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Le  défi de la plume chez Evy no 321 avec les mots

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 Astre, indigner, frapper, lutter, emporter,

désoler, retenir, supplicier, trembler.

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Liberté, tu as le pouvoir de t'indigner

quand tes droits sont si bafoués.

Liberté, il te faut lutter sans trembler.

Justice, prend garde de bien frapper

ceux qui te font tant pleurer.

Ne les laisses pas te désoler.

Liberté, justice, droit, sans vous retenir,

sauvez l'astre de votre avenir,

de votre combat dépend votre devenir.

Personne n'a le droit de vous le supplicier,

personne ne peut vous l' emporter.

Vos droits c'est cela votre liberté.

Ghislaine

 Le mot mystère est Ronchopathie (Merci Lilou)

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Mes anagrammes sont;

 prochain, chapitre, chaperon, crainte, pianoter, certain, 

chanter, chipote, opacité, pitance, raconte, copine.

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Biographie inventive pour Lilou

Je pense que mon prochain chapitre, c'est même certain parlera

de ce fameux chaperon que mon père avait choisi pour m'accompagner

lors de mon voyage en Angleterre.

J'aurai préféré une bonne copine mais ce fut l'oncle Sam !

Bavard comme une pie, qui chipote sur tout de crainte

que sa pitance ne soit pas assez copieuse.

Il est est gourmand et vorace et sa bedaine le dénonce bien !

Et puis il un un toc insupportable, il ne cesse de pianoter

sur toutes les surfaces, c'est énervant au possible,

il dit qu'il sait chanter comme Tino Rossi

heureusement, nous ne sommes pas à Noël..

Il raconte des tas d'âneries et je le soupçonne d'être un peu mitho.

Voilà où j'en étais du livre de ma vie.

Mais rassurez-vous, je ne suis pas partie avec Oncle Sam !

On lui a découvert une opacité dans les yeux, il dû se faire opérer !

Le voyage fut annulé et remplacé par un petit séjour chez ma tante paternelle;

et c'est là que je rencontrais celui qui allait être mon premier mari,

suivi de quelques autres mais cela sera un autre chapitre..

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Liste 7 avec les mots

Miel, manteau, semaine, arabesque, agora,

dentelle, affreusement, piment, citrouille, astronef.

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L'astronef (ici)

- Met ton manteau , celui couleur de miel, pas trop chaud,

Je t'emmène au restaurant à Toulouse ! On va finir la semaine en beauté !

-Comment ça tu m'emmène au resto ? A Toulouse ! Mais t'ès fou !

-Allez allez habille toi on décolle pour l'astronef !...

Pendant que Gigi s'habille , un peu perturbée quand même,

il lui raconte que sur la place de l' agora, se trouve un astronef géant

transformé en restaurant affreusement divin et qu'il faut y aller au moins

une fois dans sa vie, ne serait ce que pour goûter cette

fameuse citrouille au piment décorée d'arabesques de dentelle.

Le chef est un cuisinier qui invente des recettes à vous laisser baba !

Il fait même un dessert dont tu me diras des nouvelles qui s'appelle

Le dessert mystique en forme d'ange en glace à la noix de coco !

Hop hop en voiture c'est parti pour quelques heures de route

avec au bout un super Week end.......

 Le mot mystère est Fanfreluche

Mes anagrammes sont;

Réchauffe, échauffe, effaceur, flèche, raclée, écran, enfle,

fâche, hurle, rance, ruche, recul, fleur, feule, reclue, fauche, fêlure.

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La réconciliation

Comme un flèche qui hurle, Il fauche mon coeur déjà bien rance

des insultes d'avant...

C'est comme une bonne raclée qui enfle et échauffe mes oreilles

telle une ruche au travail.

Le mot fâche, il feule à mes oreilles et la fêlure va se briser,

casser l'écran de ma confiance.

Le recul venu, il supprime les doutes et la reclue ouvre

à nouveau la porte de son coeur semée de la fleur de sagesse.

Les clés qui l'ouvre sont faites d'amour et de pardon sans contrefaçon.

L'effaceur de douleurs a fait son travail. Il se nomme aussi le temps.

Les jours sont ouverts sur la fenêtre de l'apaisement.

Ghislaine

La ronde des Mots

Enseignant, parent, littérature, véritable, prisonnier,

aventure, manger, sports, errance, force.

