Bonjour les Amies, amis,

Je suis rentrée chez moi avec un protocole sérieux.

Je vais m'adapter doucement.

Bien sur je suis fatiguée mais le plus grave est passé.

Je vais reprendre mes marques ici avec mon

adorable mari et ma petite Kaly.

Et ne croyez pas vous reposer les méninges,

dès le 15, l'atelier vous attendra.

Je ne peux ici vous citer toutes et tous,

mais merci de vos messages reçus à l'hôpital

vous m'avez apporté beaucoup de réconfort

Merci à mes amies proches qui sont venues me voir.

Merci ma fille Séverine, mon fils Michel,

Merci mon fils Jean-Philippe et ma fille ainée

Virginie qui m'a annoncée que j'allais être arrière grand-mère en octobre , donc à 71 ans !

Par ailleurs, ma fille Séverine, en venant me voir à eu un 

accident de scooter, elle a glissé sur une plaque d'huile.

Le tibia cassé et la rotule luxée, elle est plâtrée pour 45

jours avec des soins à domicile..

A bientôt.

Je ne peux m'empêcher de vous partager

un courrier reçu ce matin.

Je ne l'avais pas annoncé mais j'ai appris

le décès d'un de mes ex mari au début de l'année.

J'ai donc comme c'est mon droit, demander 

une pension de réversion en février 23.

Après des mois à instruire ma demande,

je reçois ce matin samedi 9 décembre 23, ce courrier.

Je vous laisse rire ! Comme j'ai ri !

En dessous je vous met ma réponse.

Ma réponse

A ce jour, 9 décembre 2023, je reçois ce courrier.

Je pense que connaissant mon numéro de S.S.,

vous pouvez constater que  pour l'année demandée,

1961/1962,

je n'avais que 9 ans. Je ne suis donc pas en mesure

 de savoir, ni de vous donner cette information.

Veuillez agréer etc etc .....

Je tiens à vous signaler à tous

qu'une personne à pris mon ancien nom de blog

http://ghislaine53.eklablog.com/bienvenue-sur-le-blog-des-ateliers-d-ecriture-a214768827

Son pseudo est JOB01,

l'article qui répertorie les ateliers écriture n'est pas de moi !

D'ailleurs vous le constaterez, certains n'existent même plus !

Cette personne à crée ce blog très récemment mais ce n'est pas moi

Elle écrit cet article comme si c'était moi.

Ce nom de blog n'est plus le mien, je l'ai changé pour plus de compréhension sur l'activité et les  raisons de son existence.

Je tenais à faire cette petite mise au point après avoir vu des commentaires sur ce blog de personnes qui croyaient que c'était moi !

Il y a des liens de pub pour diverses choses !

Sachez donc que ce n'est pas moi du tout.

Liste no 69 chez An'Maî

..........

Avec les mots imposés;

Traverse, enchaîner, animation, mobilisation, rejoindre,

spécial, question, cauchemar, savourer, décadent.

..............

Le train,  progrès décadent.

Partie rejoindre Pierre par le petit chemin de traverse,

Elise est en marche quand elle entend au loin qu'on hurle dans 

un porte-voix des mots qu'elle ne comprend pas de si loin encore.

Quelle est donc cette animation ?

En approchant elle voit une mobilisation

de personnes à l'entrée de la clairière

et certaines enchaînent un slogan

aux allures de revendication générale.

"Non à la ferraille. Non aux rails"" crie la voix.

Mais de quoi est -il donc question ici se dit Elise ?

Pierre ne lui a pas parlé de construction ici !

Pas dans notre clairière quand même !

Ce serait un cauchemar de plus pouvoir savourer nos tête à tête

pour nos pique-nique tout de même !

Un rail ? Ici ?

Est ce à dire des trains à longueur de journées qui passent et repassent ?

Elise trouve que cela serait décadent pour leur si spécial et si beau village.

Informée sur cette manifestation

Elise est complètement effarée de la nouvelle.

Pourquoi Pierre ne lui en a t il rien dit ?

