensées.

Il me faut décider du combat à mener entre jour et nuit !

Celui qui frappera le plus fort obtiendra mes faveurs.

C'est le jeu !

 Atelier de ce 18 mars avec les mots de Janedeau.

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 Garder, perdre, vague, mot, été,

bourdonnement, chuchoter, monde, pavé, mémoire.

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Apocalypse.

Le bourdonnement s'amplifiait jusqu'à devenir obsédant,

stressant, insupportable.

Il était comme incrusté dans sa mémoire.

C'était comme une vague qui ne finit pas de claquer sur les rochers.

Son monde, à cet instant, perdait pied.

Finit tout ce qui avait été avant ce supplice.

Des heures que ce bruit résonnait dans ses oreilles.

Lui martelait la tête ! Comme un pavé qui lui crevait les tempes.

Elle ne pouvait même plus se chuchoter en pensées les mots

de ses ressentis, les mots de courage et d'espoir.

Puis soudain tout s'arrêta !

Sans qu'elle s'en rendit compte tant elle se bouchait les oreilles

avec ses mains qu'elle gardait appuyées fortement dessus.

Le bruit avait cessé : Enfin ! Doucement elle retirait ses mains.

Le silence. Mais un silence assourdissant d'inquiètude.

Que se passait il donc !?

Elle sortit de la cave où elle rangeait, ouvrit la porte et

resta figée sur place. Rien dehors ! Rien que du vide.

Plus de vie. Plus de nature. plus de vent. plus de bruit. Rien.

Son cauchemar prit fin.

Son chat, couché sur sa poitrine, de tout son long,

ronronnait comme jamais !

 Atelier de ce 18 mars avec les mots de Janedeau.

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Avec ses mots ci-dessous

Page / goût / marches / éclairer / chemin

voûte / abandonner / oublier / tendre / navires

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 Absence

Comme un navire à la dérive,

abandonné sur les flots,

son chemin n'est plus qu'esquive.

Les pages de sa vie sont à l'eau.

Oublier le gout de lui,

oublier ses tendres baisers,

sans jamais être assouvie,

elle ne peut pas. Jamais.

Sous la voûte de son absence,

aucune marche ne mène à lui.

Rien pour éclairer sa souffrance.

Et de lui, toujours , elle se languit.

Atelier Janedeau du 2 Octobre

Dimanche, grandes, détresse, bonheur, octobre

Encre, onde, brouillard, pouvoir, silencieux

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Ma bataille

C'était un dimanche, le brouillard d'octobre rose

avait posé sur ma vie une nouvelle bien morose.

C'était écrit sur le papier, à l'encre de détresse

 envahissant mon sein telle une vengeresse.

Une onde au pouvoir silencieux de mort,

planait sur ma vie, sur mon sort.

C'était un dimanche d'octobre rose blafard,

aux grandes larmes versées sur fond cafard.

Des lettres couchées sur le papier, mots de malheur

venaient de détruire ma vie, mon futur et mon bonheur.

Quelques années après la dure bataille du cancer,

j'ai subi, j'ai pleuré mais vaincu mon adversaire !

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Sortez de mon corps.

Certaines de mes nuits sont dans un monde infernal.

Quand il me faut marcher pour chasser les crispations 

de mes nerfs noués, c'est le parcours de la combattante qui commence.

Je n'ai guère l'envie à ces moments de scruter le ciel pour y

admirer ces belles étoiles car mon corps est dans un naufrage

de douleurs si fortes que je voudrais hurler.

Je suis envahie à ces instants de pensées sauvages.

Je voudrais être le chercheur qui trouve le remède

à ces douleurs là et pouvoir soulager celles et ceux qui en souffrent.

Quand le soleil se lève, c'est le marchand de sable de mon enfance

qui vient me chanter une berceuse car les douleurs sont allées

se perdre quelque part au fond de moi, sans doute

pour revenir encore plus en force...

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Les mots de Janedeau sont ; 

Illusion  cœur  rêves   dérisoire  fragile,

désirer  voir  mot  rives  mal

Sur les rives fragiles des rêves, un cœur battait.

Illusion après illusion, il désirait voir la réalité.