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Une autre vie

Longtemps il est resté prisonnier de lui même, dans son enfermement mental.

Au cours d'une de ses multiples aventures de sports extrêmes;

il a perdu l'usage de ses jambes.

Depuis lors, en fauteuil, il a souvent la nostalgie de ces temps là.

Certains jours les souvenirs lui mangent le cerveau.

La force de vivre, une véritable énergie, lui fait gagner son combat.

Ce matin il donne son premier cours. Il reprend son métier

d'enseignant en littérature, en fauteuil !

C'est une nouveau voyage d'errances certes,

des connaissances à donner, mais qu'il sait pouvoir maîtriser.

Enseigner à toujours été pour lui une réelle passion, juste abandonnée

quelques années où l'adrénaline voulait le mener toujours plus loin.

Ses jours se parent à nouveau de joie de vivre.

Chez Nanou ici

Ce n'est pas son logo, je ne l'ai pas encore.

Je viens de le faire juste pour agrémenter mon article

Proposition no 1 ici

 Laissez vous aller à votre imagination

en utilisant les phrases, mots, 

 expressions et thèmes proposés,

sans les modifier.

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Phrases à utiliser.

avec des adolescents, absolument féérique, le vent souffle,

merveilleuse soirée, et peu reposantes,  de l’amitié.

 Mots ou expressions

vide poche, apprivoiser, zig-zag, corbeille, murmure.

 Thème : Vacances

....

La monitrice 

Ce soir, avec des adolescents,

lors d'une veillée autour d'un feu de camp

absolument féérique,

je passe une merveilleuse soirée avec leur accompagnement

Le vent souffle un peu mais pas au point de nous faire fuir.

Les soirées agitées et peu reposantes sont rares et ce sont des instants

de l'amitié à partager en complices ou à apprivoiser pour les plus timides.

Toutes les anecdotes partent en zig-zag, chacun en a à raconter de belles.

Entre temps, ils glissent la main dans le vide-poche ou la corbeille remplie

de chamallows à griller. Bientôt tout sera vide.

Dans un murmure la nuit descend doucement sur le camp,

signalant l'heure du coucher dans les tentes.

Mais demain c'est encore les vacances, il va y avoir d'autres veillées,

d'autres histoires à écouter et demain, je serai encore plus heureuse,

car demain mon Sergio va leur jouer de la guitare et nous allons chanter.

Vite dormons que demain arrive vite.

Voyage, éprouvette, combinaison, processus,

populaire, admirer, courrier, flamme, métamorphose, insinuations.

..........

Être ou ne pas être.

Bien au chaud dans sa combinaison d'avenir, il part en voyage.

Beaucoup surveillent son départ, l'admirent de sa force.

Il est le plus populaire des voyageurs à cet instant T.

Il transporte dans son périple tout un processus de métamorphose.

On lui prête quelques insinuations douteuses

mais néanmoins prometteuses.

Il part sans valises, nu comme un ver,

il est le courrier de sa destination finale.

La flamme du pouvoir accrochée à son ardent désir de vie

prend son essor dans le fond de sa demeure, l'éprouvette...

Ghislaine

Fantômes, flocons, sensations, arabesques,

sortir, onde, flots, nirvana, aurore.

 ..........

Connaissez-vous ?

Connaissez-vous cette sensation de marcher comme sur des flocons semés

déci-delà, en flots craquants sous les pieds dès l'aurore ?

Connaissez-vous ce nirvana de bien-être qui fait danser devant vos yeux

des arabesques de fantômes ?

Telles des ondes d'anesthésies,

ils viennent vous poursuivre,

vous envahir, ne veulent pas sortir de vos âmes ...

Je les appelle " Souvenirs "

Ghislaine.

Tous les 26 du mois, notre Arlette( Georgette, Fée Capucine)

reprends du service. Son atelier reprends vie.

Les mots sont.

Conviction, immortelle, conscience, aide, fragile,

vigueur, intelligence, jardin, connaître, identité.

Ou une création sur le thème de sa création.

"Le jardin de la vie"

.........

le temps de l'immortelle

Elle n'est pas immortelle, elle le sait.

Mais tant qu'elle vit sa fragile vie,

en toute conscience,

elle a la conviction que donner son aide

en toute vigueur et intelligence fera, que de son identité,

on se souviendra.

Peut-être que certains se feront connaître

pour l'avoir aimé.