Il est le garde forestier, il doit savoir !

Arrivée au point de rencontre, elle trouve Pierre décontenancé !

En effet, lui aussi vient d'apprendre la nouvelle.

Il n'en avait pas parlé avant,

pensant que les négociations n'aboutiraient pas.

Le maire, le préfet étaient contre

mais hélas cela n'a pas suffit.

Le train passerait bien ici et couperait la clairière en deux..

Médusés, en colère, ils se regardaient en pensant la même chose !

Mais que faire pour empêcher ça d'arriver ??

Laissez libre à votre imagination en utilisant 

les phrases, mots, expressions et thèmes proposés, sans les modifier.

Chez Nanou ici

un clic sur le logo pour participer

et voir les propositions.

  ............

 Phrases : dépecé la jambe - gazon soigneusement tondu - sa tête entre ses mains - des bonnets tricotés à la main - la douceur de la nuit - le visage décomposé - cette époque de l’année.

 Mots ou expressions : avoir la science infuse - à bâtons rompus – zigzaguer - stupeur - massacre

et/ou Thème : ANIMAUX

.........

L'éleveur de cochons.

Son bonnet tricoté à la main, posé sur l'herbe humide de la douceur de la nuit,

le visage décomposé, sa tête dans les mains, assis sur le gazon soigneusement

tondu où d'habitude il aime cette époque de l'année à passer de longs moments

à zigzaguer avec elle dans les sentiers de la forêt, à discuter à bâtons rompus aussi.

Mais ce soir, cette époque est révolue.

Révolue ce soir c'est certain.

Il sait que la stupeur passée, encore une fois, sans avoir la science infuse, il sait !

Il sait que le travail achevé, il reprendra sa vie, tranquillement, jusqu'à la suivante. 

Il a commencé par lui dépecer la jambe, le reste va suivre. et les cochons feront le reste.

Mais pour le moment il se repose un peu. Et regarde son massacre avec délectation.

C'est tuant parfois sa vie 

 Le mot mystère est un mystère.

.........

Mes anagrammes sont,

Arbre, baron, noire, bonne, bobine.

.........

Monsieur le Baron

Un jour, un baron avait décidé de planter un arbre rare dans son jardin.

Il avait entendu dire que cet arbre, 

appelé "l'Arbre de la Bonne Bobine", était très spécial. Selon la légende, 

il possédait des feuilles magiques capables de transformer

tout chose noire en quelque chose de bon ou d'autres couleurs.

Le baron était très enthousiaste à l'idée d'avoir cet arbre dans son jardin, 

espérant que cela lui apporterait de la chance et rendrait ses journées plus agréables. 

Il engagea donc un jardinier expérimenté pour planter l'arbre avec soin.

Le jour de la plantation, le baron était impatient de voir le résultat. 

Le jardinier planta la petite pousse avec précaution, 

arrosant abondamment la terre pour assurer sa croissance.

 Le baron était tellement excité qu'il ne pouvait

s'empêcher de poser mille questions au jardinier.

"Faut-il lui parler pour qu'il grandisse ?" demanda le baron.

Le jardinier sourit et répondit :

 "Oh, non, Votre Grâce. Les arbres ne comprennent pas le langage humain."

Le baron fut surpris, mais il continua à poser des questions sur l'entretien de l'arbre. 

Pendant des semaines, il attendit avec impatience

que l'arbre grandisse et montre ses feuilles magiques.

Un jour, le baron remarqua que quelque chose avait changé. 

L'arbre avait grandi et ses feuilles étaient d'un vert éclatant.

 Excité, il toucha une feuille et, à sa grande surprise,

elle se transforma en une magnifique fleur blanche.

Le baron était stupéfait. "C'est incroyable !

Mon arbre a une magie différente de ce que j'attendais !"

Il courut chercher le jardinier et lui montra la fleur blanche. 

"Regardez, regardez ! L'arbre ne transforme pas comme il faut,

il change le vert en blanc !"

Le jardinier regarda attentivement la fleur et éclata de rire.