Les mots doux dérisoires, masquaient

souvent le mal qui se cachait. Malgré tout,

il persistait, fragile mais plein d'espoir.

 Avec les mots

vallée, fermer, chercher, demander, vagues

espérance, ciel,, beau, vœux, vent

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Est-ce la Sagesse ?

Il fut un temps où je me trouvais dans une impasse,

dans une vallée pleine de vents mauvais

si terribles que le passé prit possession de mon présent,

si fort que des impacts font maintenant 

bien des vagues de dégâts et que de petits

tracas sont là, irrémédiablement dans mon ciel.

Des actes d'avant sont encore des états d'aujourd'hui 

et sur la piste de ma vie, ils ressurgissent implacablement.

Je pactise donc avec moi-même, je me noie dans l'espérance,

je tamise mes beaux mots et j'apprends à dire merci

pour ne pas dire merde et je ne demande rien en vœu.

C'est fou comme on se bonifie avec le temps

quand on sait qu'on a plus de vie derrière que devant et

que l'on se dit ; Ne cherches plus rien, ferme ta bouche.

Ils comprendront plus tard, trop tard,

comme je me le suis dis aussi un jour...

Avec les mots;

plume,  tendresse, chaleur, or, fièvre,

bercer, aube, suite, aimer, papillon.

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La légende

La légende raconte qu'à l'aube,

encore chargée des ors du lever de soleil,

elle jetait des sorts de tendresse

avec ses plumes immaculées de bonheur.

La légende dit aussi que, bercée par des nuages

de papillons, elle distribuait la chaleur de ses bienfaits.

La suite de la légende ne dit pas si la fièvre

s'est emparée d'elle lorsqu'elle a succombé d'amour,

délestée de tous ses pouvoirs sur le monde.

La légende raconte que depuis son trépas,

plus rien n' a été comme avant.

""Moralité de Ghis""

Sachez profiter de ce que vous car vous ne savez pas ce que demain sera

L'atelier de Janedeau 

Avant ou es tu ?

C'est comme un écho qui revient à l'infini

dans ses pensées.

C'est comme naviguer dans le ciel, bercé

par un champ d'étoiles.

C'est comme espérer que l'hiver est bien l'hiver,

que l'heure des saisons est revenue 

comme par magie cette année.

Mais non. Il sombre dans une immensité sans fond.

L'espoir n'a duré que le temps

d'un clin d'oeil.

Avant ne reviendra jamais.

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Yeux, enfiévrés, passé, saison, menthe,

volet, voyage, goutter, habiter.

...

Le passé d' Elise

Les yeux enfiévrés, elle porte un regarde différent sur son passé.

Elise a vieilli, Elise a muri.

Elise a compris, qu'au fil des saisons,

tout ne semble plus pareil.

Elle n'est plus habitée par les rancunes et les mensonges.

Ceux-là mêmes qui ont terni ses yeux de gouttes de larmes 

trop souvent au cours de ses voyages passés.

Non Elise ne souffre plus de tout cela.

Les volets sont bien clos sur ces jours faiseurs de douleurs.

Elise a grandi, Elise sourit.

Plus jamais on ne lui fera croire que le ciel à la couleur

d'une menthe à l'eau non plus jamais !

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...

Au gré de la vie

Au gré des pluies de ces derniers jours,

les rivières, les étangs, les lacs sont heureux

de pouvoir à nouveau jouer les cantiques

de leur bonheur retrouvé.

Ils sont comme notre terre qui sans eau se mourrait

peu à peu et devenait sauvage et asséchée,

sans amour, sans la beauté de sa nature florissante.

Au gré des pluies, les arbres sont heureux d'accueillir

avec joie de jolis nids remplis de nichées qui piaillent

le bec ouvert attendant la becquée.

Au gré des pluies de ces derniers jours,

le coucher du soir me donne le sourire

pour des lendemains prometteurs.

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...

Bohémienne, temps, bal, soleil, demeure,

immensité, nom, port; main, amoureux.

...

Dis moi,

Bohémienne, s'il te plait, lit dans ma main

la ligne de mon avenir.

Bohémienne, s'il te plait, dis moi

quand viendra la sérénité.

Dis moi que le nom qui demeure dans mes pensées

s'effacera pour se perdre dans un port inconnu

et sombrer dans l'immensité de l'oubli.