On se souviendra d'elle dans le jardin sauvage de la vie.

 Le mot mystère est . Résipiscence.( Merci Lilou)

.....

Mes anagrammes

 inspiré, présence, sincère, crispé, espèces, peine, éprise,

cesser, crises, encre, épicé, épines, épées, écrin, pense, percé.

.........

Sidération

Inspiré par sa peine, les mots sortent comme des épées acérées,

tachées d'encre indélébiles.

Il les a épicé d'épines à crever l'écrin de mon coeur

déjà bien percé d'anciennes douleurs inoubliables.

La présence de ses mots entre dans ma chair comme des espèces

de crises aiguës de folie incontrôlées.

Crispé sur sa colère la comparant à une bouée de sauvetage,

il pense calmer son mal, le soulager, le faire cesser en le donnant

à l'éprise de son amour qui doit supporter croit - il.

Aucune excuse, aussi sincère soit-elle ne saurait effacer la souffrance

des mots même si c'est cela qu'il pense, après l'apaisement enfin venu.

Qui pourrait d'ailleurs se remettre de tels faits ?

La controverse est que de son point du vu l'inverse est aussi vrai.

A chacun donc de mesurer l'étendue des outrages et de savoir

si la peine encourue est justiciable...

Ghislaine

 La récolte a donné

Miel, perle, brebis, crème, sein, velouté,

chocolat, berlingot, intolérance, instinct, traire, incorporer.

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La villageoise.

Jeanne vivait dans ce village depuis sa naissance.

Jeanne n'avait pas de famille, pas d'enfant, mais beaucoup d'amis.

Elle finissait ses jours ,tranquille au gré du temps.

Ce jour là, devant la fenêtre, elle écrivait.

Ses cheveux couleur de miel brillaient sous le reflet du soleil.

Sa peau lait de poule, douce comme de la crème tranchait avec ses cheveux

qu'elle avait encore bien noirs pour son âge.

Le corsage ouvert laissait entrevoir la naissance des seins,

là ou un collier de perles touchait sa peau.

Elle ressemblait à une toile, figée pour le temps d'une pensée.

Elle leva la tête en entendant Monsieur Berlingot qui revenait

avec ses brebis et son chien "chocolat ".

Parfois, elle allait avec lui à la ferme traire les brebis.

Elle aimait bien ce Monsieur Berlingot, qui comptait bien une dizaine

d'années de plus qu'elle et pourtant souvent il lui parlait comme à une enfant.

Il avait un instinct paternel pour elle sans aucun doute et cela faisait sourire Jeanne.

Souvent il lui apportait des gâteaux qu'elle ne mangeait pas à cause de

son intolérance au lait, mais jamais elle ne lui avait dit, elle ne voulait

pas le blesser. D'ailleurs, elle ne mangeait que ce qu'elle préparait elle- même.

Passant devant sa fenêtre, il leva son bâton en guise de bonjour

avec grand sourire, Chocolat sur ses talons....

Elle sourit puis se remit à son ouvrage.

Trouver une idée pour écrire un texte cohérent qui fera suite

à la récolte de chez Émilie...

 Ghislaine 

La ronde des Mots

 Les mots sont à utiliser dans l'ordre donné

Névralgique, règlement, transmettre, poubelle, questions,

évoluer, lendemain, raconte, piqûre, rousse.

..........

La situation est arrivée à ce point névralgique que même un règlement

partiel ne pourra se transmettre efficacement sans faire de dégâts.

Le mieux est de mettre ces dossiers à la poubelle directement.

Pas question d'évoluer dans cette firme dont

nos lendemains ne sont même pas assurés.

Qu'on ne vienne pas nous raconter des histoires ni

nous faire des piqûres de rappels à la patience !

Trois mois qu'on attends notre remboursement, cela suffit !

De ce pas je vais contacter mon avocat Maître Maridan !

Avec elle, rien ne traîne et tout s'arrange pas vrai ???

Ghislaine

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Le  défi de la plume chez Evy no 318 avec les mots

Nourrir, pleurer, grandir, serein, déranger

déchaîner, monter, scène, seconde, blanchir.

...........

Mais pourquoi ?

J'ai entendu grandir sa haine au fil des mots.

J'ai senti monter mon angoisse à chaque seconde.

J'ai senti blanchir mon visage de la douleur qui venait nourrir mon coeur.