 "Votre Grâce, c'est simplement une fleur blanche. 

L'arbre n'a pas de magie spéciale pour transformer les couleurs."

Le baron se sentit un peu bête, mais il ne put s'empêcher de rire lui aussi.

 "Eh bien, au moins, mon arbre a un sens de l'humour !"

Et à partir de ce jour-là, le baron profita de la beauté de son arbre, 

même s'il ne réalisait pas ses vœux magiques. 

Il comprit que parfois, la réalité pouvait être bien meilleure que la légende.

·٠•●♥ Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ ♥●•٠·˙ Merci ˙·٠•●♥ Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ ♥●•٠·˙

Chère Annick,

Je te souhaite un très bel anniversaire en ce jour

qui est le tien mon Amie.

Merci d'être présente dans mon atelier d'écriture,

de nous faire partager tous tes écrits.

Amitiés sincères mon Amie.

Annick Lotus c'est ici 

Un clik sur le logo si cela vous tente

toujours des sujets différents

..........

Chez Marie , pour la semaine prochaine, place aux mots, 

car elle sait que certains participants les affectionnent particulièrement.

Elle vous invite à écrire un texte 

avec 5 mots commençants par “par” et les mots suivants: 

allié, hémisphère, impact, taxi, héliotrope,

chance, envol, affirmatif, créole.

Paradis, parfait, partout, parfois, parader.

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Suis moi.

Avec mes hémisphères cérébraux car sans eux, nous ne sommes rien,

j'aime à apprivoiser la nature, elle est mon alliée, ma compagne de résilience

quand je dois prendre mon envol pour effacer la souffrance de mon cerveau.

Elle est mon taxi pour un paradis de paix.

Elle a sur ma vie un impact parfait. Bienfaisant.

Les couleurs de sa vie me comblent de joie, surtout

celles des héliotropes et des violettes sauvages qui poussent partout.

Je suis affirmative dans cette déclaration car c'est une chance de pouvoir

ressentir les bienfaits de nos forets.

Parfois, j'imagine qu'un tout petit oiseau se pose sur une de mes créoles,

se promène avec moi pour parader de son chant mélodieux.

Bien sur que c'est une chimère fugace qui traverse mon esprit

mais n'est ce pas une pensée enchanteresse ?

Un clik sur son logo pour en savoir plus.

Je pense que cet atelier pourrait plaire à

plusieurs de mes participantes et participants.

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La nouvelle habitante

On ne lui connaissait pas de nom mais dans le village

les rumeurs allaient bon train...

Pensez donc, elle venait de s'installer la semaine passée dans la maison du père Auguste qui était mort dans de bien étranges circonstances et on attendait toujours de savoir le pourquoi des choses.

Ca cancanait grave sur le muret des papoteuses de ragots en tous genres sur tout et tout le monde, alors la nouvelle venue alimentait les creux d'oreille !

On la voyait peu la nouvelle, elle sortait même pas pour les courses, on les lui livrait à domicile à madame. La lumière chez le père Auguste, enfin chez elle maintenant était allumée une partie de la nuit. Mais que faisait elle la nuit ?

Elle avait fait venir des gens de la ville pour embarquer tout le mobilier du père Auguste, puis on avait vu des ouvriers entrer et sortir pendant une semaine, puis des livreurs de meubles aussi étaient venus. Dame, elle changeait tout. Surement qu'elle était riche la nouvelle venue au village.

Même Josette la boulangère savait rien et c'était pas faute de la questionner quand elle venait prendre son pain aux céréales Madame; mais elle se contentait de sourire aux questions et point d'y répondre la bougresse.

Alors dans le village les cancans, les suppositions, on en faisait. On avait même osé demandé à Fernand le facteur le nom de la dame. Point de courrier pour elle jamais qu'il avait répondu. Pour sur c'était à cause de ces machines qu'on tape sur un clavier pour demander ce qu'on veut ! Sur que c'est ça ! Ah le progrès, on avait pas de ça ici dans le village mais la dame si bien sur.