Quelque part deux femmes dansent le dernier bal

de leurs erreurs, leur soleil sera noir.

Même leur amoureux ne sauront plus avec qui ils vivent.

Bohémienne, après tout, je ne veux rien savoir.

Je pardonne toutes les offenses,

Je sais avoir bien agi. Le reste m'indiffère

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 Attrouper, mien, ensemencer, déposer, ardent,

voir, jardin, rose, crépuscule, beauté.

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Dans la beauté du crépuscule, un soir de printemps,

il est venu ensemencer mes jours d'ardents mots.

Il les a attroupé en collier avec le fil d'amour de son cœur.

Mon jardin du bonheur s'est coloré de rose après

qu'il y eut déposé tant de joie.

Aux portes des battements de mon sang,

j'ai pu voir jaillir dans le sien une partie du mien

dans son cœur de mon fils.

Merci pour ce poème qui m'est dédié dans son 3eme livre.

"" Tout est Possible ""

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Les mots sont

Image, bras, délivrer, lueurs, respirer,

murmurer, pierres, épouser, soir, voie.

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Un matin nouveau

Les bras ouverts vers les lueurs du jour qui se lève,

je suis sur la voie d'un réveil qui vient me délivrer

ses bonnes pensées.

Je respire cette tranquillité, elle me murmure à l'oreille

que les pensées d'hier soir sont à oublier.

Quelques pierres brillent dans le jardin d'en face,

on les dirait recouvertes d'une rosée de diamants.

N'est - ce pas une belle image pour épouser une journée sereine ?

http://au-gre-des-flots-bleus.eklablog.com

Avec les mots

Toujours, gronde, néant, mer, désespoir,

image, combat, frisson, porter, printemps.

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Le temps d'un bataille morale

Il gronde toujours en moi une mer de houle.

Elle hurle silencieusement encore ce printemps.

Les images et les sons entendus deviennent flous,

le combat de ma douleur passe avec le temps.

Le désespoir ne m'a pas mise dans le néant.

Parfois des frissons de tristesse refont surface,

mais je sais que je vais moins les porter maintenant.

Le Karma , un jour, leur remettra tout à sa place.

Il me suffit juste d'attendre, ma conscience est en paix,

la moralité fait partie du voyage de mon essentiel.

J'ai gagné la bataille de mon combat avec respect.

Je les laisse avec leurs pêchés excrémentiels... 

Atelier chez Janedeau.

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Passe la nuit.

La page que je comble de mes mots se délecte de mon insomnie.

A l'heure du sommeil, le soir veut me fuir de son repos,

il dépose son ancre dans un coin de mon cerveau.

La nuit m'enveloppe d'images où l'air du vent fait venir à moi

l'imagination fertile d'une histoire et il devient impossible

de ne pas prendre ce crayon pour combler le temps jusqu'à l'aube nouvelle.

Elle n'est point tristesse mon insomnie, elle me souffle la vie des mots,

ceux que je vous laisse ici..

Atelier chez Janedeau.

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L'hiver

Les yeux plissés par l'insondable brouillard qui s'étalait sur la passerelle,

je ne voyais même plus le bout du chemin.

Il me fallait donc rentrer, les flocons de neige devenaient trop denses.

La promenage bien trop compromise, je rentrais donc vite me trouver

une autre activité et aussitôt je pensais au grenier en désordre.

Voilà qui allait me plaire car je pourrais ainsi ressortir tout ce qu'il fallait

pour mes oiseau d'amour maintenant que l'hiver était bien là !

J'allais continuer à écouter leur chant me chanter les louanges de leur bonheur.

Ainsi aucune ombre à ma journée en ce jour hivernal.

Atelier chez Janedeau.

Les mots imposés sont;

Venir, ensemble, cueillir, entendre, cime,

désordre, verser, perdu, cœur, amour.

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Les pas de mon Automne

Allez, il faut venir cueillir ensemble, par delà la cime des montagnes,

le grand désordre des feuilles de l'automne qui font un tapis doré

aux alentours, il faut entendre nos pas perdus qui craquèlent

sur le sol de notre terre, dans l'air du temps, elles versent

leur mélodie de l'automne avec tout leur cœur,

à chacun de nos passages, avec un amour sincère,

elles vous offrent leur musique d'automne,

elle vous offre en cadeau une ode à l'automne.