J'ai entendu se déchaîner sa colère dans l'afflux des paroles haineuses.

La scène de mots défilent dans ma mémoire.

l'émotion intense, pas sereine, m'enserre comme un étau.

J'ai entendu sa haine,

j'ai subi sa colère.

La faute mérite-elle cela ?

Il faudrait en faire débat.

Mais je n'en ferai plus.

je rends les armes, c'est la fois de trop !

Mon coeur saigne,

mes yeux pleurent de cette injuste blessure.

 Les lettres sont 

ooiieylgkr

Le mot ,Kyriologie

mes anagrammes

Rigole, rigolo, oriole, loger, gloire.

Merci Lilou.

.........

L'oiseau

L'oriole, tout rigolo, buvait dans la rigole, à l'ondée du matin.

Il allait sans gloire mais fier de ses petites ailes toutes neuves.

Boire et picorer quelque miettes laissées là par les humains

qui ne le voyait même pas.

Mais peu lui importait, lui vivait sa vie d'Oriole.

Il s'envola prestement, puis alla se loger tout repu

dans son nid bien douillet

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Liste 5 avec les mots,

Effondrement, soleil, ambulance, capituler; Cléôpatre,

intellectuel, frivolité, enthousiasme, rétrospective, pattes d'oies.

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La bergère d'antan

Sous le soleil de ses Alpes chéries, la jolie Cléo,

devenue jeune retraitée aux pattes d'oies creusées

à coups de rires et de sourires, se souvenait avec enthousiasme

de sa jeune vie de bergère.

Un rétrospective mentale certes, mais égayée de frivolité.

C'est un effondrement d'images qui pleuvent en elle, certaines

même un peu coquines et elle en sourit.

Elle la fille qui gardait les moutons, partie un jour étudier à la ville.

Elle se souvient qu'alentours, chacun l'appelait par son surnom.

"" Cléôpatre "", c'était bien trouvé pensait-elle encore aujourd'hui.

Un pouvoir intellectuel acquis, elle venait de laisser le flambeau à son fils.

A lui de reprendre la société qu'elle avait crée.

" Les ambulances Cléôpatre "

Se promenant dans la vallée d'antan, à son passage, on la hélait ;

"" Alors la Cléôpatre " te voilà revenue ? "

" Hé oui tu vois , je suis là " répondait- elle heureuse.

Puis d'un pas tranquille et encore léger,

elle grimpait dans ses montagnes d'antan,

retrouver un peu de sa jeunesse.

Sans jamais avoir failli, ni capituler dans sa vie,

une revanche pour celles et ceux qui lui disaient;

"Tu finiras ta vie avec les moutons ! "

Source images ici

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Le  défi de la plume chez Evy no 317 avec les mots

Porter, argent, survoler, eau, aurore,

yeux, léger, volute, quête, histoire.

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L'éveil

Les volutes semblent d'argent.

Elles survolent le lac dans le matin endormi.

Légères et doucereuses, elles se faufilent rejoindre

les nuages en quête d'histoires à pleuvoir.

L'aurore s'évapore.

Le lever de soleil prend sa place pour un jour nouveau.

L'eau sur le lac se fait claire et limpide.

A l'horizon, elle rejoint le ciel , ne faisant qu'une seule entité.

Les yeux éblouis par cette beauté, je sens la vie me porter.

Je sens la vie me chuchoter

" Encore un jour"

Encore s'éveiller à l'inconnu,

encore s'habiller d'élégance,

se parfumer à l'arôme des mots,

pour écrire la vie,

encore,

encore,

encore....

Ghislaine

La ronde des Mots

 Les mots sont,

Sobrement, balbutiement, imagine, offrande, langue,

pudique, diablesse, rassurer, proche, visage.

...........

Le miroir aux Alouettes 

Dans un semblant de balbutiement, se voulant pudique,

la diablesse, de ses offrandes n'est pas avare.

Sobrement, avec délicatesse, elle imagine sur les visages

l'effet de plaisir venant de ses mots divins.

Subtilement, sa langue se délie, capable des pires mots

comme des plus habiles, elle assure c'est vrai.

A quelques proches, elle rassure:

"Elle, tout en douceur, on la couvre de fiel"

Elle préfère l'exil mais en sa demeure.

Ne serait-ce que pour mieux jouir de ses joutes verbales. 

Des mots pareils, je ne pouvais que m'amuser à écrire.