Le muret des cancanières était rempli tous les jours, même quand ce n'était pas le jour des commerçants ambulants, tout le monde négligeait les corvées pour aller voir si quelqu'une ou quelqu'un savait un truc sur la nouvelle.

Il ne restait plus que le camion du libraire à passé mais lui il ne passait qu'une fois par mois donc fallait encore attendre une bonne semaine. Et quand le samedi du libraire arriva ce fut l'effervescence au village. Le libraire n'avait jamais vu autant de monde devant son camion, y'avait même la Huguette qui sait pas lire et le curé qui n'y voyait plus avec ses cataractes aux deux yeux.

Chacun venait prendre ses magasines, ses journaux, ses livres de jeux de lettres et de chiffres. Puis soudain, c'est le gros Jeannot qui s'exclama.

" Mais dites donc, c'est pas la nouvelle là, sur la page de couverture du livre ??"

Chacun voulut voir de plus près et bientôt on auraient dit des voitures tamponneuses ! Fichtre ! ben oui c'était bien sa figure à la nouvelle venue au village mais diable pourquoi donc, on la voyait là ? Le gros Jeannot se plaça juste devant et lut à haute voix, très fort pour qu'on l'entende.

"Ecoutez tous, le titre du livre c'est ;

"L'affaire du père Auguste résolue" écrite par Marie Kléber.

Par tous les saints du village, la nouvelle, elle est écrivaine dis donc !

Pour sur,  ça valait bien la peine d'attendre pour tout savoir sur l'affaire du père Auguste,

hein Marie ??

Laissez libre à votre imagination en utilisant 

les phrases, mots, expressions et thèmes proposés, sans les modifier.

Chez Nanou ici

- Phrases : je dois m’en aller - le plaisir de bavarder - le monde continue - tu crapahutes - lieu de rendez-vous - un large sourire - Excusez moi, monsieur.

- Mots ou expressions : mordre - doucement se ronger les sangs - en avoir marre – jardin.

Je n'ai pas pris le thème qui est "" Campagne ""

Pour voir les propositions, un clik sur le logo 

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Coup de gueule

Excuse moi Monsieur  le thermomètre, Mais tu crapahutes

un peu trop vite à mon goût !

Je commence à en avoir marre tu sais !

Doucement se ronger les sangs en attendant la pluie salvatrice

ne me permet pas de te faire un large sourire !

Je n'ai pas de jardin où m'arroser et il va me falloir bientôt mordre

dans des glaçons pour faire baisser ma température !

Tu comprends donc Monsieur le thermomètre que je n'ai pas

le plaisir de bavarder avec toi dans ces conditions là !

Je sais le monde continue mais donne moi le lieu

du rendez-vous où il fait frais !

Sinon je dois m'en aller sous mes ventilos

où me mettre dans le frigo mais je doute

qu'il ait de la place pour moi !

Fais un effort descend 10 étages plus bas !

Cliquez sur le logo pour en savoir plus

...........

Je pars

“Oui puisque ce soir on en parle, puisque ce soir tu me le demandes sans détour, 

je serais même prêt à aller jusque là, à faire ça pour toi, tu as l’air 

de tellement y tenir, ça à l’air si important pour toi, alors si ça peut

te faire plaisir pas d’état d’âme, je te suivrai, je ferai ce que tu me diras.”

Je pars

Paré de mes mots pour courage,

je pars.

Quelque part tes mots m'enragent .

Par leur pouvoir tu m'as laissé au rivage.

Je pars.

Une part de toi vit bien trop en cage.

Je ne suis que de la poussière,

je ne suis que cendres, alors

je pars.

Je vais me faire guerrier,

franchir les  injustes méandres,

Je pars.

Mon ciel couleur de feu,

tel l'oeil du volcan et sa lave,

je pars.

Je serai ce guerrier d'un dieu

libéré de ton esclavage,

je pars.

Tu vois, je t'avais dit que j'était prêt à faire tout pour toi !

J'ai fait ce que tu m'as demandé, je suis parti

Adieu...