Atelier chez Janedeau.

Les mots imposés sont;

Blanc, tristesse, émue, plaine,

solitude, chevreuil, sceller, pensée, yeux, or.

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Balade automnale

A l'orée du bois où vivent les oiseaux, les insectes, les lapins,

les chevreuils ou tous les autres animaux de la foret, on

quitte la plaine de la solitude pour la faune et la flore.

Aucune tristesse dans les pensées,

tout n'est beauté de la nature vu par des yeux émus.

La paix ici scelle son pacte de vie.

Sur les arbres de l'automne, recouverts d'or,

la vie s'agite pour les habitants du bois.

C'est qu'il faut vite faire les courses pour l'hiver,

vite avant que le beau tapis blanc ne recouvre tout.

C'est le temps des provisions, du travail de tous,

et ainsi passer un hiver tranquille en attendant

ce printemps enchanteur..

Atelier chez Janedeau. Consigne E.

Les mots imposés sont;

Air, oiseau, temps, soir, nid,

chanter, apparaître, faire, tomber, revivre.

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Mélodie d'oiseaux

L'oiseau quittant son nid, le temps de faire son repas,

nous chante son air de joie.

Il fait tomber quelques plumes de son ramage qui tourbillonnent

avant de se poser en douceur sur le chemin.

Ce soir, au chaud en compagnie de Madame oiseau, ils feront gentiment

leur repas en nocturne, à l'abri des regards.

Mais dès demain, vous les verrez apparaître encore 

tout guillerets pour une nouvelle journée et ils nous donneront

à écouter leurs chants si mélodieux.

Pour qui sait écouter, la forêt est une immense orchestration

musicale dans un aura d'odeurs d'automne.

Ghis.G.

Atelier chez Janedeau. Consigne D.

Les mots imposés sont;

 Onde, ruisseler, caresse, désirs,

baisers, chavirer, pensée, emporter, vaciller.

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Le temps du temps.

L'onde translucide, chargée de baisers et de caresses,

ruisselle dans mes pensées,

m'emporte dans un soupir de désirs,

vers mes amours passées.

Le temps des oublis n'a pas encore fermé sa porte,

il fait vaciller mon cœur de chagrin.

Laisser le temps au temps,

laisser l'onde assécher mon cœur fané,

qui attend un éveil heureux.

Atelier chez Janedeau. Consigne B.

Les mots imposés sont;

Calme, palmes, vient (venir) barque, soir, 

voir, travers, rideau, me, visage.

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 Le metteur en scène

Le rideau se baisse sous les applaudissements...

Ce soir, ils sont venus voir la nouvelle pièce de ce metteur en scène

qui monte sur les planches de la côte d'azur.

Au travers de son histoire hilarante,

un sujet à réflexion sur la maladie mentale me fait y penser

plus longuement dans le calme de ma chambre..

Il était prof et un jour il a déposé les palmes

de ses écrits dans la barque d'une scène de théâtre.

Depuis son visage sourit quand il entre en scène avec ses comédiens !

Ainsi sont nés un métier, une passion !

A voir ici  

et ici 

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Atelier chez Janedeau. Consigne C.

Les mots imposés sont;

Passer, torrent, rivière, prendre, s'achever,

fleur, bonheur, retenir, ciel, amour.

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Les départs

Quand passe le torrent qui va rejoindre la rivière,

là- bas au fond du Paillon,

il emmène avec lui mes larmes que je ne retiens pas.

Il emporte avec lui tous mes petits bonheurs

que je lui confiai, mes illusions, mes amours,

et à présent mes désespoirs.

Il me prends le cœur

dont la fleur a fané le jour de leur absence.

Le ciel n'aura plus jamais la même couleur,

mon monde vient de basculer dans les méandres

de ma solitude, la vie éloigne de moi

ceux que j'aime et mon univers s'achève

à l'infini de ma tristesse.

La consigne A . Atelier Janedeau 

ici

Les mots sont;

Couleur, meure, vent, pas, pâlissant,

obscurité, expire, solitaire, regard, amants.