Cadrage, abolition, mercenaire, mouillé, suzeraine,

assouplissement, limogeage, superbement, Angleterre, trapèze

........

La Suze qui tue 

La suzeraine devenue mercenaire depuis son limogeage,

sur la place des parjures n'est toujours pas dans l'abolition

des outrages qu'elle inflige sans aucun assouplissement

à tous ceux qui ne sont pas du même avis que son amant

d' Angleterre Geoffroy de Couillon.

Un cadrage de ses actions, superbement organisé

lui vaut d'ailleurs le surnom de " La Suze qui tue ".

La nuque large au cou en trapèze vers le cou

lui donne un air bancal et avec ses cheveux mouillés de sang,

on la dirait revenue du royaume des enfers pour jouer dans

" Massacre à la tronçonneuse "

Beurk, beurk, j'me sauve, j'ai des nausées !

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..........

Le  défi de la plume chez Evy no 316 avec les mots

Bruit, emporté, lumière, attirer, troublé,

silence, recoin, fantaisie, saturne, enfuir.

Thème "" Le monde l'au-delà ""

...........

Accompagnée de mon chien Saturne, je survole mon passé.

Pendant que Saturne va au gré de sa fantaisie,

je suis attirée par les bruits de mes anciens.

Ils vivent dans les recoins de mon âme.

Emportée par leur présence, je m'enfuis de ma vie,

je quitte cette forêt pour rejoindre

les silences troublés de mes disparus

Je suis avec eux...Je les sens...

Je suis dans leur lumière...

Soudain, un jappement dans ce petit matin

me fait ouvrir les yeux.

Saturne est là, il me donne des coups de tête,

il veut que je revienne...

Mais je suis si bien là où je suis..

""Attends un peu Saturne, laisse moi là , avec eux "

Il insiste ! Lui il est là, il a besoin de moi...

Doucement mais à regret, j'ouvre les yeux, le caresse,

nous repartons tous deux vers notre destinée.

 Les lettres sont 

 aeeiiiuvrrlc

????????

Mes mots

Arrivée, rivière, rêveur, vécue, vraie

verre, varié, ravir, écrive, cerveau.

..............

Refus d'obtempérer 

Mon cerveau, encore une fois a refusé de travailler.

Il a l'esprit rêveur, il est dans la vraie détente.

A l'arrivée du mot mystère de Lilou ce matin,

pourtant varié chaque lundi,

il a décidé d'aller flâner en pensées à la rivière..

Sa vie est vécue de belles ondes aux clapotis guillerets.

Elle est belle à ravir, il fallait que je vous l'écrive.

Le temps d'aller boire un café, prendre un verre d'eau et je reviens.

Oui je reviens vous déposer mes mots mais ils ne seront pas accompagnés

de ce mot mystère tant convoité et introuvable pour moi très souvent.

Amusez- vous bien à demander Lilou, alors j' y vais de ce pas.

Ghislaine

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Le  défi de la plume chez Evy no 315 avec les mots

 Peur, grandir, arriver, blessure, ennemi,

obscur, perdu, souvenir, mauvais, geste

Thème " Angoisse "

....

L' aquarelle inachevée

L' aquarelle laissée inachevée semble parée de peurs,

balafrée de lignes noires, dans un geste mauvais.

L'homme-oiseau figé sur la toile, le plumage scintillant

dans ce décor obscur est perdu dans un ciel sombre.

Est-il poursuivi d'ennemis ? A-t-il des blessures ?

Va-t-il succombé, tombé privé de vie ?

Je suis dans le silence de ma contemplation. 

Je sens grandir la rage du peintre.

L'instant ou la sidération lui a fait vomir des souvenirs infectés.

Je m'assoie sur le banc, fixant cette aquarelle si triste.

Je lis la scène peinte.

J'ai la conscience du choc,

Je me noie dans un monde de Pourquoi.

Quelle est donc ce sentiment qui me transperce le cœur ?

Serait-ce que l'angoisse du peintre me submerge ?

L'angoisse, elle est là, elle arrive.

 Les lettres sont 

eeoutnsssmrr

.........

Mes anagrammes

émues, entre, meure, notes, routes, trousses,

ruses, terre, tours, sorts, muses, morsures.

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L'inspiration 

Sur la route des nos muses, entre terre et mer,

se dressent des sorts aux morsures terribles du manque.

Ce manque d'inspiration, ces doutes font que la page se meure de notes.

Émues, les feuilles blanches ont peur.

Peur qu'à leurs trousses, il court un vent de panique.

Peur que l'écriture se meure dans les ruses d'une déprime

aux surcharges émotionnelles du manque d'inspiration.

Mais nos muses sont magiques,

elle se jouent de tout cela.

Détenant les rênes de nos mots, elles nous guident

sur leur chemin fertile.

Source image ici

Ghislaine.

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Le  défi de la plume chez Evy no 314 avec les mots

Trembler, arabesque, esprit, sortir, silence,

abîmé, gloire, brouillard, fantôme, décor.

............

Chut, ne le dites pas.

Dans ce décor énigmatique, je longeais le champ pour rentrer,

une panne d'essence et j'avais dû laisser ma voiture sur le bas côté.

Un silence planait dans ce froid de novembre et le brouillard

dessinait des arabesques bien étranges et certaines me faisaient

penser à des fantômes enveloppés d'un linceul.

Je les imaginais possédés d'une entité prête à sortir

pour atteindre mon moi intérieur.

En fait le peur me prenait.

Je tremblais.

Peut-être que j'aurai couru si j'avais pu.

La lumière du chalet au loin me rassura un peu,

je n'étais donc plus très loin.

Personne ne sut jamais ce que je ressentis ce soir là !

Il n'y a aucune gloire à raconter cette mésaventure alors,

chut, ne le dites à personne.

Ghislaine

La ronde des Mots

 Les mots sont,

Appert, abondance, appréhender, littérature, subtile,

funeste, absoudre, honorable, ravagée.

..........

Edition

Il m' apparait que, sans contexte, il appert que concilier

littérature avec l'édition est une chemin bien complexe.

Je n'avais pas appréhendé le subtile travail que cette fonction

allait apporter en abondance des heures de travail

Certes ce n'est pas un funeste projet mais je dépose assez vite

les armes lorsqu'il faut les porter loin et longtemps !

J'ai tendance à m'absoudre très facilement d'un

vite- fait bien- fait !

Ceci dit je ne vais pas me ravager le cerveau,

(il l'est déjà assez comme ça !!)

mais je ne m'avoue pas vaincue.

Je vais essayer de l'éditer ce fichu bouquin !

Ghislaine.G

La ronde des Mots

 Les mots sont,

Modèle, parfum, travailler, calendrier, œuf,

testament, femelle, prétendu, expirer, établissement.

 Le cadeau éternel

Elle avait voulu un cadeau bien spécial pour son Anniversaire....

L'année de ses cinquante ans,

elle lui avait offert une jolie femelle de race naine,

et elle ne la quittait plus, même pour aller travailler,

puisque l'établissement où elle exerçait 

comme secrétaire modèle était une permanence assistante aux animaux.

Aussi pour ses soixante ans ,

elle voulait quelque chose de très particulier,

certes pas un parfum, qui dans le temps allait expirer son arôme,

non, elle ne voulait pas d'un de ces prétendus cadeaux qui comblent

un" Je ne sais pas quoi lui offrir""

un de ceux qu'elle léguerait dans son testament à ses proches !

Non Pas ça....

Celui là, elle l'emporterait avec elle, bien sur,

dans le plus lointain des calendriers à venir.

Elle fit donc réaliser un œuf argenté assez grand

pour incruster en fil d'or, sur son pourtour,.

"" Maman, je suis là où tu es et tu es là, partout où je suis, je t'aime ""

Ghislaine.G.

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Le  défi de la plume chez Evy no 313 avec les mots

Eterniser, mémoire, ruisseau, impossible, temps,

savoir, combattre, chemin, modifier, terrible.

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Mon pacte

Rien ne vient modifier la mémoire de mon temps passé.

Les chemins de l'impossible s'éternisent au fil du ruisseau de mes jours.

Je revis les mêmes souffrances, celles d'un temps sans savoir !

Celles d'un temps ou combattre est de nouveau présent.

Les incertitudes de nouveau s'emparent de questions sans réponse,

auxquelles s'ajoutent les doutes de l'attente !

L'orage terrible de mes maux prendra t-il bientôt fin ?

Fera t-il place à l'accalmie et à ce joli arc-en-ciel qui

arrivera pour hisser son pavillon de couleurs !

Sur le chemin, me sera t-il de nouveau possible d'aller

flâner tandis que mon esprit s'emparera de poésies futures ?

J'ai encore tant de choses à écrire, à dire, à écouter, à vivre....

Ghislaine

 Les lettres sont 

eeeiiioollhpppdtr

Le mot est un mystère !

Mes anagrammes sont

Déplore, dépité, dorlote, étoilé, œillet,

délire, dépit, porte, perte, perle, pétille.

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Non c'est non

 Sur les œillets fanés, perle le dépit de son délire.

Quand le ciel presque étoilé se pare se son habit de nuit,

la porte s' est refermée sans le moindre espoir.

Dépité, il s'en est allé avec son bouquet de fleurs,

qui n'avait pas charmé celle pour qui, de désir, il était prit.

Déploré de n'avoir pas été consolé, dorloté, en pure perte

ses aveux il a emporté, chancelant sur l'asphalte qui pétille

de l'ondée survenue..

La belle aimée n'a pas été conquise.

Sa fierté quelque peu souillée,

il va, le pas lent d'espérance déçue

rejoindre son logis, seul, le cœur triste de son refus..

S'il avait connu le langage des fleurs,

il lui aurait offert

des camélias...

Ghislaine

 La récolte a donné

Accompagner, divorcer, cloisonner, maîtrise, milieu, enfant,

oubli, rivière, canalisation, barrière, distance, liens, rompre,

sourire, partager, frontière, filer, ferme, (ornithorynque) 

...........

L'éducateur

Il avait un grand pouvoir de canalisation dans la maîtrise

de ses émotions, il savait cloisonner en efficacité et parfois faire

barrière à sa colère quand la pression venait rompre sa quiétude à

la frontière de l'insupportable de son métier.

Il prenait de la distance et avec un sourire, il laissait

filer les doutes et les pertes de moral..

Il le fallait dans ce milieu difficile et le soir venu,

il allait se ressourcer près de la rivière, son chien,

Max , le suivait pour l'accompagner dans son apaisement

de l'oubli de cette journée pénible et douloureuse pour ses

protégés. Il avait crée des liens avec tous ces enfants,

il avait partagé des moments de bonheur aussi.

Non ! Non jamais il n'allait divorcer de ce métier !

Chaque jour, un progrès, un geste, un mot

de ces gosses " différents" lui rendaient 

au centuple ce qu'il leur donnait .

Ghislaine 

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 Le défi chez Evy no 312, 

 avec les mots,

Inexplicable, rythme, pluie, couleur, esprit,

phase, couler, extase, alchimie, histoire.

......

le désespoir de l'espérance

La pluie scande sur les carreaux la musique de son histoire.

Celle là même qui est en phase avec le ciel gris, pris

dans un étau de tristesse inexplicable.

La pluie à l'esprit rebelle ces jours çi, les nuages lui ont,

sans aucun doute, soufflé le rythme saccadé de leurs tracas

à l'alchimie douteuse et sans extase..

Elle ne veut que laisser couler les larmes de son désespoir,

à la couleur de son humeur morose.

La voilà, pleurant depuis des jours la fange de ses ennuis.

La pluie lave la honte de la sécheresse et c'est de cela

qu'elle pleure et inonde nos terres nourricières.

La pluie certes, nous désespère mais elle est aussi

la résurrection de nos terres.

 Ghislaine

Sujet 2. La photo no 2

......

Ma déprime lunatique

Telle la vouivre, elle survole mon âme,

envahi mon esprit embué,

ivre d'idées déprimantes...

Elle est là, à me suivre dans le givre cafardeux

de ma dépression qui parfois veut

prendre le pouvoir sur mon âme, 

dans cet état morbide, semé d'un poison mortel

qui se propage dans mon corps en détresse.

Mais ce qu'elle ne sait pas

cette vouivre là, c'est que je

 suis le guivre qui va la détruire,

la rendre poussière pour finir en cendres,

que je sèmerais au vent, mais qu'avant,

de mes pattes de pourceau, 

je l'écraserai avant qu'elle ne me

transforme en statue de cuivre,

offerte aux pigeons qui me fienteraient dessus !

Je vais survivre,

je vais vivre, elle n'y pourra rien !

Je vais poursuivre mon ascension

au delà de ce mal- être

car j'aime  la vie , cette vie qui fait

que je peux aimer mes êtres chers. 

Ghislaine.G